Connaitre ses vies antérieures

Connaitre ses vies antérieures

Mary Mann

Et se libérer du passé

Quelle utilité de connaitre ses vies antérieures ? Et d’ailleurs, avons-nous eu plusieurs vies ? Toutes les religions en parlent. Certaines personnes en sont persuadées, d’autres n’y croient pas du tout. Mais quel est l’intérêt d’aller explorer ces vies antérieures ? S’agit-il simplement de tourisme temporel afin de satisfaire une curiosité ? Ou bien est-ce un outil thérapeutique et d’évolution spectaculaire ? Et comment libérer ces traumatismes d’un autre temps ?

C’était lors d’une séance thérapeutique avec la méthode PEAT. Par skype.

Louane était assise tranquillement devant son ordinateur.

Elle avait eu recours à mes services car elle souffrait du syndrome de la victime, d’être persécutée, rejetée.

C’était plus fort qu’elle. Sa vie lui rejouait toujours le même scénario.

Nous avons donc effectué un travail grâce à la méthode PEAT.

La séance démarre. Je déroule le process mais… Soudain au bout de quelques minutes, elle s’agite et le contenu de son discours change :

« Du poison… Ils veulent me tuer !»…, Elle se sent mal, son souffle est court

 Des images fugaces d’un château… Elle se met à tousser et s’agite encore plus.

La charge émotionnelle passe… Puis un autre contenu apparaît, plus fort encore.

Elle étouffe. Sa respiration s’accélère. Elle sent des gens sur elle, partout, elle est comprimée. 

« Du gaz !» s’écrit-elle, « Je vais mourir ! ».

Cela m’a tout l’air d’être comme dans un camp de concentration…
La séance est d’une intensité extraordinaire mais tout se déroule bien et elle se termine avec une belle libération. Louane est épuisée.

Quelques jours après la séance, Louane m’avoua avoir toujours souffert d’une impression d’envahissement physique irrationnelle et que cette sensation avait pris fin depuis la séance PEAT, pour son plus grand soulagement.

Il était clair que la problématique de Louane avait des racines profondes dans d’autres sphères temporelles…
C’était pourtant une séance banale de PEAT.

Mais comme me l’a dit mon formateur, cela arrive parfois… Des contenus de vies antérieures qui résonnent avec une problématique actuelle, surgissent de temps en temps.

Fascinée par le sujet, j’ai donc voulu me former à une méthode spécifique pour connaître les vies antérieures et permettre leur libération.

Car si quelques personnes sont conscientes de certaines de leurs vies antérieures (soir par rêve, soit par vision en état modifié de conscience, soit enfin par des émotions fortes et une conviction profonde), et arrivent dans mon cabinet pour effectuer ce travail particulier. D’autres n’en ont pas conscience. Néanmoins, un besoin peut surgir soudain au détour d’une thérapie…

Il est donc important de pouvoir travailler cela précisément afin de nettoyer ce qui les perturbe encore.

Je vais vous raconter 2 cas rencontrés en séance de régression et libération de vie antérieure.

Ils illustrent parfaitement l’influence qu’une vie passée peut avoir sur le présent, ainsi que les bénéfices d’une libération.

 

 

Deux cas de régression et libération de vie antérieure

Une vie brisée

Anne-Laure souffrait d’une peur constante que son conjoint meurt. Son angoisse était inexplicable.

Son conjoint se portait bien ! Et elle n’avait aucun trauma en lien avec ce schéma dans sa vie actuelle. C’était irrationnel.

Nous partons donc de sa peur viscérale de perdre son conjoint aujourd’hui.
La séance est forte, prometteuse.

Elle est une jeune paysanne et mène une existence campagnarde plutôt heureuse.

Soudain, une fête de village, une rixe qui tourne mal, un fiancé à terre et sans vie…

Elle devient une jeune femme brisée qui ne se remariera jamais et vivra à l’écart pour le restant de ses jours…

A la libération de toutes les charges émotionnelles revécues, s’est ajoutée la plus belle : la compréhension et l’intégration que les temps ont changé.

Cela lui était arrivé à une époque où il fallait porter le deuil longtemps, où il y avait une pression religieuse et sociétale. Et elle avait été incapable de refaire sa vie.

Mais l’éventuel décès de son amoureux ne signifierait en aucun cas la fin de sa vie à Elle aujourd’hui.

