Pourquoi les affirmations positives ne marchent pas ?

Pourquoi les affirmations positives ne marchent pas ?

Mary Mann

Quelle perte de temps !

Les affirmations positives, la méthode Coué ont toujours la cote. Enfin… Elles se sont fait damer le pion par la loi d’attraction. Mais avec toujours aussi peu d’efficacité. Et si je vous disais qu’il y a bien plus efficace et qui demande moins d’effort ?!

Faut pas croire tout ce qu’on vous dit…

Beaucoup de gens ont recours à ça :

 

Les affirmations positives

 
 

Et le problème c’est que ça ne marche pas.

Pire ! Pendant ce temps : rien n’avance, rien ne change, voire leur mal-être s’aggrave !

Ils sont assaillis de pensées négatives et se bombardent de pensées positives en croyant ainsi terrasser le négatif.

Comme si on effaçait une gravure d’un revers de la main par la seule volonté…

Quand on agit ainsi, on fait appel au mental.

Hélas, ce n’est pas le mental qui commande.

Non
C’est votre IN-CON-SCIENT.

 

Je ne sais plus exactement les chiffres, mais nous avons entre 70 000 et 90 000 pensées par jour.

90% environ sont les mêmes que la veille.
Et la GRANDE majorité de ces pensées sont INCONSCIENTES.

Oui

ALORS POURQUOI avoir recours à cette méthode de la pensée positive ou encore mettre un couvercle sur ce qui ne va pas ?!?

 
Pour quelle raison se dissocier de nos souffrances est-il le mode par défaut de la plupart d’entre nous ?
 

Pourquoi différer un travail thérapeutique, nier nos problèmes est la première réaction au lieu de s’y attaquer ?

Que ce soit au boulot, en amour, avec nos proches…

Je vous explique dans 1 minute car un flash subliminal vient de passer dans mon esprit.

Ca me fait penser à un sketch de Dany Boon.
Vous savez, celui sur la méthode Coué : Le déprimé. 🙂

Je le revois sautiller sur scène tel un pantin désarticulé :

« Je vais bien, tout va bien… Je suis gai, tout me plaît…
Je ne vois pas pourquoi, pourquoi ça n’irait pas ! » 

LOL

Bref,

Pourquoi est-ce si naturel de se tourner d’abord vers du positif quand on a un problème et qu’on souffre ?

Car à part si on est maso, on veut tous éviter de souffrir.
Parce que personne n’aime être impuissant et qu’il veut tenter quelque chose,
quelque chose qui soit le moins douloureux possible et dans lequel il fonde tous ses espoirs…

Jusqu’à quand ?

Jusqu’à se rendre compte que tous nos efforts pour éviter notre souffrance ne servent à RIEN.
Que les années passent et que rien ne change.
Voire que le mal-être EMPIRE !

Mais que c’est long… Pfff ! Anne, ma Soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?

 

Un week-end, durant un stage de développement personnel, j’ai rencontré Laura.

A l’heure du déjeuner, un gratin dauphinois et sa bonne odeur caramélisée… Hummm.

Laura est assise en face de moi.
Au cours de la discussion, elle partage sa « routine matinale » : sport, médiation et affirmations positives.

Je lui dis : « OK ! C’est sûr que c’est mieux que de se droguer » 
Lol
Puis je lui demande : « Et pourquoi fais-tu des affirmations positives ? »

Elle : « Parce que à cause de mon enfance, j’ai beaucoup de pensées et de croyances négatives… »

Et je demande encore : « Et qu’est-ce que tu te dis pendant tes affirmations ? »

Elle répond : « Ca dépend de l’humeur de la journée, je cherche sur youtube… »

Je fais une moue, je poursuis :  « Mais tu sais, si tu changes ce qui cause tes pensées négatives et si tu changes tes croyances négatives, tu n’en auras plus. »

– Silence –

Je rajoute : « Tu dépenses une énergie monstre à vouloir lutter contre tes ombres et tes souffrances.
Il vaut mieux aller voir, libérer, rééquilibrer ce qui te fait penser négativement
Et voilà »
.

Elle fait une moue, avale une bouchée du délicieux gratin dauphinois. Puis me répond :
« Je respecte tes croyances (oO), et peut-être que j’évoluerai sur la question. »

Puis le repas se termine et nous reprenons l’enseignement. On parle d’abord de tout et de rien…

Au bout de quelques minutes. Quelqu’un parmi les participants aborde le sujet de la loi d’attraction et des affirmations. Est-ce que ça marche ?

L’enseignant glousse avant de répondre.

Je jette un rapide coup d’œil à Laura, qui me regarde à son tour. Elle a un petit sourire.

« La Loi d’attraction, ça ne marche pas. Ca marche juste pour ceux qui l’enseigne – LOL. C’est du business.
Et pour les pensées positives…
Si on fait un effort pour penser positif, c’est forcément qu’on est dans une dualité avec du négatif.
On la nourrit en résistant.
Si tu travailles tes traumatismes, tes croyances, il n’y a plus de raison que tu penses négatif.
Tu auras une pensée neutre, voire positive ET sans effort. »

Et BIM ! – Fin de la discussion

Un petit coup d’œil complice à Laura, un haussement de sourcils.

Elle éclate de rire.

Laura a compris que cette synchronicité était pour elle. Et je savais qu’elle avait suffisamment d’ouverture intellectuelle pour remettre en cause son attitude « autruche » et ses pratiques.

Et vous ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Connaitre ses vies antérieures

Connaitre ses vies antérieures

Mary Mann

Et se libérer du passé

Quelle utilité de connaitre ses vies antérieures ? Et d’ailleurs, avons-nous eu plusieurs vies ? Toutes les religions en parlent. Certaines personnes en sont persuadées, d’autres n’y croient pas du tout. Mais quel est l’intérêt d’aller explorer ces vies antérieures ? S’agit-il simplement de tourisme temporel afin de satisfaire une curiosité ? Ou bien est-ce un outil thérapeutique et d’évolution spectaculaire ? Et comment libérer ces traumatismes d’un autre temps ?

C’était lors d’une séance thérapeutique avec la méthode PEAT. Par skype.

Louane était assise tranquillement devant son ordinateur.

Elle avait eu recours à mes services car elle souffrait du syndrome de la victime, d’être persécutée, rejetée.

C’était plus fort qu’elle. Sa vie lui rejouait toujours le même scénario.

Nous avons donc effectué un travail grâce à la méthode PEAT.

La séance démarre. Je déroule le process mais… Soudain au bout de quelques minutes, elle s’agite et le contenu de son discours change :

« Du poison… Ils veulent me tuer !»…, Elle se sent mal, son souffle est court

 Des images fugaces d’un château… Elle se met à tousser et s’agite encore plus.

La charge émotionnelle passe… Puis un autre contenu apparaît, plus fort encore.

Elle étouffe. Sa respiration s’accélère. Elle sent des gens sur elle, partout, elle est comprimée. 

« Du gaz !» s’écrit-elle, « Je vais mourir ! ».

Cela m’a tout l’air d’être comme dans un camp de concentration…
La séance est d’une intensité extraordinaire mais tout se déroule bien et elle se termine avec une belle libération. Louane est épuisée.

Quelques jours après la séance, Louane m’avoua avoir toujours souffert d’une impression d’envahissement physique irrationnelle et que cette sensation avait pris fin depuis la séance PEAT, pour son plus grand soulagement.

Il était clair que la problématique de Louane avait des racines profondes dans d’autres sphères temporelles…
C’était pourtant une séance banale de PEAT.

Mais comme me l’a dit mon formateur, cela arrive parfois… Des contenus de vies antérieures qui résonnent avec une problématique actuelle, surgissent de temps en temps.

Fascinée par le sujet, j’ai donc voulu me former à une méthode spécifique pour connaître les vies antérieures et permettre leur libération.

Car si quelques personnes sont conscientes de certaines de leurs vies antérieures (soir par rêve, soit par vision en état modifié de conscience, soit enfin par des émotions fortes et une conviction profonde), et arrivent dans mon cabinet pour effectuer ce travail particulier. D’autres n’en ont pas conscience. Néanmoins, un besoin peut surgir soudain au détour d’une thérapie…

Il est donc important de pouvoir travailler cela précisément afin de nettoyer ce qui les perturbe encore.

Je vais vous raconter 2 cas rencontrés en séance de régression et libération de vie antérieure.

Ils illustrent parfaitement l’influence qu’une vie passée peut avoir sur le présent, ainsi que les bénéfices d’une libération.

 

 

Deux cas de régression et libération de vie antérieure

Une vie brisée

Anne-Laure souffrait d’une peur constante que son conjoint meurt. Son angoisse était inexplicable.

Son conjoint se portait bien ! Et elle n’avait aucun trauma en lien avec ce schéma dans sa vie actuelle. C’était irrationnel.

Nous partons donc de sa peur viscérale de perdre son conjoint aujourd’hui.
La séance est forte, prometteuse.

Elle est une jeune paysanne et mène une existence campagnarde plutôt heureuse.

Soudain, une fête de village, une rixe qui tourne mal, un fiancé à terre et sans vie…

Elle devient une jeune femme brisée qui ne se remariera jamais et vivra à l’écart pour le restant de ses jours…

A la libération de toutes les charges émotionnelles revécues, s’est ajoutée la plus belle : la compréhension et l’intégration que les temps ont changé.

Cela lui était arrivé à une époque où il fallait porter le deuil longtemps, où il y avait une pression religieuse et sociétale. Et elle avait été incapable de refaire sa vie.

Mais l’éventuel décès de son amoureux ne signifierait en aucun cas la fin de sa vie à Elle aujourd’hui.

Elle aurait droit au bonheur quand même et pourrait continuer à vivre. Elle le ressentait clairement.

Elle acceptait enfin cette éventualité existentielle. Et elle était enfin soulagée de ce poids et libérée de cette crainte dans sa vie actuelle.

 

Une douloureuse séparation

Sylvie souffrait d’un déchirement inexplicable quand elle était confrontée à l’idée qu’une mère soit séparée de son enfant.

Elle était maman, ses enfants étaient grands et avaient toujours vécu avec elle.

Mais que ce soit une scène dans un film, un agneau dans un champ qu’on séparait de sa mère, elle s’effondrait en larmes et son cœur était brisé.

Elle ne comprenait pas pourquoi elle réagissait aussi fort.

Nous partons donc de cette problématique actuelle. Sylvie est très vite plongée à l’époque de la 1ère guerre mondiale dans un pays de l’Est.
Sa mère, couturière pour confectionner des parachutes, meurt dans un bombardement alors qu’elles fuient dans la rue.

Sylvie se retrouve orpheline brutalement et est exilée loin de sa ville natale, seule et perdue. Elle aura ensuite une existence solitaire et se dévouera à son métier d’enseignante.

Suite à cette régression, Sylvie est revenue de sa vie antérieure en faisant la paix avec sa souffrance.

Les charges émotionnelles ont été libérées et soldées à son grand soulagement.

Elle a aussi compris pourquoi elle s’était sentie bizarrement abandonnée par sa mère dans sa vie présente, sans que cela soit justifié, mais également d’où venait son appréhension quand elle entendait des petits avions voler assez fort…

 

Ainsi, vous avez pu comprendre que se libérer d’une vie antérieure a plusieurs intérêts. En plus d’une compréhension de soi et d’une exploration temporelle étonnante, cela vous permet de faire la paix avec un passé révolu qui peut vous poser encore problème actuellement. Il s’agit souvent d’un travail fort en émotions et libérateur, vous permettant ensuite de vivre plus léger et au présent, de même que de faire des choix nouveaux et salutaires.

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

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Transgénérationnel : notre corps se souvient

Transgénérationnel : notre corps se souvient

Mary Mann

Entendez-vous ?

Avez-vous déjà pris conscience que vous êtes le fruit d’une longue lignée venue du fond des âges ? Ce lien transgénérationnel qui vous unit à vos ancêtres s’étire jusqu’aux origines de l’humanité… Ressentez-vous parfois des attirances viscérales pour certaines choses, sans véritable raison ? Souffrez-vous de blessures émotionnelles exacerbées qui ne trouvent pas vraiment d’origine dans votre vie ? Vous êtes-vous déjà interrogé sur vos ancêtres et avez-vous parfois constaté des similitudes de comportement ou dans vos choix de vie ? Si votre conscience n’a pas toujours les mots pour l’expliquer, votre corps lui, se souvient…

Vous arrive-t-il d’avoir des émotions qui soudain vous submergent plus que de raison face à un événement ? Comme si cela venait toucher quelque chose de profond qui ne vous appartient pas ? Vous avez l’impression que quelqu’un d’autre pleure à travers vous, que quelqu’un d’autre a peur… Cela vous secoue, cela vous dépasse et se répète à chaque nouvelle situation similaire !

Ou avez-vous des attirances pour quelque chose, que ce soit un pays, une activité ? Et vous ne savez pas d’où ça vient, c’est plus fort que vous !

Avez-vous des intuitions très fortes sur votre famille, des secrets que vous percevez comme au travers d’un rideau que vous ne parvenez à ouvrir ? Mais c’est là et vous le sentez en vous sans pouvoir l’expliquer !

J’ai toujours été passionnée de généalogie. Ces fragments d’histoire exhumés qui revivaient le temps d’une lecture aux archives, ouvraient les portes de mon imagination. En même temps qu’un vortex magique dans l’espace-temps.

Ce lien aux ancêtres m’a toujours émerveillée…

Vous avez vu Avatar ? Vous vous souvenez de l’arbre blanc des ancêtres ? Votre corps, vos souvenirs, c’est un peu comme cet arbre sacré dans Avatar. Si vous prêtez l’oreille et écoutez votre corps, vous pouvez entendre vos ancêtres vous parler… Leur histoire est là, vous avez une base de données génétique et émotionnelle incroyable en vous !

Mon cas personnel

 

holland photo

Oui, cette image d'illustration est un cliché. Mais quand même, une femme guerrière viking, ça méritait quelque chose de classe.

J’ai envie de vous raconter un peu de mon histoire…

1- J’ai toujours été attirée par la Hollande, pourtant, à mon grand désarroi, je n’y ai jamais mis les pieds. Curieux, non ? A l’adolescence, c’était même bien plus fort que cela : j’éprouvais de la NOSTALGIE pour ce pays que je ne connaissais pas.

J’en avais presque un trou au cœur.

A l’époque, je savais juste que mon grand-père maternel était belge mais je n’avais pas conscientisé que j’avais des origines flamandes. Plus tard, j’ai remonté ma « branche » et là, j’ai pu grâce à internet, trouver que le berceau du patronyme de mon grand-père était à Sneek (province de la Frise), tout au nord de la Hollande… Etrange, non ?

2- J’ai toujours été attirée par la Scandinavie. L’appel a toujours été très fort. Je m’y sens chez moi. La culture, les légendes, les paysages… Tout m’a toujours parlé au cœur. Et j’ai toujours eu l’intime conviction que j’avais un lien avec ces pays du Nord.

Physiquement, c’était un peu une évidence aussi…

Et puis un jour, lors d’un soin chamanique de recouvrement d’âme que j’ai reçu, je suis partie en transe.

Là, j’ai eu des visions incroyables. Je suis partie en voyage au travers des brumes du temps. Soudain, les brumes se sont écartées et là j’ai vu un drakkar ! Puis j’ai eu d’autres informations que je ne relateraient pas ici.

En résumé, j’ai eu la révélation que j’avais des ancêtres vikings et que je portais une mémoire familiale liée à leurs invasions.

Bien des années plus tard, j’ai effectué un test génétique.

Et vous savez quoi ?