Elle aurait droit au bonheur quand même et pourrait continuer à vivre. Elle le ressentait clairement.

Elle acceptait enfin cette éventualité existentielle. Et elle était enfin soulagée de ce poids et libérée de cette crainte dans sa vie actuelle.

 

Une douloureuse séparation

Sylvie souffrait d’un déchirement inexplicable quand elle était confrontée à l’idée qu’une mère soit séparée de son enfant.

Elle était maman, ses enfants étaient grands et avaient toujours vécu avec elle.

Mais que ce soit une scène dans un film, un agneau dans un champ qu’on séparait de sa mère, elle s’effondrait en larmes et son cœur était brisé.

Elle ne comprenait pas pourquoi elle réagissait aussi fort.

Nous partons donc de cette problématique actuelle. Sylvie est très vite plongée à l’époque de la 1ère guerre mondiale dans un pays de l’Est.
Sa mère, couturière pour confectionner des parachutes, meurt dans un bombardement alors qu’elles fuient dans la rue.

Sylvie se retrouve orpheline brutalement et est exilée loin de sa ville natale, seule et perdue. Elle aura ensuite une existence solitaire et se dévouera à son métier d’enseignante.

Suite à cette régression, Sylvie est revenue de sa vie antérieure en faisant la paix avec sa souffrance.

Les charges émotionnelles ont été libérées et soldées à son grand soulagement.

Elle a aussi compris pourquoi elle s’était sentie bizarrement abandonnée par sa mère dans sa vie présente, sans que cela soit justifié, mais également d’où venait son appréhension quand elle entendait des petits avions voler assez fort…

 

Ainsi, vous avez pu comprendre que se libérer d’une vie antérieure a plusieurs intérêts. En plus d’une compréhension de soi et d’une exploration temporelle étonnante, cela vous permet de faire la paix avec un passé révolu qui peut vous poser encore problème actuellement. Il s’agit souvent d’un travail fort en émotions et libérateur, vous permettant ensuite de vivre plus léger et au présent, de même que de faire des choix nouveaux et salutaires.

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

lire plus

 


 

Mary Mann : La thérapie autrement !

Thérapie brève multi-dimensionnelle (en ligne)

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Thérapie brève en ligne (psychopraticienne) : Libération des émotions, régression et libération vies antérieures, libération mémoires transgénérationnelles (épigénétique), développement personnel
  • Mudra-thérapie : 1ère professeur et mudra-thérapeute en France, certifiée Sabrina Mesko, d'après l'enseignement de Yogi Bhajan - Art énergétique millénaire de bien-être et de développement personnel
  • Soin chamanique - chamanisme
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

Transgénérationnel : notre corps se souvient

Transgénérationnel : notre corps se souvient

Mary Mann

Entendez-vous ?

Avez-vous déjà pris conscience que vous êtes le fruit d’une longue lignée venue du fond des âges ? Ce lien transgénérationnel qui vous unit à vos ancêtres s’étire jusqu’aux origines de l’humanité… Ressentez-vous parfois des attirances viscérales pour certaines choses, sans véritable raison ? Souffrez-vous de blessures émotionnelles exacerbées qui ne trouvent pas vraiment d’origine dans votre vie ? Vous êtes-vous déjà interrogé sur vos ancêtres et avez-vous parfois constaté des similitudes de comportement ou dans vos choix de vie ? Si votre conscience n’a pas toujours les mots pour l’expliquer, votre corps lui, se souvient…

Vous arrive-t-il d’avoir des émotions qui soudain vous submergent plus que de raison face à un événement ? Comme si cela venait toucher quelque chose de profond qui ne vous appartient pas ? Vous avez l’impression que quelqu’un d’autre pleure à travers vous, que quelqu’un d’autre a peur… Cela vous secoue, cela vous dépasse et se répète à chaque nouvelle situation similaire !

Ou avez-vous des attirances pour quelque chose, que ce soit un pays, une activité ? Et vous ne savez pas d’où ça vient, c’est plus fort que vous !

Avez-vous des intuitions très fortes sur votre famille, des secrets que vous percevez comme au travers d’un rideau que vous ne parvenez à ouvrir ? Mais c’est là et vous le sentez en vous sans pouvoir l’expliquer !

J’ai toujours été passionnée de généalogie. Ces fragments d’histoire exhumés qui revivaient le temps d’une lecture aux archives, ouvraient les portes de mon imagination. En même temps qu’un vortex magique dans l’espace-temps.

Ce lien aux ancêtres m’a toujours émerveillée…

Vous avez vu Avatar ? Vous vous souvenez de l’arbre blanc des ancêtres ? Votre corps, vos souvenirs, c’est un peu comme cet arbre sacré dans Avatar. Si vous prêtez l’oreille et écoutez votre corps, vous pouvez entendre vos ancêtres vous parler… Leur histoire est là, vous avez une base de données génétique et émotionnelle incroyable en vous !

Mon cas personnel

 

holland photo

Oui, cette image d'illustration est un cliché. Mais quand même, une femme guerrière viking, ça méritait quelque chose de classe.

J’ai envie de vous raconter un peu de mon histoire…

1- J’ai toujours été attirée par la Hollande, pourtant, à mon grand désarroi, je n’y ai jamais mis les pieds. Curieux, non ? A l’adolescence, c’était même bien plus fort que cela : j’éprouvais de la NOSTALGIE pour ce pays que je ne connaissais pas.

J’en avais presque un trou au cœur.

A l’époque, je savais juste que mon grand-père maternel était belge mais je n’avais pas conscientisé que j’avais des origines flamandes. Plus tard, j’ai remonté ma « branche » et là, j’ai pu grâce à internet, trouver que le berceau du patronyme de mon grand-père était à Sneek (province de la Frise), tout au nord de la Hollande… Etrange, non ?

2- J’ai toujours été attirée par la Scandinavie. L’appel a toujours été très fort. Je m’y sens chez moi. La culture, les légendes, les paysages… Tout m’a toujours parlé au cœur. Et j’ai toujours eu l’intime conviction que j’avais un lien avec ces pays du Nord.

Physiquement, c’était un peu une évidence aussi…

Et puis un jour, lors d’un soin chamanique de recouvrement d’âme que j’ai reçu, je suis partie en transe.

Là, j’ai eu des visions incroyables. Je suis partie en voyage au travers des brumes du temps. Soudain, les brumes se sont écartées et là j’ai vu un drakkar ! Puis j’ai eu d’autres informations que je ne relateraient pas ici.

En résumé, j’ai eu la révélation que j’avais des ancêtres vikings et que je portais une mémoire familiale liée à leurs invasions.

Bien des années plus tard, j’ai effectué un test génétique.

Et vous savez quoi ?

Il est non seulement venu détailler mes ascendances hollandaises, mais ce test m’a aussi apporté une autre information fascinante. Mon ADN mitochondrial maternel est le même que celui de la première chef guerrière viking retrouvée en Suède. Nous partageons une ancêtre commune il y a 10 000 ans.

Sa tombe somptueuse a été trouvée en 2017 sur l’île de Bilka. Les guerrières vikings de cette importance étaient des guides et elles étaient toujours associées aux esprits, à la magie, la divination… Je trouve ce détail fascinant sachant que je pratique le chamanisme et que je sais que ce don me provient de ma lignée maternelle. Mon arrière grand mère était sage-femme dans son village et elle faisait des onguents aux plantes… J’ai même appris que cette femme très pieuse avait soigné des ouvriers malades de la grippe espagnole dans l’église du village, sans tomber malade elle-même.

Mais j’ai aussi demandé à mon père de faire ce test et il s’avère qu’il a 5% d’ADN Scandinave. Effectivement, les vikings ont aussi envahi les Flandres françaises d’où venait sa mère…

Bref, il y a bien du viking en moi. Comme quoi… mon corps le savait.

De mes ancêtres Hollandais, il me reste la passion pour leur grand chapeau noir, la peinture flamande, et mes 1.78 m. Quant à mes ancêtres Scandinaves, j’en ai hérité une fascination pour les aurores boréales ainsi que pour la mythologie nordique et qui sait… de ce don pour le chamanisme ?

En plus, on m’a toujours prise pour une hollandaise ou une Suédoise en vacances ! LOL.

Bon, difficile de trouver des chapeaux noirs à grands bords aujourd’hui, j’ai fait avec ce que j’ai trouvé ;-)…

 

Nous héritons bien des traumatismes des générations passées…

 

… et ce sont les gènes qui les transmettent. (vu sur www.atlantico.fr)

Des expériences récemment menées sur des souris par une équipe de chercheurs de l’université d’Atlanta ont mis en évidence le fait que des événements traumatisants provoquaient des modifications sur l’ADN observé dans leur sperme, et avaient des effets sur le cerveau et le comportement des générations suivantes.