Il est non seulement venu détailler mes ascendances hollandaises, mais ce test m’a aussi apporté une autre information fascinante. Mon ADN mitochondrial maternel est le même que celui de la première chef guerrière viking retrouvée en Suède. Nous partageons une ancêtre commune il y a 10 000 ans.

Sa tombe somptueuse a été trouvée en 2017 sur l’île de Bilka. Les guerrières vikings de cette importance étaient des guides et elles étaient toujours associées aux esprits, à la magie, la divination… Je trouve ce détail fascinant sachant que je pratique le chamanisme et que je sais que ce don me provient de ma lignée maternelle. Mon arrière grand mère était sage-femme dans son village et elle faisait des onguents aux plantes… J’ai même appris que cette femme très pieuse avait soigné des ouvriers malades de la grippe espagnole dans l’église du village, sans tomber malade elle-même.

Mais j’ai aussi demandé à mon père de faire ce test et il s’avère qu’il a 5% d’ADN Scandinave. Effectivement, les vikings ont aussi envahi les Flandres françaises d’où venait sa mère…

Bref, il y a bien du viking en moi. Comme quoi… mon corps le savait.

De mes ancêtres Hollandais, il me reste la passion pour leur grand chapeau noir, la peinture flamande, et mes 1.78 m. Quant à mes ancêtres Scandinaves, j’en ai hérité une fascination pour les aurores boréales ainsi que pour la mythologie nordique et qui sait… de ce don pour le chamanisme ?

En plus, on m’a toujours prise pour une hollandaise ou une Suédoise en vacances ! LOL.

Bon, difficile de trouver des chapeaux noirs à grands bords aujourd’hui, j’ai fait avec ce que j’ai trouvé ;-)…

 

Nous héritons bien des traumatismes des générations passées…

 

… et ce sont les gènes qui les transmettent. (vu sur www.atlantico.fr)

Des expériences récemment menées sur des souris par une équipe de chercheurs de l’université d’Atlanta ont mis en évidence le fait que des événements traumatisants provoquaient des modifications sur l’ADN observé dans leur sperme, et avaient des effets sur le cerveau et le comportement des générations suivantes.

D’après le professeur Marcus Pembrey, du University College London, ces découvertes sont transposables aux hommes.

Cela me rappelle d’ailleurs un autre constat il y a quelques année, aux Etats-unis… A New York, de nombreux enfants nés fin 2001, début 2002 souffraient d’un stress post-traumatique qui a d’abord été inexpliqué.

Puis les médecins ont fait le rapprochement : leurs mères ayant vécu les événements traumatiques du 11 septembre 2001 alors qu’elles étaient enceinte, l’information de danger de mort s’est transmise au bébé qui en a développé un stress viscéral inconscient, un stress transgénérationnel.

L’impact plus fort venant de la mère a d’ailleurs été prouvé il y a une vingtaine d’années : l’information parentale n’est pas égale ; elle est généralement plus favorable à la transmission des caractères de la mère que de ceux du père.

A quel point sommes-nous façonnés par ce qui nous a précédé ?

 

Pierre Robertoux* nous explique :

« Nous sommes influencés culturellement. Mais nous le sommes de multiples façons. Pour cela je vous citerai une autre étude, qui a mis en avant un mécanisme différent mais a abouti à un résultat analogue.

Des souris ayant subi une carence alimentaire et ayant été soumises à un stress apprennent mal. Même bien nourrie, leur progéniture apprend mal, et cela pendant deux générations. Que s’est-il passé ? Les grand-mères mal nourries n’ont pas donné de soins suffisants à la progéniture.

De ce fait, cette dernière présente des performances cognitives faibles. Mais ces mêmes souris ne savent pas donner les soins nécessaires aux petits qui, de ce fait également apprennent mal. Linda Crnic, qui fit cette expérience il y a voici trente ans, observa des conséquences des privations et stress infligés à une souris pendant trois générations.

Il n’y a pas que les mécanismes génétiques ou épigénétiques qui nous aident à nous souvenir des ancêtres. »

Eh oui, il y a aussi tous nos comportements, nos croyances…

 

u

Qui est Pierre Robertoux ?

*Pierre Roubertoux est professeur de génétique et de neurosciences à Marseille. Il a créé et dirigé le laboratoire « Génétique, neurogénétique, comportement » du CNRS et a travaillé au laboratoire « Génomique fonctionnelle, comportements et pathologies » du CNRS, à Marseille. Il mène aujourd’hui ses recherches au sein du laboratoire de génétique médicale de l’Inserm. Ses travaux sur la découverte de gènes liés à des comportements lui ont valu le prix Theodosius Dobzhansky, aux États-Unis.

J’avais d’ailleurs vu il y a quelques années une étude fort intéressante de deux chercheurs en Scandinavie qui avaient la même conclusion.

Si ma mémoire est bonne, ils avaient remarqué que les jeunes filles portaient la mémoire traumatique d’événements marquants, quand ceux-ci leur arrivaient principalement avant la puberté, et que l’information était transmise sur 3 générations parfois 4 (si le traumatisme était très fort).

Quant aux garçons, c’était la période de la puberté qui était déterminante, et de même, l’information était encodée quelque part dans le génome et transmise à la descendance sur 3 ou 4 générations.

Si je me souviens toujours bien, ils avaient étudié le cas d’une femme en surpoids dont les ancêtres avaient souffert de famine. Son corps était ainsi programmé pour garder et optimiser la nourriture même si elle avait suffisamment à manger !

Regardez aussi la tribu des Apaches dont Geronimo était un grand leader. A leur grande époque, avant d’être intégrés de force dans la société américaine et que leur mode de vie soit totalement remis en question, les Apaches avaient une endurance à toute épreuve.

Ils parcouraient des kilomètres chaque jour, telles des gazelles sous un soleil de plomb, dans un milieu désertique, avec très peu d’eau (durant leurs expéditions, ils tiraient principalement leur eau grâce aux plantes du désert qu’ils connaissaient très bien). Ils n’avaient bien souvent qu’un peu de viande séchée comme nourriture pour plusieurs jours.

Mais cela ne les empêchaient pas de parcourir des distances incroyables ! Cela faisait d’ailleurs parti du rite d’initiation des jeunes hommes en plus de la quête de vision de leur animal de pouvoir…

Aujourd’hui, ils n’ont plus du tout ce mode de vie très rude et leur corps a malgré tout gardé la mémoire d’un métabolisme ultra performant, optimisant la moindre calorie ingérée. Résultat : leurs descendants sont TOUS en surpoids ou pire : obèses !

 

Observez votre famille et observez-vous

 

Nous sommes le fruit de 2 guerres mondiales, la plus vieille remontant à seulement 100 ans. Nos arrière-grands parents ont fait cette guerre, beaucoup y sont morts tragiquement. Nos grands parents ont connu cette guerre dans l’enfance, traversé des périodes violentes, dures, ont pu souffrir de la misère, de la faim être déracinés…

La crise de 1929 est aussi passée par là et a pu laisser sa marque de faillite et de honte sur certaines lignées… Si vous êtes adulte aujourd’hui, vous êtes justement la 3ème ou 4ème génération.

Peut-être sentez-vous encore dans vos tripes la peur des soldats au moment d’aller à l’assaut en 14 sous le vacarme tonitruant des bombes allemandes ? Fondez-vous en larmes de manière inexpliquée devant les documentaires reparlant de ces deux terribles conflits mondiaux ?

Auriez-vous un ancêtre qui a souffert du gaz moutarde et qui en est mort après la guerre ?  Et que cela vous fait mal respirer sans raison ? Que dire sur les camps de concentration… Peut-être que certain(e)s de vos ancêtres se sont retrouvés orphelins ou veuves de guerre et que vous portez leur blessure d’abandon… Ou encore un de vos ancêtres a fait faillite et de ce fait vous interdit inconsciemment de prospérer

Tant de traumatismes jalonnent notre histoire de famille !

Comment s’en libérer ?