D’après le professeur Marcus Pembrey, du University College London, ces découvertes sont transposables aux hommes.

Cela me rappelle d’ailleurs un autre constat il y a quelques année, aux Etats-unis… A New York, de nombreux enfants nés fin 2001, début 2002 souffraient d’un stress post-traumatique qui a d’abord été inexpliqué.

Puis les médecins ont fait le rapprochement : leurs mères ayant vécu les événements traumatiques du 11 septembre 2001 alors qu’elles étaient enceinte, l’information de danger de mort s’est transmise au bébé qui en a développé un stress viscéral inconscient, un stress transgénérationnel.

L’impact plus fort venant de la mère a d’ailleurs été prouvé il y a une vingtaine d’années : l’information parentale n’est pas égale ; elle est généralement plus favorable à la transmission des caractères de la mère que de ceux du père.

A quel point sommes-nous façonnés par ce qui nous a précédé ?

 

Pierre Robertoux* nous explique :

« Nous sommes influencés culturellement. Mais nous le sommes de multiples façons. Pour cela je vous citerai une autre étude, qui a mis en avant un mécanisme différent mais a abouti à un résultat analogue.

Des souris ayant subi une carence alimentaire et ayant été soumises à un stress apprennent mal. Même bien nourrie, leur progéniture apprend mal, et cela pendant deux générations. Que s’est-il passé ? Les grand-mères mal nourries n’ont pas donné de soins suffisants à la progéniture.

De ce fait, cette dernière présente des performances cognitives faibles. Mais ces mêmes souris ne savent pas donner les soins nécessaires aux petits qui, de ce fait également apprennent mal. Linda Crnic, qui fit cette expérience il y a voici trente ans, observa des conséquences des privations et stress infligés à une souris pendant trois générations.

Il n’y a pas que les mécanismes génétiques ou épigénétiques qui nous aident à nous souvenir des ancêtres. »

Eh oui, il y a aussi tous nos comportements, nos croyances…

 

u

Qui est Pierre Robertoux ?

*Pierre Roubertoux est professeur de génétique et de neurosciences à Marseille. Il a créé et dirigé le laboratoire « Génétique, neurogénétique, comportement » du CNRS et a travaillé au laboratoire « Génomique fonctionnelle, comportements et pathologies » du CNRS, à Marseille. Il mène aujourd’hui ses recherches au sein du laboratoire de génétique médicale de l’Inserm. Ses travaux sur la découverte de gènes liés à des comportements lui ont valu le prix Theodosius Dobzhansky, aux États-Unis.

J’avais d’ailleurs vu il y a quelques années une étude fort intéressante de deux chercheurs en Scandinavie qui avaient la même conclusion.

Si ma mémoire est bonne, ils avaient remarqué que les jeunes filles portaient la mémoire traumatique d’événements marquants, quand ceux-ci leur arrivaient principalement avant la puberté, et que l’information était transmise sur 3 générations parfois 4 (si le traumatisme était très fort).

Quant aux garçons, c’était la période de la puberté qui était déterminante, et de même, l’information était encodée quelque part dans le génome et transmise à la descendance sur 3 ou 4 générations.

Si je me souviens toujours bien, ils avaient étudié le cas d’une femme en surpoids dont les ancêtres avaient souffert de famine. Son corps était ainsi programmé pour garder et optimiser la nourriture même si elle avait suffisamment à manger !

Regardez aussi la tribu des Apaches dont Geronimo était un grand leader. A leur grande époque, avant d’être intégrés de force dans la société américaine et que leur mode de vie soit totalement remis en question, les Apaches avaient une endurance à toute épreuve.

Ils parcouraient des kilomètres chaque jour, telles des gazelles sous un soleil de plomb, dans un milieu désertique, avec très peu d’eau (durant leurs expéditions, ils tiraient principalement leur eau grâce aux plantes du désert qu’ils connaissaient très bien). Ils n’avaient bien souvent qu’un peu de viande séchée comme nourriture pour plusieurs jours.