 

Pour avoir vécu cela dans ma chair, ce sont des postulats passionnants à explorer et à libérer pour aller mieux et vivre notre vie enfin libérés de ces mémoires transgénérationnelles meurtries.

Car elles font partie de notre histoire, mais elles ne sont pas notre vie présente et pourtant, elles provoquent encore des résonances.

Vous êtes le fruit d’une histoire humaine venant du fond des âges et qui se perpétue depuis l’aube de l’humanité…

Un proverbe africain dit : « pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient ».

Au-delà de vos propres blessures émotionnelles biographiques (votre vécu), il y en a d’autres parfois inconscientes qui viennent alourdir votre sac et amplifient vos réactions dès lors qu’elles font écho avec votre vécu dans cette vie.

Ces blessures peuvent venir de vos ancêtres et parfois même de vos vies antérieures (mémoires karmiques) qui vous ont laissé des schémas non résolus, des croyances, des traumatismes que vous pouvez retrouver dans votre vie actuelle afin de les dépasser, de vous libérer du cycle de répétition et d’évoluer.

Il n’est pas rare que ces blessures tant familiales que karmiques soient du même registre (tiens comme par hasard, histoire d’en rajouter une couche) et se répondent pour mieux se faire entendre et vous faire progresser…

Il m’arrive de tomber sur des mémoires karmiques ou familiales lors d’un soin chamanique mais parfois en thérapie PEAT !

Il est donc intéressant de voir que nous pouvons aborder la problématique de vos émotions de bien des façons :

Donc si vous souffrez de troubles émotionnels plus forts que vous, que vous puissiez les relier ou non à un événement traumatique vécu dans votre famille, Sachez qu’ils ne demandent qu’à être entendus et libérés.

C’est sur cela que je vous invite à porter votre attention…

 

Alors prêtez l’oreille, ressentez votre corps et vos émotions…

Que vous disent vos ancêtres ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

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Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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La véritable origine du Père Noël…

La véritable origine du Père Noël…

Mary Mann

Et si le chamanisme t’était conté ?

Quand on pense à noël, nous vient inévitablement l’image d’un gros monsieur au visage rougeau, rieur et en manteau rouge et blanc. On l’associe souvent à la marque Coca-Cola depuis le début du 20ème siècle. Saint Nicholas est également évoqué, et même le p’tit Jésus… Mais quelle est la véritable origine du Père Noël ? Et si je vous disais qu’il y a du chamanisme dans l’air ?!

Noël approche.

Les lumières scintillent, la neige tombe.
Mais pas en Bretagne :-/
Ô désespoir !

Eh oui, j’adore la neige. Je suis née dans les Alpes.
Ça me manque quand même…

C’est mieux que le Kouign Amann (même si l’hydromel, la boisson des Dieux… C’est pas mal tout de même 😉)

Mais neige ou pas neige, Noël est fêté partout !

Même sous les tropiques ! 🌴
Y’a des images de père noël en bord de plage
Tu ne me crois pas ?
J’ai vu ça un jour au Panama…

Trop rigolo !

T’es en short, tongs, et tu tombes nez à nez avec un père Noël 🎅 qui monte à une échelle sous un palmier… LOL

A l’époque, ça me paraissait totalement étrange. Dans un instant, tu vas voir que pas tant que ça en fait…

Il est beau hein ? Tout en rouge…

 

J’ai de très beaux souvenirs de Noël dans mon enfance. Des grandes tablées en famille, un oncle qui s’éclipsait pour se déguiser… Et tous mes cousins avec qui on finissait par s’endormir tard dans la nuit, sur le canapé pendant que nos parents riaient à gorge déployée.

Pourtant aujourd’hui, je n’aime pas trop fêter ça.

Car en grandissant, je me suis rendue compte du mensonge.
Comme tous les enfants à qui on a servi ce conte.

J’ai appris à bouder cette fête trop capitaliste et consumériste à mon goût.

Mais j’ai appris quelque chose qui pourrait changer ma vision !

Quand j’ai appris ça, ça m’en a bouché un coin !
C’était avec Laurent Huguelit.

D’abord, il faut que je t’explique quelque chose.
Au cas où tu ne le saurais pas, je pratique le chamanisme.

Laurent Huguelit est mon enseignant et un ami cher à mon cœur.
Car j’ai eu la chance merveilleuse de bénéficier d’un soin collectif lors du 1er stage d’initiation.

Il y a bien des années… Laisse-moi te conter ce jour qui a changé ma vie.

Après avoir entendu tous les « candidats » au soin, Laurent, tel une majorette sibérienne (rien qu’à l’image je me marre) a lancé sa mailloche de tambour dans les airs.

Et Tadaaa !!

Une fois au sol, elle m’a désignée.
Les esprits en avaient décidé ainsi. Quel cadeau ! Il allait être mon chamane durant ce rituel puissant.

Rien que pour moi (sachant qu’il ne fait plus de soin, j’ai pris conscience du cadeau).

Je ne savais pas à l’époque combien ce jour changerait ma vie pour toujours.

Et créerait un lien si fort et si particulier entre lui et moi, à jamais.
D’ailleurs, depuis ce jour, à chaque stage, nous nous revoyons toujours avec beaucoup de joie.😃

C’était donc durant la cérémonie du Bateau.
Un soin d’une force incroyable qui m’a ramenée à la vie.
En effet, je traversais une sale période depuis 1 an. J’étais exsangue et perdue à cette époque.

Ce jour-là, j’ai repris des forces qui m’avaient quittée depuis longtemps.

Beaucoup de lumière est revenue. ✨
Des bouts de mon âme sont revenus dans « ma maison ». 🧚🏼

J’ai pu retrouver mon pouvoir personnel

Un peu comme durant le soin chamanique que j’ai fait pour Magali il y a peu, qui est partie en transe, c’était fort ! Un soin de dingue…

Bref,

Depuis ce soin fondateur dans ma vie, je n’ai cessé de tracer ma route et de me révéler.
Je ne suis plus « perdue ».
J’ai survécu à la « nuit noire de l’âme ».
Ce qui a décuplé ma force.

Tout chamane est un guerrier blessé qui a transcendé sa douleur

Au fil des ans, je grandis en expérience.
Je fais des séminaires sur différentes thématiques avec Laurent et sa compagne Angeline.

 

 

YULE célébration du solstice d’hiver le 21 décembre – consacré à ODIN (ou Wotan) en Scandinavie

 

Et lors d’un séminaire sur les Rêves chamaniques, Laurent nous a confié que le Père noël était un chamane !

 Moue à la De Niro

Ça t’en bouche un coin ?

Moi oui !

Apparemment, même pour les couleurs rouge et blanche, Coca cola n’a rien inventé !

En Sibérie, les chamanes s’habilleraient avec beaucoup de couleurs, notamment du rouge et du blanc…

🧙 Les chamanes sont au service de l’équilibre des forces.

Ils luttent contre l’obscurité. Et tiens, toi bien…

Jadis, ils se servaient du feu au milieu de la yourte pour partir en « voyage chamanique » par l’œil de la yourte dans le toit (= la cheminée !)

– Ca te rappelle pas un truc ?

Ils chevauchaient des rennes lors de leurs « voyages ».

-Ca te rappelle pas un truc ?

Ils revenaient avec de la lumière, de la nourriture, des cadeaux…🎁 🌟😊✨

-Ca te rappelle pas un truc ?

Même en Turquie, Saint Nicolas était considéré comme un « magicien » qui pouvait voler…

Ce sont des colons Européens qui l’ont emmené à New-York et c’est là qu’il est devenu l’icône de la célèbre boisson à base de coke, à l’occasion d’une pub.

Les chamanes sont entrés dans les mythes collectifs !
Papa Noël est en fait un chamane !!

🎅 = 🧙

Et le sapin de noël est en fait une représentation de l’arbre des mondes Yggdrasil, très présent dans la mythologie Scandinave. Les étoiles sont représentées par les boules sur le sapin et la Voie Lactée est la guirlande qui serpente tout autour…

Le sapin =  L’arbre des mondes ; Les boules = les étoiles ; la guirlande = la voie lactée…

 

🤗 Ouuaaah ! Trop la classe !!!

C’est trop génial de voir les choses sous cet angle, non ?

Plutôt qu’un obèse rougeau qui boirait du coca et qui ne passe plus dans la cheminée !

En plus, en discutant avec Laurent, je me suis rendue compte que même mon bilan de compétences Orientation & Sens de Vie® était d’inspiration chamanique !

L’étoile polaire, mission de vie, mission d’âme et tout ! Dingue !…

« Les esprits t’ont enseigné » , m’a dit Laurent.

Mais ça, c’est une autre histoire…

Bon, après cette parenthèse culturelle, il ne me reste plus qu’à te souhaiter de belles fêtes !

Et si tu as besoin de ramener la lumière, je suis là ! Plus efficace qu’EDF.
Un bout d’âme qui rentre à la maison, n’est-ce-pas le plus beau des cadeaux ?

Maryanne, une « Mère Noël » 🤶 (bon en vérité je ne suis pas si vieille)

PS : comme je peux « voler », ce soin peut même se faire à distance héhé ! Allez Hop, je chevauche mon renne.

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Mary Mann : La thérapie autrement !

Thérapie brève multi-dimensionnelle (en ligne)

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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  • Thérapie brève en ligne (psychopraticienne) : Libération des émotions, régression et libération vies antérieures, libération mémoires transgénérationnelles (épigénétique), développement personnel
  • Mudra-thérapie : 1ère professeur et mudra-thérapeute en France, certifiée Sabrina Mesko, d'après l'enseignement de Yogi Bhajan - Art énergétique millénaire de bien-être et de développement personnel
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Comment trouver le bonheur ?

Comment trouver le bonheur ?

Mary Mann

Un bonheur intelligent et altruiste bien sûr

Comment être heureux ? C’est la question que tout le monde se pose… Le bonheur est la denrée la plus convoitée dans notre société. Mais force est de constater que nous ne sommes pas tous égaux face au même vécu. Quand certains sont d’irréductibles optimistes, d’autres sombrent dans la déprime au moindre coup du sort… Serions-nous les seuls responsables quant à notre félicité ? Cet état mystérieux pourrait-il être apprivoisé ? Faut-il le bonheur à tout prix ? L’injonction au bonheur ne serait-il pas une nouvelle dictature nous menant tout droit vers le malheur et l’individualisme ?

De quoi est fait le bonheur ?

 

Apparemment, c’est comme une recette de cuisine. Prenez :

  • 50 % de génétique
  • 40 % de perception
  • 10 % de circonstances de vie

Et vous savez de quoi le bonheur est constitué.

 

Oui, mais est-ce immuable ?

Quand on lit que 50 % de notre capacité à être heureux dépend de notre héritage familial biologique, on aurait tendance à croire qu’il s’agirait uniquement d’un jeu de « pile ou face ».

Ce leg transgénérationnel est l’ensemble des conditionnements et des habitudes dans lesquels nous avons baigné en grandissant.

Ce que nous avons hérité de nos parents et de nos ancêtres avant eux : leur vécu traumatique transmis…

Ce fameux héritage qui s’apparente souvent à une course de patate chaude inconsciente, un relais sans fin dont nous sommes l’aboutissement.

Or bonne nouvelle : tout héritage n’est pas figé dans le marbre. On peut le travailler et s’en libérer !

 

Parlons des 40% de perception maintenant.

Ils désignent notre capacité d’interprétation à propos d’une chose qui nous arrive.

En fait, notre état d’esprit est bien plus important que la situation réelle (qui ne compte qu’à hauteur de 10%).

Que faisons-nous d’un événement ? Nous effondrons-nous au moindre obstacle ? Ou faisons-nous comme l’enfant Obama balancé dans un puits et qui remonte en éclatant de rire au visage des enfants qui l’y ont poussé ? Voyons-nous le verre à moitié vide ou à moitié plein ?

Là encore, tout est une question d’état d’esprit et de croyances qui découlent directement des premiers 50 % et de l’ambiance familiale.

Deuxième bonne nouvelle : on peut aussi changer ce paramètre !

 

Et enfin, seuls 10 % dépendent de l’extérieur (aspect physique, météo…). Certains mettent aussi dans ces 10 %, la quantité d’argent disponible.

Or nos croyances auto-limitantes face à l’argent et provenant de nos origines, sont aussi un sujet passionnant à éliminer et que j’aborde dans mon atelier relation à l’argent !

 

Comment cultiver le bonheur ?

 

Il y a autant de visions que d’êtres sur Terre.

Chacun y mettra ses propres aspirations, son filtre culturel…

Mais cependant, nous pouvons essayer de dégager les grandes lignes universelles de ce que chacun peut faire individuellement pour tendre vers le bonheur.

 

Voici 10 conseils pour aller vers le bonheur :

 

1°/ Il est important de ne pas vouloir contrôler la Vie. Car il est impossible de tout maîtriser. A un moment donné, si la vie vous emmène vers autre chose et que vous freinez des quatre fers, faites taire votre peur et écoutez ce que la vie a envie d’exprimer à travers vous ! Plus tôt vous atteindrez un certain lâcher-prise quant aux événements qui surviennent, et plus tôt vous goûterez à une certaine sérénité et épargnerez votre énergie. Pratiquez l’Aïkido existentiel au lieu de faire constamment du Karaté !

2°/ En vivant en cohérence avec soi et en prenant conscience de ce qui est essentiel dans notre existence. En déployant notre Etre profond, au-delà des conditionnements sociaux-culturels reçus. Car si on n’est pas responsable de tout ce qui nous arrive, on est responsable de ce qu’on en fait !

3°/ En faisant un travail de recherche intérieure pour se connaitre. Afin d’apprendre quels sont nos qualités, nos talents, nos forces afin de s’estimer et de mieux choisir ce que nous voulons mettre dans notre vie pour se respecter.

4°/ En se réconciliant avec SOI et notre vécu. En ayant déjà une intention sincère d’apaisement en SOI, pour SOI et donc en réparant nos blessures. Nous commenceront à goûter le moment présent avec de plus en plus de sérénité et de joie.

5°/ En étant attentif un maximum au PRESENT, vivre en conscience. En effet, être plus attentif et présent à ce qu’on fait rend heureux (notre cerveau va alors sécréter de la dopamine et de la sérotonine qui sont des anti-dépresseurs naturels). Découvrez d’ailleurs mon super cursus en ligne pour développer la pleine conscience.

 

 

 

6°/ Le fait d’arrêter de JUGER les autres vous fera un bien fou ! Vous arrêterez ainsi de vous comparer en mieux ou en moins bien. Vous développerez l’acceptation et la tolérance avec un grand A.

7°/ En étant généreux. En étant tourné vers l’autre. Des études ont prouvé que les gens généreux sont plus heureux que les autres. Le bonheur des autres est contagieux et s’il est le fruit de notre action, cela donne du sens à notre vie. Et si en plus nous participons à améliorer le monde, que demander de plus ?

8°/ En arrêtant de vouloir changer les autres. Je le dis souvent à mes clients : on ne peut pas aider quelqu’un qui ne le veut pas ! Soit vous décidez de changer vous-même pour l’accepter (dans la mesure où cela est sans danger pour vous), soit vous ne fréquentez plus les gens qui vous posent problème.

9°/ En ne cherchant pas le bonheur à tout prix ! Car « la souffrance est la différence entre ce qui est et ce que j’aimerais qui soit ». Mais comme le dit Spinoza, chaque être vivant persévère et fait un effort pour grandir durant toute sa vie. Il a naturellement envie de s’élever et de transcender sa condition vers plus de joie et de bonheur afin que ceux-ci occupent le plus de place possible.

Cela est louable. Et cela demande bien sûr un travail sur soi pour aller vers la paix intérieure. Cependant, attention à ne pas voir le bonheur comme un Graal absolu ! Cela amène à rechercher cet état avec trop de mental et en dehors de soi. Or, il faut avant tout se reconnecter à nos ressentis et à notre corps pour le trouver.

10°/ En comprenant que le bonheur ne signifie pas être dans la joie tout le temps.
Dans le dessin animé Vice Versa, la Joie se rend bien compte finalement qu’elle ne peut pas toujours être aux commandes et qu’elle ne peut exister sans la tristesse et les autres émotions « négatives ». Que chaque émotion est utile selon les situations et coexiste en nous.

En définitive, la notion de bonheur existe car son opposé existe. Comme dans les contes pour enfants, c’est parce qu’il y a un « méchant » que nous pouvons définir ce qu’est un « gentil ». Il est donc normal et souhaitable de ressentir les émotions dites « négatives ». C’est ce qui fait que nous sommes vivants et pouvons interagir socialement en fonction des émotions des autres, et pas tel un imbécile heureux ayant toujours le sourire aux lèvres.

 

Le bonheur ne peut-il être que le fruit de nos efforts individualistes ?

 

Il faut bien l’admettre, le temps où l’individu avait une vie sociale plus simple, saine, authentique et intégrée au sein d’une communauté est révolu.

Nos nouveaux modes de vie, couplés aux nombreux mouvements de population, convergent vers plus d’isolement et d’individualité. Les nouvelles technologies n’arrangent rien…

Ce terreau s’est révélé du pain béni pour la psychologie positive qui a réduit la notion de bonheur à portion congrue.

Elle a fini par enfermer la notion de bonheur principalement à l’individu. Le rendant seul responsable de son bonheur.

Elle a inculqué que pour atteindre le bonheur, chacun devait avant tout travailler sur lui-même, faire du développement personnel à tout va, pour mieux se connaître et mieux se « corriger ». Que le bonheur ne tenait qu’à soi.

C’est devenu une injonction sociétale : il FAUT être heureux bêtement et à tout prix chacun dans son coin. Au point d’être une quête angoissante !

Céder à la frénésie de lectures traitant de la question, aller voir des coachs, et écouter des gourous du bonheur, est-il le seul moyen d’échapper au malheur ?

Mais qu’en est-il de l’action collective face au monde et à ses dérives ?

Le bonheur ne reposerait-il plus sur une tentative de changer ensemble le monde ? Mais sur une quête permanente de se changer soi ?

Va-t-on tous devenir des îlots tout sourire sans cohésion, tels des lentilles flottant à la dérive dans une soupe indigeste ?

C’est la crainte de la sociologue Eva Illouz et du psychologue Edgar Cabanas dans leur ouvrage Happycratie.

Ils indiquent qu’il a fallu à peine plus d’une décennie pour nous convaincre que la valeur centrale de notre vie se résumait à « ce sentiment teinté d’individualisme et de consumérisme vorace » : Le bonheur.

Selon eux, cette approche du bonheur nous maintiendrait en réalité dans une forme de servitude apaisante et volontaire, renonçant à remettre en cause le capitalisme et à lutter contre ses méfaits… Pour mieux nous consoler de notre impuissance et tout accepter.

« Un cocon de plénitude dans un monde mauvais, ou la dissolution de la lutte dans la perspective du bonheur individuel. »

Or, malgré cette tyrannie du bonheur individualiste, force est de constater que des voix s’élèvent pour changer concrètement des choses à leur échelle et transformer le monde.

Combien de reconversions professionnelles en maraîchage biologique ? Combien de projets écologiques et locaux pour repenser l’industrie de demain ?

Hopaal, Respire, Friendly frenchy, Le jouet Français…

Bien d’autres projets positifs sont relatés dans le livre « Un million de révolutions tranquilles ».

Et si justement, parmi de nombreux accros au bonheur, étaient ces gens qui refusent de renoncer, ne ferment pas les yeux et se mettent à penser, créer, inventer de nouvelles façons de faire et cultivent l’optimisme avant tout ?

Ces gens positifs qui cherchent à donner un sens à leur vie, tout en essayant de redonner du sens à cette société qui en est dépourvue ?

A l’image de Joanna Quelen.

Quand Joanna Quelen a proposé son sujet de TEDx sur le bonheur, les organisateurs lui ont demandé « Pourquoi ce choix » ?

Après quelques instants de réflexion, elle a spontanément répondu : « Parce que la Mort ! »

Ainsi, dans cette présentation intimiste, Joanna nous parle de son parcours vers le bonheur, de sa prise de conscience existentielle.

Un cheminement qui l’a amenée à œuvrer pour le bonheur des autres.

Etre heureux ne se résume à pas se forcer à être bêtement positif ni à devenir aveugle aux horreurs du monde dans une sorte d’autisme sélectif. Le sentiment de bonheur relève à la fois de notre sphère personnelle mais aussi collective. Qu’il le veuille ou non, l’individu est relié au monde. Il vous appartient donc de prendre conscience de vos propres conditionnements au malheur et de vous en libérer. Tout comme il vous appartient de vous engager dans des projets altruistes qui ont du sens à vos yeux et vous permettent d’apporter votre pierre à l’édifice d’un monde meilleur.

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Comment surmonter le deuil d’un être cher ?

Comment surmonter le deuil d’un être cher ?

Mary Mann

La mort d’un être cher est un tsunami émotionnel qui impacte toutes les sphères de notre vie. Nous devrons tous y faire face un jour ou l’autre. Mais surmonter un deuil est d’autant plus difficile quand il survient brutalement comme lors des terribles attentats de ces dernières années ou encore pendant la crise du Coronavirus. Peu d’entre nous sont préparés au décès d’un proche car la mort reste taboue. En tant que psychopraticienne, je vous offre ici des conseils et des outils afin de vous libérer de votre souffrance et traverser cette épreuve.

Vous êtes submergé par la douleur. Vous n’êtes plus capable d’assurer les tâches quotidiennes, ni même votre travail.

L’être aimé était là. Et maintenant, il ne l’est plus.

Comment imaginer que vous ne le verrez plus ? Ni ce soir ni demain. Plus jamais.

Comment surmonter cette réalité qui n’a aucun sens pour vous ? Vous ne le pouvez pas. Pas pour l’instant. Pas encore.

 

La mort : un tabou mais une chose inévitable

La mort fait peur.

Elle est associée à la maladie, la souffrance, la séparation, l’inconnu, le manque.

Cette peur est d’autant plus accentuée dans nos sociétés modernes où l’on meurt de plus en plus souvent seul. Dans un hôpital, une maison de retraite ou même chez soi.

Alors, nous tournons autour du pot… Nous esquivons le sujet et préférons parler de la vie après la mort, ou de réincarnation.
Or, si vous considérez la mort comme taboue, vous la rendez encore plus effrayante.

E. Kubler Ross, cette grande dame qui a énormément fait progresser les soins palliatifs, la désignait comme la dernière étape de croissance.

Elle l’a associée ainsi à la vie et lui a donné une figure plus familière.

Mais cette prise de conscience ne vous dispensera pas d’entreprendre le douloureux chemin du deuil.

Il obéit à des phases incontournables dont la durée dépend de la situation de chacun :

  • La force de vos liens avec le défunt,
  • le travail intérieur que vous avez déjà amorcé avant son décès,
  • votre conception de la spiritualité,
  • le cercle de soutien dont vous bénéficiez…

constituent autant de facteurs qui peuvent influer sur votre traversée.

Dans la suite de l’article, vous trouverez 6 conseils pour transcender la perte et retrouver le chemin de la vie.

 

Exprimez votre douleur pour vous libérer

Après l’étape de sidération qui peut durer de quelques heures à quelques jours vient la phase de recherche et de souvenir du défunt.
Vous refusez la réalité et cherchez à prolonger le lien.

Mais immanquablement, arrive le moment où vous réalisez l’irréversibilité de la perte.

Vous êtes alors traversé par des vagues émotionnelles intenses. Vous essayez d’y résister, mais vous ne pouvez continuer éternellement.

Alors marche après marche, vous descendez au plus intime de vous-même, dans votre douleur.

À cet instant, laissez aller vos émotions.

Pleurez, exprimez votre peine sans retenue et sans honte. Parlez.

Partagez votre chagrin auprès d’une écoute bienveillante ou avec d’autres personnes qui vivent la même épreuve.

Mais cette douleur qui vous noue le ventre vous épuise…

Vous allez un jour reprendre le travail, revoir vos proches. Les dossiers à expédier, les pauses café, les réunions, la famille à voir, la vie va continuer…
Mais, il y aura l’absence, un vide abyssal dans votre cœur. Et cette souffrance qui ne vous lâchera pas comme une seconde peau.

Pour vous soutenir durant cette phase, je vous propose 2 outils qui vous offriront un peu de répit.

 

2 outils pour vous soutenir dans l’épreuve :

 

1- Les fleurs de Bach :

Ce sont 38 élixirs floraux créés par le docteur Bach dans les années 30 pour soigner les états émotionnels et psychiques.

Dès l’annonce du décès et durant les premiers jours, prenez 3 gouttes toutes les 2 heures environ du « Remède de secours ». Il apaise votre esprit et vous aide à vous endormir.

Puis, vous pouvez prendre « le chèvrefeuille » et « l’étoile de Bethléem », toujours avec le même dosage, tant que le besoin se fait ressentir.
Le premier vous permet de passer à un nouvel état et de mieux vous détacher du passé pour accepter le deuil. Le deuxième vous consolera.

2- la méthode PEAT :

C’est une technique thérapeutique très efficace que j’utilise avec mes clients.

Elle regroupe une quinzaine de protocoles de soin thérapeutique qui visent à rééquilibrer votre état émotionnel.

Car chaque traumatisme vous fait perdre votre équilibre intérieur et crée un tiraillement entre des polarités opposées, des dualités. Cette tension est la source de vos souffrances.

Les exercices de cette méthode ont le pouvoir de vous calmer et de vous rééquilibrer.

Un exercice en particulier soulage votre trop-plein émotionnel chaque fois qu’il survient afin de le rendre plus gérable et supportable : le BASIC PEAT.

Bien sûr, vous pouvez faire le choix d’ignorer cette technique.

Mais dans des cas de profonde détresse, vos émotions sont telles, que vous avez l’impression de vous trouver dans un ouragan intérieur incontrôlable. Et c’est exténuant.

Dans le fichier audio ci-après, je vous explique comment apaiser votre douleur à chaud grâce au BASIC PEAT, qui est à la portée de chacun.

 

Pour vous accompagner dans vos vagues émotionnelles : le Basic PEAT

par Mary Mann

Délivrez-vous des images chocs

Lorsque les circonstances du décès se sont avérées particulièrement traumatisantes, les images qui vous ont marqué risquent de tourner en boucle dans votre tête.

En plus de la douleur liée à la perte de l’être cher, vous devez faire face à des scènes qui vous hantent et vous ont traumatisé.
Vous devez vous délivrer de ces visions sous peine qu’elles drainent encore plus votre énergie et vous maintiennent dans le traumatisme.

Mais comment ?

La méthode PEAT peut vous apaiser et vous débarrasser de ces ressassements destructeurs.
En séance individuelle, je vous guiderai au travers de différents exercices pour aboutir à l’unité libératrice.

 

Retrouvez votre âme

Quand le décès est particulièrement traumatisant, vous pouvez avoir l’impression qu’un morceau de vous est littéralement parti.

Réellement.

Il y a comme « un trou » quelque part en vous, cette disparition vous a laissé exsangue et même des années après, vous n’êtes définitivement plus le même.

Votre vie s’est comme suspendue depuis ce traumatisme.

Votre joie de vivre ne revient pas, malgré le temps qui passe, vous restez dans l’ombre de votre passé.

En chamanisme, cela s’appelle la perte d’un bout d’âme. Heureusement, il est possible de le retrouver en séance.

 

Chérissez les moments heureux et préparez-vous à dire adieu au chagrin

sadness photo

Durant les semaines suivant le décès, vous allez immanquablement vous remémorer des instants heureux avec le disparu.

Vous revoyez son visage, son sourire, ses mimiques. Vous sentez son odeur. Vous pensez l’apercevoir à chaque détour.

Mais ce n’est pas assez. Vous essayez de le retenir, envers et contre tout.

Alors vous ressortez les albums de photos et les feuilletez un par un…
Des souvenirs précieux pour vous remontent ainsi à la surface.

Notez-les. Une phrase suffit pour chacun d’eux.

Cette liste servira au rituel de l’Adieu au chagrin et du retour à la vie décrit plus bas.

Petit à petit, vous commencerez à remplacer la douleur par des choses positives, et l’absence par des souvenirs où le disparu était avec vous.

Vous pouvez aussi vous accompagner, comme le suggèrent les traditions tibétaines, d’un rituel « anniversaire ».
Choisissez un moment symbolique. Cela peut être l’heure du décès, ou le même jour de la semaine.

Mettez une belle musique. Laissez-vous aller et recueillez-vous. Entrez dans votre bulle pour une communion avec le défunt.
Ces instants vous permettent d’apprivoiser le chagrin et accepter progressivement la perte.

Recommencez autant de fois que nécessaire pour vous.

 

Observez les dualités à l’origine de votre souffrance

La souffrance des premiers jours est violente.
Votre chagrin est insondable.
Parfois, la colère se manifeste.

Vous en voulez au défunt d’être parti, vous maudissez peut-être un Dieu ?

Mais pourquoi est-ce arrivé ? Vous étiez si heureux. La vie était lumineuse. Pourquoi a-t-il pu vous abandonner ?
Or la colère finit par s’en aller et vous laisse de nouveau avec toute cette peine.

Et puis un jour, alors que vous pensez à des moments de bonheur avec le disparu, vous remarquez durant un bref instant que vous ne pleurez pas tout de suite.

Puis soudain, votre esprit vous confronte à l’absence, au fait que ce moment ne sera plus. Et vous êtes à nouveau dévasté.

Sentez bien la bascule qui s’opère en vous, comme si vous appuyiez sur un interrupteur.

Fermez les yeux et revivez intensément un souvenir heureux avec l’être cher ainsi que toutes les sensations qui l’accompagnent. Remarquez que vous ne pleurez pas, car vous vous trouvez AVEC le défunt.

Revenez ensuite ici et maintenant. Si vous arrivez à vaquer à vos occupations, tout va bien. Mais si vous vous focalisez soudain sur le fait qu’il n’est plus là, vous ressentez cruellement l’absence et pleurez : vous êtes SANS.

Etre AVEC / être SANS. Voilà une paire de polarités typique qu’il convient de travailler lors d’un deuil. D’autres comme MORT/VIE ou encore TRISTESSE/JOIE vous tiraillent et vous bloquent dans votre épreuve.

Au moment opportun, c’est-à-dire quand vous serez prêt à laisser partir le défunt, sachez qu’il est possible de neutraliser ces dualités douloureuses afin de rétablir votre équilibre émotionnel grâce à la thérapie PEAT.

Vous pleurerez moins, et serez capable de passer à la phase suivante.
En effet, dans mon expérience, j’ai constaté qu’il fallait agir en thérapie à un moment précis du deuil pour une efficacité optimale.

Voici les différentes phases du deuil

phases du deuil

Ce dessin permet de savoir où vous vous situez dans votre deuil.

S’il date de quelques mois ou plus et que vous souffrez encore énormément, vous serez certainement tout en bas bloqué dans la tristesse la plus profonde. Vous vous interdisez inconsciemment le retour à la vie et à plus de légèreté.

Le début de l’étape d’acceptation est souvent le moment propice pour réunir les polarités qui vous tourmentent, car vous serez alors prêt à moins pleurer.  Entendez bien ceci :

« Que vous ne pleuriez plus ne veut pas dire

que vous ne l’aimiez pas »

Cas concret : le manque et la douleur de l’absence pour Sophie

Quand Sophie est venue me voir, son père très protecteur était décédé tragiquement et brutalement il y avait déjà 20 ans ! Elle était adolescente à l’époque.

Il était plus que temps de faire le deuil. Et Sophie sentait que sa souffrance devait s’arrêter. Car malgré les années écoulées, la douleur du manque était toujours viscérale pour elle.

Cette séparation soudaine avec son père lui avait fait connaitre non seulement une blessure d’abandon et d’injustice importantes qui avaient eu des répercussions multiples : au niveau de sa propre estime, de son équilibre émotionnel resté chaotique…

Mais cette épreuve avait aussi fixé sa personnalité dans une identité de jeune fille, vulnérable et qui n’était pas devenue adulte durant toutes ces années. Elle était restée figée dans le passé par le choc.

Sa douleur était d’autant plus ravivée qu’elle essayait de devenir mère.

Nous avons fait un travail en réunissant différentes polarités durant 10 séances de PEAT. Les résultats dans son quotidien sont vite apparus…

Au bout de quelques séances, elle remarquait qu’elle agissait de plus en plus en adulte, qu’elle était moins déstabilisée par les échecs et à même de mieux affronter la vie. Toute sa personnalité a évolué positivement et naturellement. Ses peines à devenir mère se sont estompées.

Et puis à la 9ème séance, elle m’a dit : « Sur le chemin pour venir, j’ai réalisé que j’avais oublié l’anniversaire de mon père ! Il est né le même jour que ma sœur. Je lui ai souhaité à elle, mais j’ai complètement oublié pour mon père. C’est la première fois en 20 ans… Et c’est ok. J’ai compris et je ressens que les morts et les vivants sont bien à leur place, et que chacun doit poursuivre sa route, tout en pensant les uns aux autres de temps en temps… »

Elle a poursuivi avec un sourire : « Je commence à me suffire à moi-même. J’ai l’impression d’être vraiment devenue adulte il y a peu… »

Aujourd’hui Sophie est plus souriante, équilibrée, solide et légère et commence à vivre pour elle-même et non plus dans l’ombre et le besoin de protection de quelqu’un. Le deuil de son père est fait.

Repérez les signaux annonçant la fin du deuil et le retour à la vie

 

fracture photoVous pensiez que la souffrance ne vous quitterait jamais.

Mais un jour, vous ne la supporterez plus.

Vous vous trouverez alors au point de « bascule ». Vous serez prêt pour l’étape suivante.

Au départ, pleurer vous était nécessaire pour exprimer tout votre amour pour le défunt. Mais un jour, vous ressentez le besoin que cela s’arrête. Vous n’en pouvez plus.

Vous vous trouvez au moment de « bascule ». Celui où vous sentez que vous ne vous donnez pas le droit d’arrêter de souffrir.

Car vous devez prendre conscience de cette croyance selon laquelle vous ne pouvez conserver le souvenir du disparu qu’au prix de votre souffrance.

Or la vie continue.

Elle aura d’ailleurs certainement déjà commencé à vous donner des signes… Spontanément, vous pleurerez moins souvent. C’est normal, mais vous vous direz probablement que ça ne l’est pas.

Alors, il est possible que vous vous passiez des films dans votre esprit où le défunt souffre, et même parfois des scènes de douleur qui n’ont jamais existé. Comprenez qu’inconsciemment, vous essayez de retenir votre chagrin et de pleurer afin de ne pas vous sentir coupable.

Repérez ce moment où la souffrance est maintenue volontairement, mais de plus en plus difficile à prolonger.

Viendra alors le temps de l’acceptation et vous pourrez prendre la décision de dire adieu à la douleur de l’absence, pour vivre ensuite dans la beauté du souvenir vivant et aimant du défunt.

Vous serez de nouveau capable de ressentir la joie d’avoir connu cette personne. Vous la laisserez briller dans votre cœur, car elle ne sera plus connectée uniquement à la douleur.

L’amour vibrera dans votre coeur et vous célébrerez plus sereinement sa mémoire.

Mon rituel d’Adieu au chagrin et de retour à la vie

 

nature photoC’est un moment fort. Choisissez un jour de soleil.

Installez-vous dans un lieu calme. Allumez une bougie ou brûlez de l’encens si vous le souhaitez.

Vous pouvez vous agenouiller en silence afin de préparer votre rituel d’adieu au chagrin :
– Prenez une belle photo du défunt que vous placerez en évidence face à vous.
– Étendez un foulard ou un carré de joli tissu devant vous.
– Déposez la liste des beaux souvenirs (dont la préparation a été expliquée plus haut) à côté du foulard.

 

Prenez votre temps. Fermez les yeux et mettez-vous dans votre cœur.

Quand vous êtes prêt, relisez le premier souvenir à voix haute et laissez remonter les images et les sensations.

Lorsque vous êtes bien dedans, faites le geste avec votre main de le déposer depuis votre tête, dans le foulard. Répétez avec chaque élément de votre liste.

Quand tout a été passé en revue, repliez le foulard avec douceur et serrez-le sur votre cœur comme pour y faire entrer tous les souvenirs joyeux en disant « Merci pour tout ça ! ».

Inspirez profondément en sentant qu’ils fusionnent avec vous. Laissez vos émotions s’exprimer…

Prononcez ensuite : « Est venu le temps de se dire adieu (nom de la personne). Je t’aime ».

 

 

Enfin, trouvez un endroit tranquille dehors à l’abri des regards et brûlez en conscience votre liste puis rangez la photo.

Sentez en le faisant que vous laissez ainsi le défunt s’en aller et rejoindre le Tout, l’univers, librement, mais que vos souvenirs restent à jamais dans votre cœur.

Car c’est notre peine, bien souvent, qui retient les âmes défuntes près de nous et les empêche d’évoluer sur d’autres plans.

Je vous conseille de procéder ensuite au rééquilibrage des polarités avec quelques séances de libération émotionnelle. Cela peut se faire en direct ou à distance par Skype.

Vous ne serez plus bloqué dans la tristesse et éprouverez alors un profond soulagement.

Selon l’intensité de la souffrance de départ, vous pourrez ressentir encore parfois quelques soubresauts émotionnels, mais beaucoup moins forts qu’avant les séances.

Le plus gros du chagrin sera passé et vous pourrez ainsi à nouveau revenir parmi les vivants sans vous culpabiliser. Vous pourrez réinvestir le monde.

La douleur laissera la place à la lumière et à un souvenir aimant. Votre cœur sera plus apaisé.

surmonter le deuil

Quoiqu’il en soit, le deuil reste une épreuve difficile. Et le temps est un allié précieux pour aller vers l’acceptation. Peut-être que pour vous, ce chemin prendra 3 mois, 6 mois, 1 an… Néanmoins, grâce au Basic Peat, vous pourrez déjà apaiser votre souffrance, libérer les premières charges émotionnelles pour mieux traverser ce tsunami. Mon rituel d’adieu devrait aussi vous aider à aller de l’avant. Et après avoir fait la paix en vous, qui sait ? Peut-être aurez-vous plus de recul et vous autoriserez-vous à vivre encore plus intensément votre vie ? Peut-être saurez-vous voir le plein au lieu du vide et dire « Merci de m’avoir donné la chance de connaitre cette personne pendant x années » ? Mais si vous restez inconsolable, je suis là.

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Mary Mann : La thérapie autrement !

Thérapie brève multi-dimensionnelle (en ligne)

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Thérapie brève en ligne (psychopraticienne) : Libération des émotions, régression et libération vies antérieures, libération mémoires transgénérationnelles (épigénétique), développement personnel
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