Mais cela ne les empêchaient pas de parcourir des distances incroyables ! Cela faisait d’ailleurs parti du rite d’initiation des jeunes hommes en plus de la quête de vision de leur animal de pouvoir…

Aujourd’hui, ils n’ont plus du tout ce mode de vie très rude et leur corps a malgré tout gardé la mémoire d’un métabolisme ultra performant, optimisant la moindre calorie ingérée. Résultat : leurs descendants sont TOUS en surpoids ou pire : obèses !

 

Observez votre famille et observez-vous

 

Nous sommes le fruit de 2 guerres mondiales, la plus vieille remontant à seulement 100 ans. Nos arrière-grands parents ont fait cette guerre, beaucoup y sont morts tragiquement. Nos grands parents ont connu cette guerre dans l’enfance, traversé des périodes violentes, dures, ont pu souffrir de la misère, de la faim être déracinés…

La crise de 1929 est aussi passée par là et a pu laisser sa marque de faillite et de honte sur certaines lignées… Si vous êtes adulte aujourd’hui, vous êtes justement la 3ème ou 4ème génération.

Peut-être sentez-vous encore dans vos tripes la peur des soldats au moment d’aller à l’assaut en 14 sous le vacarme tonitruant des bombes allemandes ? Fondez-vous en larmes de manière inexpliquée devant les documentaires reparlant de ces deux terribles conflits mondiaux ?

Auriez-vous un ancêtre qui a souffert du gaz moutarde et qui en est mort après la guerre ?  Et que cela vous fait mal respirer sans raison ? Que dire sur les camps de concentration… Peut-être que certain(e)s de vos ancêtres se sont retrouvés orphelins ou veuves de guerre et que vous portez leur blessure d’abandon… Ou encore un de vos ancêtres a fait faillite et de ce fait vous interdit inconsciemment de prospérer

Tant de traumatismes jalonnent notre histoire de famille !

Comment s’en libérer ?

 

Pour avoir vécu cela dans ma chair, ce sont des postulats passionnants à explorer et à libérer pour aller mieux et vivre notre vie enfin libérés de ces mémoires transgénérationnelles meurtries.

Car elles font partie de notre histoire, mais elles ne sont pas notre vie présente et pourtant, elles provoquent encore des résonances.

Vous êtes le fruit d’une histoire humaine venant du fond des âges et qui se perpétue depuis l’aube de l’humanité…

Un proverbe africain dit : « pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient ».

Au-delà de vos propres blessures émotionnelles biographiques (votre vécu), il y en a d’autres parfois inconscientes qui viennent alourdir votre sac et amplifient vos réactions dès lors qu’elles font écho avec votre vécu dans cette vie.

Ces blessures peuvent venir de vos ancêtres et parfois même de vos vies antérieures (mémoires karmiques) qui vous ont laissé des schémas non résolus, des croyances, des traumatismes que vous pouvez retrouver dans votre vie actuelle afin de les dépasser, de vous libérer du cycle de répétition et d’évoluer.

Il n’est pas rare que ces blessures tant familiales que karmiques soient du même registre (tiens comme par hasard, histoire d’en rajouter une couche) et se répondent pour mieux se faire entendre et vous faire progresser…

Il m’arrive de tomber sur des mémoires karmiques ou familiales lors d’un soin chamanique mais parfois en thérapie PEAT !

Il est donc intéressant de voir que nous pouvons aborder la problématique de vos émotions de bien des façons :

Donc si vous souffrez de troubles émotionnels plus forts que vous, que vous puissiez les relier ou non à un événement traumatique vécu dans votre famille, Sachez qu’ils ne demandent qu’à être entendus et libérés.

C’est sur cela que je vous invite à porter votre attention…

 

Alors prêtez l’oreille, ressentez votre corps et vos émotions…

Que vous disent vos ancêtres ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

lire plus

 


 

Mary Mann : La thérapie autrement !

Thérapie brève multi-dimensionnelle (en ligne)

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Thérapie brève en ligne (psychopraticienne) : Libération des émotions, régression et libération vies antérieures, libération mémoires transgénérationnelles (épigénétique), développement personnel
  • Mudra-thérapie : 1ère professeur et mudra-thérapeute en France, certifiée Sabrina Mesko, d'après l'enseignement de Yogi Bhajan - Art énergétique millénaire de bien-être et de développement personnel
  • Soin chamanique - chamanisme
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM