Une thérapie multi-dimensionnelle au service de l’Etre

Une thérapie multi-dimensionnelle au service de l’Etre

Mary Mann

A l’heure où chaque acteur du web est ultra spécialisé pour tenter de gagner en visibilité, j’ai choisi de faire l’inverse. J’ai voulu être pleinement moi-même. J’ai choisi d’avoir une approche thérapeutique multiple qui me ressemblait : une thérapie multi-dimensionnelle. Un accompagnement pluriel, étonnant mais toujours au service d’une chose, le soulagement de la souffrance. Pour que vous trouviez la paix intérieure et soyez dans votre pouvoir personnel afin de rayonner.

C’est la même chose à chaque salon « Bien-être et développement personnel ».

Les curieux arpentent les couloirs, papillonnant d’un stand à l’autre…

Puis, ils sont attirés par quelque chose : les couleurs, un mot, une image…

Est-ce la voie lactée sur mon affiche qui les subjugue ?

La beauté et la profondeur du ciel étoilé ?

Les mots « Libération émotionnelle » ? Ou bien « Chamanisme » qui les interpellent ?

Je ne sais pas.

Mais je m’en amuse toujours. 🙂

 

Le scénario est souvent le même. Ils s’arrêtent.

Ils égrènent le détail de mon book de prestations en murmurant :

-Libération émotionnelle
-Libération vie antérieure
-Libération transgénérationnelle
-Chamanisme
-Professeur de mudras

Leurs yeux s’ouvrent alors plus grands et ils me regardent. Ils s’exclament l’air interloqué: « Vous faites tout ça !? ».

Je souris. 🙂 Et pourquoi pas ?

 

Néanmoins, je comprends leur étonnement.

Ô combien il est difficile d’avoir une vision holistique et d’être unifié dans cette civilisation malade…

L’heure est au découpage.

La médecine occidentale fonctionne par partie, en segmentation de l’humain, par « spécialité » !

Mais l’humain n’est pas une voiture qu’on démonte !

C’est ainsi qu’un chirurgien endocrinologue enlevant la thyroïde à une femme ne se préoccupera pas des incidences hormonales pouvant mener tout droit à des désordres gynécologiques quelques mois plus tard…

Choquant.

Alors, j’ai pris le parti de vous aider « du sol au plafond » avec toutes mes compétences. Aussi bien dans une dimension horizontale que verticale.

Car vos problématiques et souffrances trouvent la plupart du temps leur origine dans votre vécu. Or votre vécu, lui, a souvent des résonances avec le transgénérationnel, ou encore dans les vies antérieures. Et parfois vous souffrez de perturbations venant « d’ailleurs » !

Ainsi, je vous accompagne dans toutes les dimensions temporelles, psychologiques et corporelles vers la transformation, la paix et l’Unité.

Grâce à une palette d’outils thérapeutiques efficaces, innovants : tout cela au service de VOUS en ENTIER !

 

Ce peut être une demande pour apaiser une lignée familiale, une séance de libération de vie antérieure, un soin chamanique

 

Je déploie donc tous mes savoir-faire et talents au service de ceux qui veulent changer de vie en transcendant leur vécu.

Mon éventail de compétences à la fois en thérapie brève est la garantie d’un accompagnement pertinent et adapté à votre besoin du moment : depuis la gestion de votre stress et de vos émotions, à la libération de votre passé et de vos croyances limitantes qui vous enferment dans des schémas relationnels préjudiciables et brident votre potentiel.

Chacun de mes clients peut ainsi :
• Trouver la paix intérieure
• Etre zen
• Libérer son potentiel

Je suis en mesure de vous offrir cet accompagnement riche car j’ai moi-même fait ce chemin avant vous.

A bientôt !

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Mary Mann : La thérapie autrement !

Thérapie brève multi-dimensionnelle (en ligne)

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Thérapie brève en ligne (psychopraticienne) : Libération des émotions, régression et libération vies antérieures, libération mémoires transgénérationnelles (épigénétique), développement personnel
  • Mudra-thérapie : 1ère professeur et mudra-thérapeute en France, certifiée Sabrina Mesko, d'après l'enseignement de Yogi Bhajan - Art énergétique millénaire de bien-être et de développement personnel
  • Soin chamanique - chamanisme
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Mary Mann

Et non les vaincre !

Vous souffrez de bouffées émotionnelles ? Vous réagissez toujours aux mêmes choses et trop fort ? Vous ruminez souvent pendant des lustres ? Et vous aimeriez venir à bout de ce mal-être qui vous épuise et vous maintient dans une spirale infernale de négativité et de répétitions sans fin. Certains se font une joie d’employer des formules « chocs » et prometteuses : ils vous promettent de vaincre les émotions négatives grâce à des solutions qui finalement vous en détournent… Laissez-moi vous compter pourquoi vaincre les émotions négatives est non seulement impossible, mais surtout non souhaitable. Découvrez plutôt l’utilité des émotions et apprenez comment gérer ses émotions négatives efficacement.

Certains vous l’assurent et n’ont pas peur de se contredire.
Il faut écouter ses émotions mais en même temps les seules solutions qu’ils vous proposent pour aller mieux sont de faire diversion pour éviter de trop les ressentir.
Bon… Faut savoir !

Et tout ça à grand renfort de méditation, sophrologie, sport… qui permettent d’évacuer les tensions et de ne pas trop y penser.
Selon eux, il vous suffit aussi de positiver, de prendre du recul et tout ira bien.

Certes, dans l’urgence, c’est bien d’activer la soupape pour relâcher la pression…
Mais et si les émotions négatives reviennent inlassablement ?
Eeuuuh… Ben on recommence !?

Non…

En même temps, je vous comprends.

La nature humaine est ainsi faite : elle n’aime pas souffrir. Elle fait tout pour éviter la souffrance.

L’humain croit que maintenir à l’écart les émotions négatives qui le dérangent lui fera trouver la paix intérieure.

Par exemple, beaucoup de gens méditent pour fuir leurs tourments qui hurlent à l’intérieur. D’autres se réfugient dans une fuite spirituelle pour ne pas rencontrer des peurs ou des colères et croient ainsi les transcender. Mais ce n’est qu’une illusion. On ne peut pas trouver la paix durablement ainsi !

Or c’est bien plus facile de faire des activités plaisantes pour s’en détourner ou de faire encore l’autruche ou du tennis avec ses émotions négatives que d’aller leur dire bonjour :-).
« Oh non, je ne veux pas ressentir ça, tu me déranges… »
Bam ! Coup de raquette pour la renvoyer dans ses pénates…
Pas grave, elle reviendra plus tard. Probablement en plus fort…

Ou encore sophrologie : paradis perdu verdoyant « Oh, c’est merveilleux ! »Je m’évade, que cet imaginaire est beau ! »

Quelle belle illusion durant quelques minutes… Mais le problème à l’origine de votre inconfort émotionnel n’est pas réglé pour autant et continue de vous hanter dans votre inconscient.

VAINCRE SES EMOTIONS : ETES-VOUS EN GUERRE ?

Tout d’abord, on va pas se mentir : « vaincre ses émotions » est une formule marketing pour vous faire lire un article ou cliquer sur une vidéo.
Eh oui ! Les gens aiment qu’on leur vende du rêve…

Pourquoi vaincre les émotions négatives est illusoire et non souhaitable ?

 

Car premièrement, une émotion n’est pas votre ennemi, vous n’êtes pas en guerre.

En guerre contre vous-même qui plus est ! Le langage est inapproprié.
Encore plus quand on vous vend ensuite de l’acceptation.

Là, j’en perds mon latin…

Bref, une émotion est un langage intérieur. Elle est en vous, vous la ressentez.

Étymologiquement, c’est un mouvement affectif créé par une sensation qui vient d’un stimuli extérieur (MOTIO=mouvement + E=qui vient de)

Les émotions sont là pour vous aider à vous adapter à chaque situation de votre vie, à survivre et à interagir avec votre environnement.

  • Elles indiquent dans quelle mesure vos besoins sont satisfaits ou insatisfaits.
  • Elles vous informent sur votre état intérieur.
  • Elles vous donnent un message précis à propos de votre équilibre intérieur.

Les émotions « négatives » ne sont pas vos ennemis.

Une émotion est la traduction pour vous d’une situation.
Or, nous avons tous une histoire, des traumatismes (qu’il soient d’origine biographique, transgénérationnelle ou karmique). Et en fonction des charges émotionnelles qui y sont liées, une situation d’apparence banale pour quelqu’un d’autre pourra avoir un effet dévastateur sur vous.

En effet, vos émotions peuvent parfois prendre trop de place car elles sont en fait l’écho d’autre chose…

L’échos d’un traumatisme ou d’une blessure de l’âme (par exemple, du rejet, de l’humiliation…)
C’est pourquoi ce que vous vivez intérieurement peut s’avérer dérangeant.
Mais ce n’est bien souvent pas le reflet totalement fidèle de la réalité qui a vraiment lieu sous vos yeux.
C’est souvent une interprétation ou une surenchère au travers du prisme égotique blessé.

Cependant, une émotion est un message.
Et il faut l’écouter pour la libérer et en faire quelque chose au lieu de mettre le couvercle dessus ou de vous échapper.

Oui je sais, ce n’est pas confortable. Or, c’est la seule voie pour transcender un problème.

Car ce à quoi je résiste persiste !

Alors quand une émotion récurrente vous bouffe la vie, ne fuyez pas ! Vous pouvez déjà vous soulager ponctuellement du trop plein émotionnel grâce à l’outil basic PEAT, que j’explique dans mon article sur le deuil.

Mais si vous voulez vous soulager durablement d’une émotion négative, prenez plutôt votre pioche et votre lanterne…

Et Hop ! On descend pour voir ce qui se passe ! 

LES ÉMOTIONS NÉGATIVES : LE VRAI PROBLÈME

D’abord, prenez bien conscience que les émotions, tout comme vos pensées, ne sont pas TOUT votre Etre.
Aussi intenses soient-elles, elles ne sont « que » des vagues intérieures.
C’est pourquoi les écouter et les accueillir tout en les observant est possible et surtout, cela ouvre la voie de la guérison.

Car le changement commence par l’accueil de ce qui EST.

Malheureusement, ce n’est pas simple.

En vérité, j’ai remarqué qu’il existe deux situations avec les émotions négatives : soit elles sont ponctuelles, fluides et on les vit bien, soit elles prennent toute la place et ça bloblotte, c’est instable.

Elles sont ponctuelles, fluides

On est fluide car on sait les vivre sans problème puisqu’on est suffisamment équilibré (paix et liberté vis-à-vis du vécu et des conditionnements),

Elles prennent toute la place et c’est instable

J’ai rencontré deux cas de figure :

1- soit on met le couvercle dessus par peur de souffrir, ce qui peut aboutir à des allergies émotionnelles (explosions par des « bouffées » qui peuvent s’échapper de temps en temps) ou même parfois – si on a poussé le bouchon très loin – on arrive à une « incapacité » émotionnelle (on ne pleure plus, on est « coupé »…). Pour survivre, on a scellé la porte de nos tourments consciemment ou inconsciemment. Dès lors, contacter son vécu reviendrait à libérer le Kraken. oO. Il n’est pas rare de souffrir de Troubles Musculo Squelettiques, de somatisations diverses car le corps encaisse…

2- soit on est bloqué dans une émotion négative récurrente à cause d’un vécu impactant prolongé ou bref (ex : quelqu’un constamment soumis à la peur devient peureux, quelqu’un qui a souvent été en colère devient colérique, quelqu’un de souvent triste devient dépressif, une personne qui subit un traumatisme violent et soudain peut se retrouver bloquée dans la peur, la tristesse car le souvenir de ce trauma continue à faire des ravages dans son inconscient…). Le déséquilibre est important. On est ainsi dépolarisé et on ne sait plus fonctionner autrement. On peut dire que la personne est carrément devenue l’émotion négative.

Dans ces situations, je rencontre fréquemment des clients avec un vécu très difficile.

Ils ont survécu comme ils ont pu… Mais au bout d’un moment, ils se rendent compte que ce vécu devient handicapant et les empêche de vivre…

Ils souffrent, ils sentent un manque, ils sont « coupés » d’une partie d’eux-même et certains ressentent le besoin de rouvrir la porte pour faire la paix avec leur vécu mis sous clé si longtemps. Ils aspirent à rééquilibrer leurs émotions pour fonctionner plus sainement.

Certes, leur vécu traumatique y est pour quelque chose, mais notre modèle d’éducation n’aide pas non plus à cette fluidité et cet équilibre émotionnel.

Car pour beaucoup d’entre nous, depuis notre enfance, nous avons souvent reçu tout simplement l’injonction de réprimer nos émotions négatives :
-« Ne pleure pas !
-Mais moi aussi j’peux me mettre en colère !
-Arrête de pleurer, tout le monde nous regarde, tu me fais honte…
-Les garçons, ça ne pleure pas »

Ça vous dit quelque chose ?

Qui plus est, le fait d’être dans une dictature du positif, de « winner » n’arrange rien.

Cela est encore plus vrai dans le monde du travail.
Essayez de pleurer ou de vous mettre en colère en entreprise, vous verrez la tête de vos collègues !
Interdit ! Refoulement…

On vous dit même que vous devez laisser vos problèmes à la porte et on vous oblige à mettre un couvercle sur votre ressenti, à paraître lisse et imperturbable…
Humain robotisé, standardisé qui ne fait pas de vagues.

Mais c’est impossible !
Il est grand temps de réinventer l’entreprise humaine… Mais c’est un autre sujet.

Alors, si nous n’écoutons pas nos émotions, nous nions certains de nos besoins et petit à petit nous perdons le contact avec nous-même.
– Cela crée des BOUCHONS qui peuvent nous sauter à la figure un jour où la coupe est pleine.
– Cela peut engendrer un MAL-ETRE général inexplicable comme chez certains de mes clients qui ont comme perdu un bout de leur âme, surtout quand ils ont de gros traumatismes (notion chamanique). Leur personnalité est fragmentée et ils perdent leur pouvoir personnel
– Le corps peut même se mettre à somatiser pour faire entendre cette émotion dont il ne sait que faire car elle n’est pas entendue !

Ce long processus de perte de soi, de déconnexion à nous-même, fait qu’au final nous ne savons plus qui nous sommes.

Cette perte de communication avec nous-mêmes ne va pas non plus dans le sens d’une communication saine à l’autre.
En effet, comment entrer en relation avec l’autre sainement quand nous ne savons plus communiquer avec nous-mêmes ?
Que nous ne savons pas entendre ces messages que sont nos émotions et que nous bâillonnons souvent à grand coup de méditation, sophrologie, sport, hyperactivité etc. ?

EMOTIONS NEGATIVES : VRAIMENT ?

Colère, tristesse, peur, culpabilité… Vous ne les aimez pas, hein ?

Et là vous me dites : « Oui, ce sont des émotions né-ga-ti-ves »

Mais au fait, depuis quand une émotion est-elle négative ?
Une émotion n’est ni négative, ni positive : elle EST.
Et si une émotion existe, elle a une utilité. Ce n’est pas une maladie !

 

Le merveilleux film d’animation Vice Versa nous le démontre parfaitement.

Toutes les émotions « négatives » mises à l’écart par la JOIE, s’avèrent finalement nécessaires au bien-être psychique et à l’équilibre de la petite fille.

Pourtant, nous considérons souvent la tristesse comme une faiblesse indésirable.

De même, nous traitons la colère comme un manque de maîtrise alors qu’elle peut être une énergie puissante très utile et pas forcément explosive !

Les émotions négatives vous apportent un message :

  • la peur vous indique un possible danger,
  • la colère vous indique un besoin insatisfait ou vous permet de vous protéger et vous affirmer,
  • la tristesse indique un manque, un besoin non comblé (principalement affectif),
  • la culpabilité vient nous questionner dans notre responsabilité vis-à-vis de ce qu’on se reproche.

Et toutes ces émotions ont différents degrés selon leur intensité, comme le montre la roue des émotions de Plutchik. Par exemple, la peur se décline en inquiétude, crainte, peur, terreur, panique.

J’aime voir mes clients redécouvrir leur dialogue intérieur lors des séances de libération émotionnelle. Ils refont ami-ami avec leurs ressentis et s’en trouvent bien mieux. Ce qu’ils mettaient à l’écart par peur et incompréhension leur paraît soudain normal car ils contactent ce qui est derrière et ils l’accueillent avec bienveillance. Au lieu de la refouler, ils intègrent leur histoire personnelle…

Pour ma part, je préfère qualifier les émotions négatives d’émotions « désagréables ».
Sinon, on se croirait dans les contes pour enfant : il y a un gentil versus un méchant.
Bououuu ! La vilaine émotion négative !

Mais vous savez ? Cette façon de voir les choses BIEN/MAL vient de très loin.
Dans notre culture, nous nous sommes construits autour de la notion de polarités. Cela vient de la Pensée polaire.
Qu’est-ce que c’est ?
Laissez-moi vous expliquer brièvement…

COMMENT EST NEE LA PENSEE POLAIRE ?

D’abord il y a eu le Manichéisme venu de Perse, au 3ème siècle après JC.
Vous savez ? C’est quand on évalue les choses à l’aide d’antagonismes. Tout blanc ou tout noir…

Puis, cette façon de penser très catégorique a infiltré les mentalités et a même fini par influencer la morale religieuse en Occident.

 

 Dès lors, la manière de concevoir les choses en opposition s’est renforcée et a fait de notre monde un monde bipolaire où le BIEN et le MAL s’affrontent.

La pensée Polaire est ensuite née au 12ème siècle.

Elle conçoit que tout ce qui existe a deux polarités inverses : chaque chose a son opposé.
 La lumière/l’obscurité, le blanc/le noir, le Vrai/le Faux…

Et on favorise une pensée plutôt que l’autre, on catégorise, on oppose et on sépare deux choses qui sont pourtant les faces d’une même pièce.

Vous avez remarqué ?

Que ce soit dans les contes pour enfants ou dans les mythes, il y a toujours un gentil et un méchant.

Le gentil est-il mieux que l’autre ? Certes, il fait de bonnes actions.
Mais c’est l’existence de l’un qui permet de concevoir et donner vie à l’autre en tant que son opposé. Cela donne l’occasion de l’appréhender dans sa nature. Sinon, nous ne saurions pas le nommer ni le comprendre instantanément.

Il en est de même de nos états intérieurs que nous opposons : joie/tristesse, confiance/peur, patient/impatient…

LA DUALITE AUSSI DANS LA NATURE…

 

Cette façon duelle de voir les choses, provient aussi de l’observation de La Nature qui est bien faite d’oppositions franches (froid/chaud, contraction/expansion…)

Mais il y a une différence essentielle : la Nature passe aussi indifféremment et naturellement d’un état à un autre et ceci constamment !
Tandis que la pensée Polaire, elle, FIGE un état qu’elle va juger meilleur que son opposé et de manière, arbitraire, catégorique et définitive.

 

Pour prendre une image : c’est comme si on décrétait que l’inspiration était mieux que l’expiration et qu’on se mette à développer des tas de théories pour justifier cela…

Mais si vous n’expirez pas… vous n’êtes pas en vie !

La vie consiste à passer fluidement d’un état à un autre en permanence, dans l’équilibre.

Vous avez suivi ?
Bien

Alors pourquoi en serait-il autrement pour les émotions ?

LA VOIE DU SALUT : Ecouter, libérer et rééquilibrer ses émotions grâce à PEAT

Si vous avez bien suivi, vous avez compris que pour bien vivre vos émotions quelles qu’elles soient, vous devez toutes les accepter et atteindre ce que je nomme : la fluidité émotionnelle.

Pour cela, ACCUEILLEZ la polarité « négative » dans toute sa profondeur et son intensité (mais accompagné ! si c’est trop fort).
En effet, le fait de vider un abcès émotionnel permet de laisser émerger autre chose (car au vide succède le plein).
Ecoutez vos émotions désagréables et comprenez les besoins qu’elles traduisent, qui ne sont pas satisfaits en vous.

Car tant que vous musellerez une émotion, elle continuera de venir frapper à la porte jusqu’à être entendue.

Toute cette énergie bloquée s’amplifie avec le temps.
De plus, bloquer la porte est épuisant et c’est une énergie que vous n’avez pas pour autre chose et aller de l’avant.
Il est capital de rétablir une bonne fluidité émotionnelle pour atteindre un bien-être durable, et améliorer votre qualité de vie.

Donc n’ayez pas peur de ressentir ! Ça veut dire que vous êtes vivant !

Au lieu de vouloir faire du karaté (lutte), essayez donc l’aïkido (utiliser la force de l’adversaire pour le neutraliser)!

En séance de thérapie, je vous accompagne dans un véritable aïkido émotionnel grâce à la technique PEAT.

Bien souvent, les gens ont peur d’explorer un certain état « négatif » et ils sentent qu’ils ne pourront pas arriver seuls à les purger. Et c’est souvent vrai.
Certains ont carrément peur « d’exploser » tant l’intensité des émotions qu’ils ont refoulées est importante !
Ils sentent la puissance de ces émotions désagréables car elles n’ont pas été exprimées depuis si longtemps…
Alors, bien sûr, il est souhaitable de les libérer en se faisant accompagner.

Cependant, les libérer n’est pas suffisant pour parvenir à l’équilibre… Ça soulage, mais ce n’est pas suffisant. Vous allez certes traverser et libérer vos ombres : émotions désagréables, souvenirs traumatisants, colères, tristesses, peurs…

Mais afin d’atteindre la sérénité, nous devrons aller voir aussi vos joies, vos bonheurs afin de les rééquilibrer ensemble !
Car ils sont partenaires !

C’est ce mariage et réconciliation qui provoqueront la libération émotionnelle qui aboutira à la fluidité à laquelle vous aspirez tant !
Vous arrêterez de FAIRE LES MONTAGNES RUSSES et stabiliserez vos émotions en les vivant toutes, mais sans excès pathologique ou inconfortable. Vous pourrez trouver la paix intérieure.

Vous allez apprendre à accueillir tout ce que vous êtes avec bienveillance, à vous soulager émotionnellement de vos souffrances et de vos croyances limitantes.
Grâce à ce travail de rééquilibrage, vous allez pouvoir vivre un état de plus en plus fluide, léger et STABLE. Au lieu d’être envahi et submergé au point de faire diversion ou l’autruche.

Ainsi, transcender vos problématiques émotionnelles et non les vaincre est la seule voie vers l’unité et la paix intérieure. Tout évitement diffère le problème. Un rééquilibrage de vos émotions grâce à la méthode PEAT, vous permettra de traverser la vie et ses épreuves plus facilement. Vous jonglerez avec vos émotions plus rapidement, sans en interdire aucune. Vous goûterez à la sérénité et à une nouvelle liberté quant à vos conditionnements passés. Vous savourerez davantage le moment présent par une qualité de présence accrue à vous-même et au monde. Le champ de conscience s’élargira, gage d’un autre rapport au monde et d’une reliance plus forte à la Vie. C’est le chemin de l’éveil.

Comment gérer ses émotions négatives ?

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Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Connaitre ses vies antérieures

Connaitre ses vies antérieures

Mary Mann

Et se libérer du passé

Quelle utilité de connaitre ses vies antérieures ? Et d’ailleurs, avons-nous eu plusieurs vies ? Toutes les religions en parlent. Certaines personnes en sont persuadées, d’autres n’y croient pas du tout. Mais quel est l’intérêt d’aller explorer ces vies antérieures ? S’agit-il simplement de tourisme temporel afin de satisfaire une curiosité ? Ou bien est-ce un outil thérapeutique et d’évolution spectaculaire ? Et comment libérer ces traumatismes d’un autre temps ?

C’était lors d’une séance thérapeutique avec la méthode PEAT. Par skype.

Louane était assise tranquillement devant son ordinateur.

Elle avait eu recours à mes services car elle souffrait du syndrome de la victime, d’être persécutée, rejetée.

C’était plus fort qu’elle. Sa vie lui rejouait toujours le même scénario.

Nous avons donc effectué un travail grâce à la méthode PEAT.

La séance démarre. Je déroule le process mais… Soudain au bout de quelques minutes, elle s’agite et le contenu de son discours change :

« Du poison… Ils veulent me tuer !»…, Elle se sent mal, son souffle est court

 Des images fugaces d’un château… Elle se met à tousser et s’agite encore plus.

La charge émotionnelle passe… Puis un autre contenu apparaît, plus fort encore.

Elle étouffe. Sa respiration s’accélère. Elle sent des gens sur elle, partout, elle est comprimée. 

« Du gaz !» s’écrit-elle, « Je vais mourir ! ».

Cela m’a tout l’air d’être comme dans un camp de concentration…
La séance est d’une intensité extraordinaire mais tout se déroule bien et elle se termine avec une belle libération. Louane est épuisée.

Quelques jours après la séance, Louane m’avoua avoir toujours souffert d’une impression d’envahissement physique irrationnelle et que cette sensation avait pris fin depuis la séance PEAT, pour son plus grand soulagement.

Il était clair que la problématique de Louane avait des racines profondes dans d’autres sphères temporelles…
C’était pourtant une séance banale de PEAT.

Mais comme me l’a dit mon formateur, cela arrive parfois… Des contenus de vies antérieures qui résonnent avec une problématique actuelle, surgissent de temps en temps.

Fascinée par le sujet, j’ai donc voulu me former à une méthode spécifique pour connaître les vies antérieures et permettre leur libération.

Car si quelques personnes sont conscientes de certaines de leurs vies antérieures (soir par rêve, soit par vision en état modifié de conscience, soit enfin par des émotions fortes et une conviction profonde), et arrivent dans mon cabinet pour effectuer ce travail particulier. D’autres n’en ont pas conscience. Néanmoins, un besoin peut surgir soudain au détour d’une thérapie…

Il est donc important de pouvoir travailler cela précisément afin de nettoyer ce qui les perturbe encore.

Je vais vous raconter 2 cas rencontrés en séance de régression et libération de vie antérieure.

Ils illustrent parfaitement l’influence qu’une vie passée peut avoir sur le présent, ainsi que les bénéfices d’une libération.

 

 

Deux cas de régression et libération de vie antérieure

Une vie brisée

Anne-Laure souffrait d’une peur constante que son conjoint meurt. Son angoisse était inexplicable.

Son conjoint se portait bien ! Et elle n’avait aucun trauma en lien avec ce schéma dans sa vie actuelle. C’était irrationnel.

Nous partons donc de sa peur viscérale de perdre son conjoint aujourd’hui.
La séance est forte, prometteuse.

Elle est une jeune paysanne et mène une existence campagnarde plutôt heureuse.

Soudain, une fête de village, une rixe qui tourne mal, un fiancé à terre et sans vie…

Elle devient une jeune femme brisée qui ne se remariera jamais et vivra à l’écart pour le restant de ses jours…

A la libération de toutes les charges émotionnelles revécues, s’est ajoutée la plus belle : la compréhension et l’intégration que les temps ont changé.

Cela lui était arrivé à une époque où il fallait porter le deuil longtemps, où il y avait une pression religieuse et sociétale. Et elle avait été incapable de refaire sa vie.

Mais l’éventuel décès de son amoureux ne signifierait en aucun cas la fin de sa vie à Elle aujourd’hui.

Elle aurait droit au bonheur quand même et pourrait continuer à vivre. Elle le ressentait clairement.

Elle acceptait enfin cette éventualité existentielle. Et elle était enfin soulagée de ce poids et libérée de cette crainte dans sa vie actuelle.

 

Une douloureuse séparation

Sylvie souffrait d’un déchirement inexplicable quand elle était confrontée à l’idée qu’une mère soit séparée de son enfant.

Elle était maman, ses enfants étaient grands et avaient toujours vécu avec elle.

Mais que ce soit une scène dans un film, un agneau dans un champ qu’on séparait de sa mère, elle s’effondrait en larmes et son cœur était brisé.

Elle ne comprenait pas pourquoi elle réagissait aussi fort.

Nous partons donc de cette problématique actuelle. Sylvie est très vite plongée à l’époque de la 1ère guerre mondiale dans un pays de l’Est.
Sa mère, couturière pour confectionner des parachutes, meurt dans un bombardement alors qu’elles fuient dans la rue.

Sylvie se retrouve orpheline brutalement et est exilée loin de sa ville natale, seule et perdue. Elle aura ensuite une existence solitaire et se dévouera à son métier d’enseignante.

Suite à cette régression, Sylvie est revenue de sa vie antérieure en faisant la paix avec sa souffrance.

Les charges émotionnelles ont été libérées et soldées à son grand soulagement.

Elle a aussi compris pourquoi elle s’était sentie bizarrement abandonnée par sa mère dans sa vie présente, sans que cela soit justifié, mais également d’où venait son appréhension quand elle entendait des petits avions voler assez fort…

 

Ainsi, vous avez pu comprendre que se libérer d’une vie antérieure a plusieurs intérêts. En plus d’une compréhension de soi et d’une exploration temporelle étonnante, cela vous permet de faire la paix avec un passé révolu qui peut vous poser encore problème actuellement. Il s’agit souvent d’un travail fort en émotions et libérateur, vous permettant ensuite de vivre plus léger et au présent, de même que de faire des choix nouveaux et salutaires.

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

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Transgénérationnel : notre corps se souvient

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Mary Mann

Entendez-vous ?

Avez-vous déjà pris conscience que vous êtes le fruit d’une longue lignée venue du fond des âges ? Ce lien transgénérationnel qui vous unit à vos ancêtres s’étire jusqu’aux origines de l’humanité… Ressentez-vous parfois des attirances viscérales pour certaines choses, sans véritable raison ? Souffrez-vous de blessures émotionnelles exacerbées qui ne trouvent pas vraiment d’origine dans votre vie ? Vous êtes-vous déjà interrogé sur vos ancêtres et avez-vous parfois constaté des similitudes de comportement ou dans vos choix de vie ? Si votre conscience n’a pas toujours les mots pour l’expliquer, votre corps lui, se souvient…

Vous arrive-t-il d’avoir des émotions qui soudain vous submergent plus que de raison face à un événement ? Comme si cela venait toucher quelque chose de profond qui ne vous appartient pas ? Vous avez l’impression que quelqu’un d’autre pleure à travers vous, que quelqu’un d’autre a peur… Cela vous secoue, cela vous dépasse et se répète à chaque nouvelle situation similaire !

Ou avez-vous des attirances pour quelque chose, que ce soit un pays, une activité ? Et vous ne savez pas d’où ça vient, c’est plus fort que vous !

Avez-vous des intuitions très fortes sur votre famille, des secrets que vous percevez comme au travers d’un rideau que vous ne parvenez à ouvrir ? Mais c’est là et vous le sentez en vous sans pouvoir l’expliquer !

J’ai toujours été passionnée de généalogie. Ces fragments d’histoire exhumés qui revivaient le temps d’une lecture aux archives, ouvraient les portes de mon imagination. En même temps qu’un vortex magique dans l’espace-temps.

Ce lien aux ancêtres m’a toujours émerveillée…

Vous avez vu Avatar ? Vous vous souvenez de l’arbre blanc des ancêtres ? Votre corps, vos souvenirs, c’est un peu comme cet arbre sacré dans Avatar. Si vous prêtez l’oreille et écoutez votre corps, vous pouvez entendre vos ancêtres vous parler… Leur histoire est là, vous avez une base de données génétique et émotionnelle incroyable en vous !

Mon cas personnel

 

holland photo

Oui, cette image d'illustration est un cliché. Mais quand même, une femme guerrière viking, ça méritait quelque chose de classe.

J’ai envie de vous raconter un peu de mon histoire…

1- J’ai toujours été attirée par la Hollande, pourtant, à mon grand désarroi, je n’y ai jamais mis les pieds. Curieux, non ? A l’adolescence, c’était même bien plus fort que cela : j’éprouvais de la NOSTALGIE pour ce pays que je ne connaissais pas.

J’en avais presque un trou au cœur.

A l’époque, je savais juste que mon grand-père maternel était belge mais je n’avais pas conscientisé que j’avais des origines flamandes. Plus tard, j’ai remonté ma « branche » et là, j’ai pu grâce à internet, trouver que le berceau du patronyme de mon grand-père était à Sneek (province de la Frise), tout au nord de la Hollande… Etrange, non ?

2- J’ai toujours été attirée par la Scandinavie. L’appel a toujours été très fort. Je m’y sens chez moi. La culture, les légendes, les paysages… Tout m’a toujours parlé au cœur. Et j’ai toujours eu l’intime conviction que j’avais un lien avec ces pays du Nord.

Physiquement, c’était un peu une évidence aussi…

Et puis un jour, lors d’un soin chamanique de recouvrement d’âme que j’ai reçu, je suis partie en transe.

Là, j’ai eu des visions incroyables. Je suis partie en voyage au travers des brumes du temps. Soudain, les brumes se sont écartées et là j’ai vu un drakkar ! Puis j’ai eu d’autres informations que je ne relateraient pas ici.

En résumé, j’ai eu la révélation que j’avais des ancêtres vikings et que je portais une mémoire familiale liée à leurs invasions.

Bien des années plus tard, j’ai effectué un test génétique.

Et vous savez quoi ?

Il est non seulement venu détailler mes ascendances hollandaises, mais ce test m’a aussi apporté une autre information fascinante. Mon ADN mitochondrial maternel est le même que celui de la première chef guerrière viking retrouvée en Suède. Nous partageons une ancêtre commune il y a 10 000 ans.

Sa tombe somptueuse a été trouvée en 2017 sur l’île de Bilka. Les guerrières vikings de cette importance étaient des guides et elles étaient toujours associées aux esprits, à la magie, la divination… Je trouve ce détail fascinant sachant que je pratique le chamanisme et que je sais que ce don me provient de ma lignée maternelle. Mon arrière grand mère était sage-femme dans son village et elle faisait des onguents aux plantes… J’ai même appris que cette femme très pieuse avait soigné des ouvriers malades de la grippe espagnole dans l’église du village, sans tomber malade elle-même.

Mais j’ai aussi demandé à mon père de faire ce test et il s’avère qu’il a 5% d’ADN Scandinave. Effectivement, les vikings ont aussi envahi les Flandres françaises d’où venait sa mère…

Bref, il y a bien du viking en moi. Comme quoi… mon corps le savait.

De mes ancêtres Hollandais, il me reste la passion pour leur grand chapeau noir, la peinture flamande, et mes 1.78 m. Quant à mes ancêtres Scandinaves, j’en ai hérité une fascination pour les aurores boréales ainsi que pour la mythologie nordique et qui sait… de ce don pour le chamanisme ?

En plus, on m’a toujours prise pour une hollandaise ou une Suédoise en vacances ! LOL.

Bon, difficile de trouver des chapeaux noirs à grands bords aujourd’hui, j’ai fait avec ce que j’ai trouvé ;-)…

 

Nous héritons bien des traumatismes des générations passées…

 

… et ce sont les gènes qui les transmettent. (vu sur www.atlantico.fr)

Des expériences récemment menées sur des souris par une équipe de chercheurs de l’université d’Atlanta ont mis en évidence le fait que des événements traumatisants provoquaient des modifications sur l’ADN observé dans leur sperme, et avaient des effets sur le cerveau et le comportement des générations suivantes.

D’après le professeur Marcus Pembrey, du University College London, ces découvertes sont transposables aux hommes.

Cela me rappelle d’ailleurs un autre constat il y a quelques année, aux Etats-unis… A New York, de nombreux enfants nés fin 2001, début 2002 souffraient d’un stress post-traumatique qui a d’abord été inexpliqué.

Puis les médecins ont fait le rapprochement : leurs mères ayant vécu les événements traumatiques du 11 septembre 2001 alors qu’elles étaient enceinte, l’information de danger de mort s’est transmise au bébé qui en a développé un stress viscéral inconscient, un stress transgénérationnel.

L’impact plus fort venant de la mère a d’ailleurs été prouvé il y a une vingtaine d’années : l’information parentale n’est pas égale ; elle est généralement plus favorable à la transmission des caractères de la mère que de ceux du père.

A quel point sommes-nous façonnés par ce qui nous a précédé ?

 

Pierre Robertoux* nous explique :

« Nous sommes influencés culturellement. Mais nous le sommes de multiples façons. Pour cela je vous citerai une autre étude, qui a mis en avant un mécanisme différent mais a abouti à un résultat analogue.

Des souris ayant subi une carence alimentaire et ayant été soumises à un stress apprennent mal. Même bien nourrie, leur progéniture apprend mal, et cela pendant deux générations. Que s’est-il passé ? Les grand-mères mal nourries n’ont pas donné de soins suffisants à la progéniture.

De ce fait, cette dernière présente des performances cognitives faibles. Mais ces mêmes souris ne savent pas donner les soins nécessaires aux petits qui, de ce fait également apprennent mal. Linda Crnic, qui fit cette expérience il y a voici trente ans, observa des conséquences des privations et stress infligés à une souris pendant trois générations.

Il n’y a pas que les mécanismes génétiques ou épigénétiques qui nous aident à nous souvenir des ancêtres. »

Eh oui, il y a aussi tous nos comportements, nos croyances…

 

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Qui est Pierre Robertoux ?

*Pierre Roubertoux est professeur de génétique et de neurosciences à Marseille. Il a créé et dirigé le laboratoire « Génétique, neurogénétique, comportement » du CNRS et a travaillé au laboratoire « Génomique fonctionnelle, comportements et pathologies » du CNRS, à Marseille. Il mène aujourd’hui ses recherches au sein du laboratoire de génétique médicale de l’Inserm. Ses travaux sur la découverte de gènes liés à des comportements lui ont valu le prix Theodosius Dobzhansky, aux États-Unis.

J’avais d’ailleurs vu il y a quelques années une étude fort intéressante de deux chercheurs en Scandinavie qui avaient la même conclusion.

Si ma mémoire est bonne, ils avaient remarqué que les jeunes filles portaient la mémoire traumatique d’événements marquants, quand ceux-ci leur arrivaient principalement avant la puberté, et que l’information était transmise sur 3 générations parfois 4 (si le traumatisme était très fort).

Quant aux garçons, c’était la période de la puberté qui était déterminante, et de même, l’information était encodée quelque part dans le génome et transmise à la descendance sur 3 ou 4 générations.

Si je me souviens toujours bien, ils avaient étudié le cas d’une femme en surpoids dont les ancêtres avaient souffert de famine. Son corps était ainsi programmé pour garder et optimiser la nourriture même si elle avait suffisamment à manger !

Regardez aussi la tribu des Apaches dont Geronimo était un grand leader. A leur grande époque, avant d’être intégrés de force dans la société américaine et que leur mode de vie soit totalement remis en question, les Apaches avaient une endurance à toute épreuve.

Ils parcouraient des kilomètres chaque jour, telles des gazelles sous un soleil de plomb, dans un milieu désertique, avec très peu d’eau (durant leurs expéditions, ils tiraient principalement leur eau grâce aux plantes du désert qu’ils connaissaient très bien). Ils n’avaient bien souvent qu’un peu de viande séchée comme nourriture pour plusieurs jours.

Mais cela ne les empêchaient pas de parcourir des distances incroyables ! Cela faisait d’ailleurs parti du rite d’initiation des jeunes hommes en plus de la quête de vision de leur animal de pouvoir…

Aujourd’hui, ils n’ont plus du tout ce mode de vie très rude et leur corps a malgré tout gardé la mémoire d’un métabolisme ultra performant, optimisant la moindre calorie ingérée. Résultat : leurs descendants sont TOUS en surpoids ou pire : obèses !

 

Observez votre famille et observez-vous

 

Nous sommes le fruit de 2 guerres mondiales, la plus vieille remontant à seulement 100 ans. Nos arrière-grands parents ont fait cette guerre, beaucoup y sont morts tragiquement. Nos grands parents ont connu cette guerre dans l’enfance, traversé des périodes violentes, dures, ont pu souffrir de la misère, de la faim être déracinés…

La crise de 1929 est aussi passée par là et a pu laisser sa marque de faillite et de honte sur certaines lignées… Si vous êtes adulte aujourd’hui, vous êtes justement la 3ème ou 4ème génération.

Peut-être sentez-vous encore dans vos tripes la peur des soldats au moment d’aller à l’assaut en 14 sous le vacarme tonitruant des bombes allemandes ? Fondez-vous en larmes de manière inexpliquée devant les documentaires reparlant de ces deux terribles conflits mondiaux ?

Auriez-vous un ancêtre qui a souffert du gaz moutarde et qui en est mort après la guerre ?  Et que cela vous fait mal respirer sans raison ? Que dire sur les camps de concentration… Peut-être que certain(e)s de vos ancêtres se sont retrouvés orphelins ou veuves de guerre et que vous portez leur blessure d’abandon… Ou encore un de vos ancêtres a fait faillite et de ce fait vous interdit inconsciemment de prospérer

Tant de traumatismes jalonnent notre histoire de famille !

Comment s’en libérer ?

 

Pour avoir vécu cela dans ma chair, ce sont des postulats passionnants à explorer et à libérer pour aller mieux et vivre notre vie enfin libérés de ces mémoires transgénérationnelles meurtries.

Car elles font partie de notre histoire, mais elles ne sont pas notre vie présente et pourtant, elles provoquent encore des résonances.

Vous êtes le fruit d’une histoire humaine venant du fond des âges et qui se perpétue depuis l’aube de l’humanité…

Un proverbe africain dit : « pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient ».

Au-delà de vos propres blessures émotionnelles biographiques (votre vécu), il y en a d’autres parfois inconscientes qui viennent alourdir votre sac et amplifient vos réactions dès lors qu’elles font écho avec votre vécu dans cette vie.

Ces blessures peuvent venir de vos ancêtres et parfois même de vos vies antérieures (mémoires karmiques) qui vous ont laissé des schémas non résolus, des croyances, des traumatismes que vous pouvez retrouver dans votre vie actuelle afin de les dépasser, de vous libérer du cycle de répétition et d’évoluer.

Il n’est pas rare que ces blessures tant familiales que karmiques soient du même registre (tiens comme par hasard, histoire d’en rajouter une couche) et se répondent pour mieux se faire entendre et vous faire progresser…

Il m’arrive de tomber sur des mémoires karmiques ou familiales lors d’un soin chamanique mais parfois en thérapie PEAT !

Il est donc intéressant de voir que nous pouvons aborder la problématique de vos émotions de bien des façons :

Donc si vous souffrez de troubles émotionnels plus forts que vous, que vous puissiez les relier ou non à un événement traumatique vécu dans votre famille, Sachez qu’ils ne demandent qu’à être entendus et libérés.

C’est sur cela que je vous invite à porter votre attention…

 

Alors prêtez l’oreille, ressentez votre corps et vos émotions…

Que vous disent vos ancêtres ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Mary Mann : La thérapie autrement !

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Comment retrouver son pouvoir personnel ?

Comment retrouver son pouvoir personnel ?

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Et devenir fort et libre

Il est parfois difficile d’avancer dans la vie car notre pouvoir personnel est affaibli par les épreuves que nous traversons. Notre vécu et les traumatismes subis nous privent petit à petit de nos forces. Nous baissons alors les bras et l’audace déserte notre chemin, nous poussant à mener une vie décevante dans laquelle nous ne nous reconnaissons pas. Il est pourtant possible de relever la tête et retrouver son pouvoir personnel afin de transformer sa vie. Mais comment ? Et qu’entend-on exactement par pouvoir personnel ? Voici mes clés.

Notre pouvoir personnel reflète notre puissance de vie et d’action. Il est directement relié à la notion de complétude, d’unité. Cela fait appel à des notions chamaniques : à notre naissance, nous sommes « complets » et notre potentiel est fort. C’est un peu comme si notre âme était un miroir auquel il ne manque aucun morceau.

Or, au fil des épreuves, ce miroir prend des coups et perd des fragments, affectant directement notre force et notre étincelle de vie. A cela s’ajoutent les croyances limitantes inculquées par notre famille, sur notre valeur personnelle et nos capacités…

Tout ceci façonne des peurs et une fausse vision de nous-même et du monde… Notre pouvoir personnel diminue.

Et petit à petit, nous devenons l’ombre de nous-mêmes, traversant la vie tels des fantômes tristes, ne sachant plus qui nous sommes et ne pouvant plus agir pour le mieux.

Ainsi, pour retrouver notre unité, et retrouver notre force et notre identité, il faut d’abord :

  • soigner nos blessures émotionnelles et traumatismes,
  • changer nos croyances limitantes,
  • vaincre nos peurs 

Nous recontacterons alors notre pouvoir personnel et pourrons rayonner. Nous serons plus forts, heureux, alignés et pourrons nous construire une vie qui est cohérente avec nous-mêmes.

 

1-Guérir ses blessures de l’âme

Vous avez peut-être entendu parler des 5 blessures de l’âme développées par Lise Bourbeau ? (le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice). Nous avons tous plusieurs de ces blessures (2 ou 3), mais selon notre vécu et notre personnalité, elles ont laissé des bleus à notre âme plus ou moins importants. Cela conditionne notre image de nous-même et notre relation aux autres.

Quand j’accompagne en thérapie des clients blessés par la vie, je vois clairement un AVANT et un APRES.

Pour les plus abîmés par la vie, au début, ils arrivent tels des enveloppes vides. Ils sont profondément tristes et quand certains cachent leur état sous un masque jovial et sociable, d’autres ressemblent à des lanternes soufflées par la brise. Il manque l’étincelle.

Parfois, l’Ego a pris toute la place et le mental turbine à plein régime pour empêcher toute connexion à l’enfant intérieur meurtri. Ils ne savent plus qui ils sont véritablement et n’ont plus vraiment de plaisir dans la vie.

Ils ont beaucoup de mal à être en présence d’eux-mêmes dans le silence, à être seuls.

Car entendre l’âme qui tenterait de s’exprimer alors est une souffrance. Ils mettent toujours un bruit de fond, TV, radio ou cherchent compulsivement de la compagnie… Voire ils comptent en permanence tout un tas de trucs inutiles (les marches, nombre de pas) juste pour occuper leur cerveau et détourner leur attention de l’enfant intérieur en souffrance !

D’autres clients cherchent frénétiquement à remplir leur vide intérieur par un flot d’activités ou de possessions.

Mais dans tous les cas, souvent ils ne sont pas capables de dire « je m’aime ». Cela les fait souvent fondre en larmes.

Comment vivre ainsi quand on sait qu’il est important de s’aimer pour avancer et être heureux dans la vie ? Pour se déployer dans la vie ?

Il est essentiel de réparer les blessures vécues, puis de recoller les morceaux qui sont partis à cause des épreuves et des dénigrements familiaux parfois dès la petite enfance.

Quand l’individu est prêt, les morceaux du miroir brisé peuvent revenir parfois spontanément à lui.

Mais le plus souvent, la force d’un intervenant extérieur est nécessaire. C’est là qu’un soin chamanique est pertinent. A cette occasion, le chaman, aidé de ses fidèles esprits alliés, va chercher les bouts d’âme égarés et meurtris. Il arrive que ces fragments d’âme soient dans des dimensions parallèles… Ils peuvent être perdus, apeurés, à bout de force. La beauté du travail du chaman consiste à les trouver, les nettoyer, réinsuffler la vie en eux si nécessaire et à les ramener enfin à leur propriétaire.

En guise d’exemples, il m’est déjà arrivé de retrouver soudain une petite fille pure dansant dans la neige et de ré-insuffler cet être pur à sa propriétaire… Ou encore d’aller chercher un bout d’âme enchaîné dans un monde ténébreux plein d’éclairs puis de le délivrer, de le nettoyer et de le ramener.

Outre l’individu, sa lignée aussi peut avoir besoin d’une guérison.

J’ai déjà eu à nettoyer des mémoires transgénérationnelles d’abandon, nettoyer des empreintes de magie noire, libérer l’âme d’une esclave afin qu’elle puisse enfin monter dans la lumière… Tout est possible ! L’histoire de chacun est si riche et différente !

Sachez que les mémoires transgénérationnelles peuvent aussi être abordées différemment grâce à un travail de libération transgénérationnelle où le client est acteur du soin.

2-Changer ses croyances limitantes

Photo by Jeanne Menj

Nos croyances limitantes viennent souvent de très loin. On peut aussi les appeler croyances fondamentales car elles sont si fortes qu’elles influencent directement nos pensées et nos émotions, façonnant ainsi notre vision du monde et de nous-même. C’est notre vécu qui les détermine.

Prenez par exemple ceux qui ont une piètre estime d’eux-mêmes. Ils aurons beau changer de coiffure, de garde-robe, perdre 5 kilos, acheter une plus grosse voiture ou une Rolex, quand leur propre estime ne tient qu’à des éléments extérieurs, le bien-être retiré ne durera pas et il leur en faudra toujours plus ! Pire encore, si un jour tout s’effondre, que restera-t-il de cette « valeur » ?

Il en va de même dans d’autre domaines : comment mener à bien des projets audacieux, une reconversion professionnelle, se lancer dans l’entrepreneuriat, quand durant toute son enfance on s’est entendu dire « tu es nul, tu ne feras jamais rien de bien dans la vie, etc. » ?

Imaginez que vous ayez souffert de la blessure de l’âme d’abandon, et que vous pensiez inconsciemment « On me laisse toujours tomber ». Comment voulez-vous vivre votre vie amoureuse de manière sereine alors que vous attendrez de votre partenaire qu’il comble le trou béant laissé par cette blessure d’abandon dans votre cœur, jusqu’au jour où, votre partenaire épuisé s’en ira ?

Par cet acte, il viendra donc confirmer votre croyance auto-réalisatrice d’abandon. Et si vous ne vous libérez pas de ce schéma, il y a fort à parier que vous ferez de même avec votre prochain partenaire !

Comment être heureux alors et construire une vie satisfaisante et harmonieuse quand on n’est pas soi-même structuré et équilibré, libre de ses conditionnements destructeurs ?

Autre exemple, vous êtes-vous déjà relooké(e) de la tête aux pieds, avec la ferme intention de laisser le passé derrière vous ? De changer de peau ? Vous vous sentez bien pendant un temps et puis… vos vieux démons reviennent au galop.

La petite voix d’auto sabotage (le Juge) qui vous a pourri la vie revient telle un petit démon « t’es trop gros(se), t’es moche etc. ». C’est comme dans l’ancienne pub de la vache qui rit : « Trop ceci, trop cela, trop typé, trop gros ! Non mais ça va pas la tête ?!… ». Et ça ne va toujours pas !

 

Un nouveau look pour une nouvelle vie, vraiment ?

C’était le titre prometteur d’une émission bien connue ! Cette promesse peut se révéler vraie pour des personnes qui ont juste un souci pour marier les couleurs ou pour qui s’habiller est juste ne pas être tout nu. Cependant, il n’en va pas de même pour les personnes en surpoids ou qui se sont senties dévalorisées toute leur vie.

Bien souvent, un relooking seul ne sera pas suffisant pour aller vers une nouvelle vie !

Imaginez que vous ayez subi des brimades toute votre enfance et que dans votre glace, malgré votre Relooking, vous ayez inconsciemment ces remarques négatives à l’esprit ! Comme elles ont façonné l’image que vous avez de vous-même, ce n’est pas le reflet du miroir que vous verrez mais bien une image déformée : c’est comme les anorexiques qui se voient toujours trop gros.

Comme le disent beaucoup de relooker : « le Relooking peut faire émerger des blessures de l’âme et être l’occasion d’un travail sur soi salutaire ». En effet, il est important de lustrer les deux faces d’une même pièce pour qu’elle brille !

Sinon c’est comme mettre du lino sur un parquet vermoulu ! Ça fait meilleure impression, mais fondamentalement rien n’a changé et le sol est toujours aussi abîmé et fragile en-dessous !

 

3- Vaincre ses peurs

La peur est une émotion très puissante. Sentez combien votre corps se rétracte quand vous ressentez la peur. Rien n’est possible ou alors dans la souffrance. Le plus important est de comprendre qu’il est normal d’avoir peur dans une certaine mesure, or ce qui ne l’est pas, c’est qu’elle dirige votre vie !

Il y a la peur d’une situation nouvelle, légère, le trac du débutant.

Et il y a l’autre peur, celle qui est chronique. Celle qui paralyse et rend malade, celle qui nous fait renoncer à nos rêves. Le ventre noué, les mains moites, les nausées…

La peur des autres, de mal faire, d’être rejeté, de ne pas être aimé, d’être abandonné…

Ces peurs font souvent échos à nos blessures de l’âme et à nos croyances.

 

Quand la peur atteint son paroxysme, on peut voir des phobies tentaculaires terrasser littéralement une personne ! C’est la panique du patient qui doit passer une IRM mais qui s’enfuit à toutes jambes à cause de sa claustrophobie. C’est la phobie scolaire qui se développe à cause de la maltraitance et du harcèlement qu’un enfant peut subir à l’école. Ou encore la phobie suite à un accident, un traumatisme violent.

Au final, on touche souvent à la peur de mourir ou de ne pas être aimé, de ne pas exister et de ne pas pouvoir être libre et soi-même.

Soit vous avez peur d’affirmer qui vous êtes et d’être rejeté, d’enfreindre certaines règles et fidélités familiales, certaines normes sociales. Ou l’avenir qui s’annonce vous tétanise et vous vous sentez dépassé par son lot d’événements inconnus et le fait de ne pas tout contrôler…

Soit vous ne savez plus qui vous êtes car la vie a fait que vous vous êtes complètement éloigné de vous-même. Dans ce cas, vous avez peur de vous rencontrer au cœur de vous-même, vous savez ? Là où vous avez cette sensation de vide immense dans la poitrine, dans votre ventre…

Ce vide que vous cherchez à remplir compulsivement par des achats, des activités toujours plus intenses pour vous sentir vivant artificiellement, ou encore du bruit, de l’effervescence, un tourbillon de stimulis toujours extérieurs…

Si vous vous reconnaissez, je suis désolée de vous dire qu’il est temps d’affronter vos démons pour vous reconnecter à vous-même et par là même trouver la paix intérieure.

Car quand on n’est plus au centre… on se perd de vue, on ne sait plus s’écouter et c’est le mental, nos croyances, la volonté des autres et la peur qui guident nos actes au final.

 

4- Ce que vous changerez à l’intérieur se verra à l’extérieur

 

Quel que soit le contexte, quand on aspire à revivre, à un renouveau dans notre vie, il faut toujours que le changement vienne de l’intérieur pour qu’il soit durable à l’extérieur.

Car nos croyances déterminent la façon dont nous vivons les événements qui se présentent ainsi que ce que nous en ferons par la suite. Si vous libérez vos émotions liées à votre vécu, libérez vos traumatismes et que vous changez vos croyances, alors votre vie changera.

 

 

En s’affranchissant de toutes ces chaines et carcans, on peut enfin se réaliser dans la vie !

C’est en se libérant de ses blessures, de ses peurs et de ses croyances qu’on retrouve sa liberté ainsi que son pouvoir personnel, une véritable renaissance et qu’on est pleinement heureux !

Car notre pouvoir personnel c’est notre puissance sur les choses, notre capacité à décider pour nous, de ce qui est bon pour nous, de ce que nous voulons.

Il conditionne notre énergie vitale, notre capacité à poursuivre nos rêves et à satisfaire nos besoins !

Quant à notre liberté intérieure fièrement gagnée, elle se verra à l’extérieur dans tous nos actes.

Ainsi, votre pouvoir personnel est lié à votre vécu. Et si la vie de chacun est jalonnée de difficultés et d’épreuves, certains sont néanmoins plus touchés que d’autres. Mais il est toujours possible de transcender les schémas destructeurs et les traumatismes, s’il y a au fond de soi une volonté farouche de s’en sortir. C’est d’ailleurs la première condition pour aller mieux : regarder objectivement les choses et arrêter de se mentir. Cela n’est pas facile bien sûr, et demande du courage, de la détermination et de se faire aider. Car il faudra d’abord traverser nos tourments et se confronter à nos ombres intérieures afin de les libérer pour enfin revenir vers la lumière et la liberté d’être Soi. Mais quelle belle renaissance s’offre alors !

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

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Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Comment bien parler en public grâce aux mudras ?

Comment bien parler en public grâce aux mudras ?

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Tout le monde ne s’appelle pas Nikos Aliagas. A moins d’être un as du micro et de la scène, prendre la parole est toujours stressant. Formateur, manager, dirigeant ou entrepreneur, nous devons tous y passer… Outre l’entrainement à la prise de parole en public, il existe des techniques redoutables pour s’améliorer et nous soutenir durant cet exercice exigeant. Laissez-moi vous dévoiler quelques gestes de pouvoir afin de performer et bien parler en public.

Cette fois je ne pouvais plus reculer.

Le stress montait dans mon ventre.

J’avais déjà pris un pic d’adrénaline car j’étais partie en retard et la circulation sur la route était dense.

Heureusement que j’avais préparé mes affaires la veille !

 

En plus, il faisait chaud en ce beau jour de printemps 2018.

Et j’avais dû courir, les bras chargés avec l’ordi, les papiers et tout vers ma salle de conférence au 1er étage.

Pour ne rien arranger, il y avait un graaaaaand escalier avec plein de marches pour y aller : Pfffff !

Je suais.

Y’a des jours où on aimerait mieux se casser une jambe, pas vrai ?

 

Quand j’étais passée devant ma salle rapidement pour voir, pas mal de personnes attendaient déjà dans le couloir.

Et là maintenant, seule assise à l’abri des regards (dans les toilettes… :-/), j’étais déstabilisée à l’idée de faire ma conférence dans 15 min.

Tic tac

 

Même si mon passé de formatrice m’avait habitué à l’exercice de parler devant un public, je retrouvais soudain l’appréhension de mes débuts.

Tous ces acquis me semblaient bien loin !

Mon ventre me le rappelait et se tordait dans tous les sens…

 

Soudain, une chanson s’est mise à résonner dans ma tête :

« Il faut que tu Reeeespireees… Ça, c’est rien de le dire…Tu vas pas mourir de rire… »

Nan pas ça ! Pas Mickey 3 D !

 

Tiens ? Un message direct de mon inconscient qui me parle souvent en chanson.

Oui ! Il faut vraiment que je respire et que je me calme.

J’entends alors une petite voix résonner dans ma tête : « Et si tu en profitais pour faire des mudras ?

Après tout, ta conférence est bien sur ça, non ? » :

« Les mudras : Gestes millénaires de bien-être au quotidien »

 

Dans le couloir, un brouhaha monte de la foule.

Le mudra pour la respitation abdominale

Bon alors… Un petit enchainement de mudras, histoire de reprendre la main.

Euuuuh…. Allez !

Je ferme les yeux et place mes pouces et index en boucles de chaque côté, les autres doigts tendus, le tout posé sur mes cuisses, face au sol.

C’est le mudra pour la respiration abdominale.

Inspiration…

Expiration…

Pendant 3 min, je sens que je me pose, mon cœur se calme.

Le mudra pour la concentration

Je rouvre les yeux et fixe la porte des toilettes sans la regarder vraiment, le temps qu’un autre mudra m’inspire.

Oui celui pour la concentration, il est parfait celui-là, 3 min encore.

L’index comme un petit escargot au creux du pouce, le reste des doigts tendus dos à dos et posés sur la poitrine…

Inspiration…

Expiration…

Mon ventre se détend de plus en plus.

Mes idées se rassemblent en un point et mon esprit arrête peu à peu de s’éparpiller.

Le focus is back !

Mon souffle trouve son rythme, faisant la nique au stress.

Je sens que je suis en train de gagner la partie.

Le mudra pour l’éloquence

Un autre ?

Le mudra de l’éloquence : il ressemble à la posture préférée des Politiques et que les orateurs aguerris nomment « la pyramide » (car le problème des orateurs est de savoir quoi faire de leurs mains sans avoir l’air « tarte », quand ils parlent)

A la différence près, qu’entre la pyramide simple et ce mudra, la respiration est particulière.

Ce mudra puissant va m’être bien utile !

Les deux mains face à face avec les extrémités des doigts toutes en contact.

Je tiens la posture 3 min environ, là encore.

Le mudra pour la patience

Un autre : le mudra pour la patience. Car l’impatience donne une parole saccadée, stressante.

Les majeurs en contact avec les pouces, les autres doigts tendus vers le ciel, les mains de chaque côté de la tête comme deux marionnettes…

Je sens que quelque chose change subtilement dans mon corps, dans ma tête. Quelque chose de positif, serein et fort s’installe.

Un dernier pour la route : le mudra pour avoir une parole impeccable.

Le bon allié pour avoir une parole juste et pertinente.

 

Voilà. Il est l’heure !

Le mudrâ pour avoir une parole impeccable

Tel un gladiateur face à l’arène, je décide enfin de sortir de ma cachette.

Je file vers la salle, qui déverse soudain tel un barrage qui se rompt, son lot de spectateurs rassasiés par la précédente conférence.

En silence, j’installe mon matériel tout en saluant les personnes qui croisent mon regard.

Mon corps et mon esprit sont prêts. Le public continue d’arriver.

Je souris et fais le mudra pour prévenir le stress, histoire de rester dans ma bulle de confort.

Quelques spectateurs intrigués m’observent en murmurant.

 

Puis la conférence commence.

 

Entre autres informations, j’explique au public que les mudras ne servent pas qu’à méditer.

Non, ils ne sont pas que des ornements de la position du lotus.

Mais un art à part entière. Un art millénaire venant de l’ancienne Egypte !

 

 

Ce sont des postures millénaires aujourd’hui intégrées au yoga et qui combinent les bras, les mains et les doigts.

En plus d’apporter du bien-être, je précise qu’ils sont des gestes de pouvoir et de développement personnel remarquables.

Les mudrâs ont une action positive sur votre bien-être en stimulant les nombreuses terminaisons nerveuses.

Les points d’acupuncture qui se trouvent dans les mains et les doigts sont aussi stimulés.

Un travail respiratoire y est également associé.

L’ensemble amène une régulation énergétique et émotionnelle profonde, une reconnexion à votre corps et participe à votre élévation spirituelle.

 

Durant mon intervention, je me sens extrêmement présente. Je jubile de l’intérieur. Mon débit de parole est calme, vibrant, ma voix assurée.

Qu’est-ce que je me sens bien malgré l’adrénaline !

A l’aise, je plaisante même avec le public et virevolte avec les diapositives.

Je n’oublie rien : concentrée et affûtée comme un rasoir !

 

J’arrive au bout de mon intervention : génial !

Le public a été attentif et enthousiaste durant toute la conférence. Après une démonstration et un moment de pratique collective, il est conquis.

Et Moi ? Je suis sur un nuage !

 

Merci Yogi Bhajan pour ce savoir inestimable.

Même millénaires, ces gestes n’en sont pas moins précieux et redoutables dans notre monde moderne.

Envie d’en savoir plus pour bien parler en public ?

J’ai créé pour vous un super programme en ligne pour bien parler en public à un prix canon.

Spécialement conçu pour mieux communiquer vos idées et avec plus d’aisance

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Radical ! Il vous aidera, en 6 semaines, à libérer votre potentiel pour devenir un orateur aguerri tout en prenant soin de votre santé .

Si la prise de parole en public est source de stress et n’est pas innée, s’améliorer est toujours possible. Certains seront plus avantagés que d’autres grâce à certaines qualités et leur personnalité. Mais avec de la volonté et certains outils précieux, tout un chacun peut gagner en assurance et améliorer ses performances face à un public.

 

Comment lutter contre le stress ?

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  • Mudra-thérapie : 1ère professeur et mudra-thérapeute en France, certifiée Sabrina Mesko, d'après l'enseignement de Yogi Bhajan - Art énergétique millénaire de bien-être et de développement personnel
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Comment baisser sa charge mentale grâce aux mudras ?

Comment baisser sa charge mentale grâce aux mudras ?

Mary Mann

Il est temps de redécouvrir des outils millénaires !

La charge mentale est un fléau et souvent le précurseur du burn-out… Quand certains ont recours à toujours plus de techniques d’organisation pour faire plus, d’autres redécouvrent les bienfaits du respect de soi et les pouvoirs magiques de leurs corps… Et quand les deux fusionnent, c’est top !

Après avoir été interviewée par Lumina Travel, de fil en aiguille, j’ai rencontré Jérôme Hoarau…

 

Le maître des softskills

Dieu sait que dans notre monde de fou – il faut bien l’avouer ! – il faut toujours plus d’adaptation, de performance, de softskills = compétences non techniques (ou transversales)…

Eh oui ! Tous nos rdv, nos mails, toutes nos tâches parallèles inondent notre cerveau… Générant du stress.

Et on pète vite un câble… filant tout droit vers un burn-out ?

Mais justement, diminuer la charge mentale, c’est le dada de Jérôme !

On était fait pour se rencontrer tous les deux finalement !

Alors il m’a sollicitée pour illustrer comment baisser sa charge mentale grâce aux mudras !

Et voici le fruit de notre échange 🙂

Comment gérer ses émotions négatives ?

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Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Comment trouver le bonheur ?

Comment trouver le bonheur ?

Mary Mann

Un bonheur intelligent et altruiste bien sûr

Comment être heureux ? C’est la question que tout le monde se pose… Le bonheur est la denrée la plus convoitée dans notre société. Mais force est de constater que nous ne sommes pas tous égaux face au même vécu. Quand certains sont d’irréductibles optimistes, d’autres sombrent dans la déprime au moindre coup du sort… Serions-nous les seuls responsables quant à notre félicité ? Cet état mystérieux pourrait-il être apprivoisé ? Faut-il le bonheur à tout prix ? L’injonction au bonheur ne serait-il pas une nouvelle dictature nous menant tout droit vers le malheur et l’individualisme ?

De quoi est fait le bonheur ?

 

Apparemment, c’est comme une recette de cuisine. Prenez :

  • 50 % de génétique
  • 40 % de perception
  • 10 % de circonstances de vie

Et vous savez de quoi le bonheur est constitué.

 

Oui, mais est-ce immuable ?

Quand on lit que 50 % de notre capacité à être heureux dépend de notre héritage familial biologique, on aurait tendance à croire qu’il s’agirait uniquement d’un jeu de « pile ou face ».

Ce leg transgénérationnel est l’ensemble des conditionnements et des habitudes dans lesquels nous avons baigné en grandissant.

Ce que nous avons hérité de nos parents et de nos ancêtres avant eux : leur vécu traumatique transmis…

Ce fameux héritage qui s’apparente souvent à une course de patate chaude inconsciente, un relais sans fin dont nous sommes l’aboutissement.

Or bonne nouvelle : tout héritage n’est pas figé dans le marbre. On peut le travailler et s’en libérer !

 

Parlons des 40% de perception maintenant.

Ils désignent notre capacité d’interprétation à propos d’une chose qui nous arrive.

En fait, notre état d’esprit est bien plus important que la situation réelle (qui ne compte qu’à hauteur de 10%).

Que faisons-nous d’un événement ? Nous effondrons-nous au moindre obstacle ? Ou faisons-nous comme l’enfant Obama balancé dans un puits et qui remonte en éclatant de rire au visage des enfants qui l’y ont poussé ? Voyons-nous le verre à moitié vide ou à moitié plein ?

Là encore, tout est une question d’état d’esprit et de croyances qui découlent directement des premiers 50 % et de l’ambiance familiale.

Deuxième bonne nouvelle : on peut aussi changer ce paramètre !

 

Et enfin, seuls 10 % dépendent de l’extérieur (aspect physique, météo…). Certains mettent aussi dans ces 10 %, la quantité d’argent disponible.

Or nos croyances auto-limitantes face à l’argent et provenant de nos origines, sont aussi un sujet passionnant à éliminer et que j’aborde dans mon atelier relation à l’argent !

 

Comment cultiver le bonheur ?

 

Il y a autant de visions que d’êtres sur Terre.

Chacun y mettra ses propres aspirations, son filtre culturel…

Mais cependant, nous pouvons essayer de dégager les grandes lignes universelles de ce que chacun peut faire individuellement pour tendre vers le bonheur.

 

Voici 10 conseils pour aller vers le bonheur :

 

1°/ Il est important de ne pas vouloir contrôler la Vie. Car il est impossible de tout maîtriser. A un moment donné, si la vie vous emmène vers autre chose et que vous freinez des quatre fers, faites taire votre peur et écoutez ce que la vie a envie d’exprimer à travers vous ! Plus tôt vous atteindrez un certain lâcher-prise quant aux événements qui surviennent, et plus tôt vous goûterez à une certaine sérénité et épargnerez votre énergie. Pratiquez l’Aïkido existentiel au lieu de faire constamment du Karaté !

2°/ En vivant en cohérence avec soi et en prenant conscience de ce qui est essentiel dans notre existence. En déployant notre Etre profond, au-delà des conditionnements sociaux-culturels reçus. Car si on n’est pas responsable de tout ce qui nous arrive, on est responsable de ce qu’on en fait !

3°/ En faisant un travail de recherche intérieure pour se connaitre. Afin d’apprendre quels sont nos qualités, nos talents, nos forces afin de s’estimer et de mieux choisir ce que nous voulons mettre dans notre vie pour se respecter.

4°/ En se réconciliant avec SOI et notre vécu. En ayant déjà une intention sincère d’apaisement en SOI, pour SOI et donc en réparant nos blessures. Nous commenceront à goûter le moment présent avec de plus en plus de sérénité et de joie.

5°/ En étant attentif un maximum au PRESENT, vivre en conscience. En effet, être plus attentif et présent à ce qu’on fait rend heureux (notre cerveau va alors sécréter de la dopamine et de la sérotonine qui sont des anti-dépresseurs naturels). Découvrez d’ailleurs mon super cursus en ligne pour développer la pleine conscience.

 

 

 

6°/ Le fait d’arrêter de JUGER les autres vous fera un bien fou ! Vous arrêterez ainsi de vous comparer en mieux ou en moins bien. Vous développerez l’acceptation et la tolérance avec un grand A.

7°/ En étant généreux. En étant tourné vers l’autre. Des études ont prouvé que les gens généreux sont plus heureux que les autres. Le bonheur des autres est contagieux et s’il est le fruit de notre action, cela donne du sens à notre vie. Et si en plus nous participons à améliorer le monde, que demander de plus ?

8°/ En arrêtant de vouloir changer les autres. Je le dis souvent à mes clients : on ne peut pas aider quelqu’un qui ne le veut pas ! Soit vous décidez de changer vous-même pour l’accepter (dans la mesure où cela est sans danger pour vous), soit vous ne fréquentez plus les gens qui vous posent problème.

9°/ En ne cherchant pas le bonheur à tout prix ! Car « la souffrance est la différence entre ce qui est et ce que j’aimerais qui soit ». Mais comme le dit Spinoza, chaque être vivant persévère et fait un effort pour grandir durant toute sa vie. Il a naturellement envie de s’élever et de transcender sa condition vers plus de joie et de bonheur afin que ceux-ci occupent le plus de place possible.

Cela est louable. Et cela demande bien sûr un travail sur soi pour aller vers la paix intérieure. Cependant, attention à ne pas voir le bonheur comme un Graal absolu ! Cela amène à rechercher cet état avec trop de mental et en dehors de soi. Or, il faut avant tout se reconnecter à nos ressentis et à notre corps pour le trouver.

10°/ En comprenant que le bonheur ne signifie pas être dans la joie tout le temps.
Dans le dessin animé Vice Versa, la Joie se rend bien compte finalement qu’elle ne peut pas toujours être aux commandes et qu’elle ne peut exister sans la tristesse et les autres émotions « négatives ». Que chaque émotion est utile selon les situations et coexiste en nous.

En définitive, la notion de bonheur existe car son opposé existe. Comme dans les contes pour enfants, c’est parce qu’il y a un « méchant » que nous pouvons définir ce qu’est un « gentil ». Il est donc normal et souhaitable de ressentir les émotions dites « négatives ». C’est ce qui fait que nous sommes vivants et pouvons interagir socialement en fonction des émotions des autres, et pas tel un imbécile heureux ayant toujours le sourire aux lèvres.

 

Le bonheur ne peut-il être que le fruit de nos efforts individualistes ?

 

Il faut bien l’admettre, le temps où l’individu avait une vie sociale plus simple, saine, authentique et intégrée au sein d’une communauté est révolu.

Nos nouveaux modes de vie, couplés aux nombreux mouvements de population, convergent vers plus d’isolement et d’individualité. Les nouvelles technologies n’arrangent rien…

Ce terreau s’est révélé du pain béni pour la psychologie positive qui a réduit la notion de bonheur à portion congrue.

Elle a fini par enfermer la notion de bonheur principalement à l’individu. Le rendant seul responsable de son bonheur.

Elle a inculqué que pour atteindre le bonheur, chacun devait avant tout travailler sur lui-même, faire du développement personnel à tout va, pour mieux se connaître et mieux se « corriger ». Que le bonheur ne tenait qu’à soi.

C’est devenu une injonction sociétale : il FAUT être heureux bêtement et à tout prix chacun dans son coin. Au point d’être une quête angoissante !

Céder à la frénésie de lectures traitant de la question, aller voir des coachs, et écouter des gourous du bonheur, est-il le seul moyen d’échapper au malheur ?

Mais qu’en est-il de l’action collective face au monde et à ses dérives ?

Le bonheur ne reposerait-il plus sur une tentative de changer ensemble le monde ? Mais sur une quête permanente de se changer soi ?

Va-t-on tous devenir des îlots tout sourire sans cohésion, tels des lentilles flottant à la dérive dans une soupe indigeste ?

C’est la crainte de la sociologue Eva Illouz et du psychologue Edgar Cabanas dans leur ouvrage Happycratie.

Ils indiquent qu’il a fallu à peine plus d’une décennie pour nous convaincre que la valeur centrale de notre vie se résumait à « ce sentiment teinté d’individualisme et de consumérisme vorace » : Le bonheur.

Selon eux, cette approche du bonheur nous maintiendrait en réalité dans une forme de servitude apaisante et volontaire, renonçant à remettre en cause le capitalisme et à lutter contre ses méfaits… Pour mieux nous consoler de notre impuissance et tout accepter.

« Un cocon de plénitude dans un monde mauvais, ou la dissolution de la lutte dans la perspective du bonheur individuel. »

Or, malgré cette tyrannie du bonheur individualiste, force est de constater que des voix s’élèvent pour changer concrètement des choses à leur échelle et transformer le monde.

Combien de reconversions professionnelles en maraîchage biologique ? Combien de projets écologiques et locaux pour repenser l’industrie de demain ?

Hopaal, Respire, Friendly frenchy, Le jouet Français…

Bien d’autres projets positifs sont relatés dans le livre « Un million de révolutions tranquilles ».

Et si justement, parmi de nombreux accros au bonheur, étaient ces gens qui refusent de renoncer, ne ferment pas les yeux et se mettent à penser, créer, inventer de nouvelles façons de faire et cultivent l’optimisme avant tout ?

Ces gens positifs qui cherchent à donner un sens à leur vie, tout en essayant de redonner du sens à cette société qui en est dépourvue ?

A l’image de Joanna Quelen.

Quand Joanna Quelen a proposé son sujet de TEDx sur le bonheur, les organisateurs lui ont demandé « Pourquoi ce choix » ?

Après quelques instants de réflexion, elle a spontanément répondu : « Parce que la Mort ! »

Ainsi, dans cette présentation intimiste, Joanna nous parle de son parcours vers le bonheur, de sa prise de conscience existentielle.

Un cheminement qui l’a amenée à œuvrer pour le bonheur des autres.

Etre heureux ne se résume à pas se forcer à être bêtement positif ni à devenir aveugle aux horreurs du monde dans une sorte d’autisme sélectif. Le sentiment de bonheur relève à la fois de notre sphère personnelle mais aussi collective. Qu’il le veuille ou non, l’individu est relié au monde. Il vous appartient donc de prendre conscience de vos propres conditionnements au malheur et de vous en libérer. Tout comme il vous appartient de vous engager dans des projets altruistes qui ont du sens à vos yeux et vous permettent d’apporter votre pierre à l’édifice d’un monde meilleur.

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Comment surmonter le deuil d’un être cher ?

Comment surmonter le deuil d’un être cher ?

Mary Mann

La mort d’un être cher est un tsunami émotionnel qui impacte toutes les sphères de notre vie. Nous devrons tous y faire face un jour ou l’autre. Mais surmonter un deuil est d’autant plus difficile quand il survient brutalement comme lors des terribles attentats de ces dernières années ou encore pendant la crise du Coronavirus. Peu d’entre nous sont préparés au décès d’un proche car la mort reste taboue. En tant que psychopraticienne, je vous offre ici des conseils et des outils afin de vous libérer de votre souffrance et traverser cette épreuve.

Vous êtes submergé par la douleur. Vous n’êtes plus capable d’assurer les tâches quotidiennes, ni même votre travail.

L’être aimé était là. Et maintenant, il ne l’est plus.

Comment imaginer que vous ne le verrez plus ? Ni ce soir ni demain. Plus jamais.

Comment surmonter cette réalité qui n’a aucun sens pour vous ? Vous ne le pouvez pas. Pas pour l’instant. Pas encore.

 

La mort : un tabou mais une chose inévitable

La mort fait peur.

Elle est associée à la maladie, la souffrance, la séparation, l’inconnu, le manque.

Cette peur est d’autant plus accentuée dans nos sociétés modernes où l’on meurt de plus en plus souvent seul. Dans un hôpital, une maison de retraite ou même chez soi.

Alors, nous tournons autour du pot… Nous esquivons le sujet et préférons parler de la vie après la mort, ou de réincarnation.
Or, si vous considérez la mort comme taboue, vous la rendez encore plus effrayante.

E. Kubler Ross, cette grande dame qui a énormément fait progresser les soins palliatifs, la désignait comme la dernière étape de croissance.

Elle l’a associée ainsi à la vie et lui a donné une figure plus familière.

Mais cette prise de conscience ne vous dispensera pas d’entreprendre le douloureux chemin du deuil.

Il obéit à des phases incontournables dont la durée dépend de la situation de chacun :

  • La force de vos liens avec le défunt,
  • le travail intérieur que vous avez déjà amorcé avant son décès,
  • votre conception de la spiritualité,
  • le cercle de soutien dont vous bénéficiez…

constituent autant de facteurs qui peuvent influer sur votre traversée.

Dans la suite de l’article, vous trouverez 6 conseils pour transcender la perte et retrouver le chemin de la vie.

 

Exprimez votre douleur pour vous libérer

Après l’étape de sidération qui peut durer de quelques heures à quelques jours vient la phase de recherche et de souvenir du défunt.
Vous refusez la réalité et cherchez à prolonger le lien.

Mais immanquablement, arrive le moment où vous réalisez l’irréversibilité de la perte.

Vous êtes alors traversé par des vagues émotionnelles intenses. Vous essayez d’y résister, mais vous ne pouvez continuer éternellement.

Alors marche après marche, vous descendez au plus intime de vous-même, dans votre douleur.

À cet instant, laissez aller vos émotions.

Pleurez, exprimez votre peine sans retenue et sans honte. Parlez.

Partagez votre chagrin auprès d’une écoute bienveillante ou avec d’autres personnes qui vivent la même épreuve.

Mais cette douleur qui vous noue le ventre vous épuise…

Vous allez un jour reprendre le travail, revoir vos proches. Les dossiers à expédier, les pauses café, les réunions, la famille à voir, la vie va continuer…
Mais, il y aura l’absence, un vide abyssal dans votre cœur. Et cette souffrance qui ne vous lâchera pas comme une seconde peau.

Pour vous soutenir durant cette phase, je vous propose 2 outils qui vous offriront un peu de répit.

 

2 outils pour vous soutenir dans l’épreuve :

 

1- Les fleurs de Bach :

Ce sont 38 élixirs floraux créés par le docteur Bach dans les années 30 pour soigner les états émotionnels et psychiques.

Dès l’annonce du décès et durant les premiers jours, prenez 3 gouttes toutes les 2 heures environ du « Remède de secours ». Il apaise votre esprit et vous aide à vous endormir.

Puis, vous pouvez prendre « le chèvrefeuille » et « l’étoile de Bethléem », toujours avec le même dosage, tant que le besoin se fait ressentir.
Le premier vous permet de passer à un nouvel état et de mieux vous détacher du passé pour accepter le deuil. Le deuxième vous consolera.

2- la méthode PEAT :

C’est une technique thérapeutique très efficace que j’utilise avec mes clients.

Elle regroupe une quinzaine de protocoles de soin thérapeutique qui visent à rééquilibrer votre état émotionnel.

Car chaque traumatisme vous fait perdre votre équilibre intérieur et crée un tiraillement entre des polarités opposées, des dualités. Cette tension est la source de vos souffrances.

Les exercices de cette méthode ont le pouvoir de vous calmer et de vous rééquilibrer.

Un exercice en particulier soulage votre trop-plein émotionnel chaque fois qu’il survient afin de le rendre plus gérable et supportable : le BASIC PEAT.

Bien sûr, vous pouvez faire le choix d’ignorer cette technique.

Mais dans des cas de profonde détresse, vos émotions sont telles, que vous avez l’impression de vous trouver dans un ouragan intérieur incontrôlable. Et c’est exténuant.

Dans le fichier audio ci-après, je vous explique comment apaiser votre douleur à chaud grâce au BASIC PEAT, qui est à la portée de chacun.

 

Pour vous accompagner dans vos vagues émotionnelles : le Basic PEAT

par Mary Mann

Délivrez-vous des images chocs

Lorsque les circonstances du décès se sont avérées particulièrement traumatisantes, les images qui vous ont marqué risquent de tourner en boucle dans votre tête.

En plus de la douleur liée à la perte de l’être cher, vous devez faire face à des scènes qui vous hantent et vous ont traumatisé.
Vous devez vous délivrer de ces visions sous peine qu’elles drainent encore plus votre énergie et vous maintiennent dans le traumatisme.

Mais comment ?

La méthode PEAT peut vous apaiser et vous débarrasser de ces ressassements destructeurs.
En séance individuelle, je vous guiderai au travers de différents exercices pour aboutir à l’unité libératrice.

 

Retrouvez votre âme

Quand le décès est particulièrement traumatisant, vous pouvez avoir l’impression qu’un morceau de vous est littéralement parti.

Réellement.

Il y a comme « un trou » quelque part en vous, cette disparition vous a laissé exsangue et même des années après, vous n’êtes définitivement plus le même.

Votre vie s’est comme suspendue depuis ce traumatisme.

Votre joie de vivre ne revient pas, malgré le temps qui passe, vous restez dans l’ombre de votre passé.

En chamanisme, cela s’appelle la perte d’un bout d’âme. Heureusement, il est possible de le retrouver en séance.

 

Chérissez les moments heureux et préparez-vous à dire adieu au chagrin

sadness photo

Durant les semaines suivant le décès, vous allez immanquablement vous remémorer des instants heureux avec le disparu.

Vous revoyez son visage, son sourire, ses mimiques. Vous sentez son odeur. Vous pensez l’apercevoir à chaque détour.

Mais ce n’est pas assez. Vous essayez de le retenir, envers et contre tout.

Alors vous ressortez les albums de photos et les feuilletez un par un…
Des souvenirs précieux pour vous remontent ainsi à la surface.

Notez-les. Une phrase suffit pour chacun d’eux.

Cette liste servira au rituel de l’Adieu au chagrin et du retour à la vie décrit plus bas.

Petit à petit, vous commencerez à remplacer la douleur par des choses positives, et l’absence par des souvenirs où le disparu était avec vous.

Vous pouvez aussi vous accompagner, comme le suggèrent les traditions tibétaines, d’un rituel « anniversaire ».
Choisissez un moment symbolique. Cela peut être l’heure du décès, ou le même jour de la semaine.

Mettez une belle musique. Laissez-vous aller et recueillez-vous. Entrez dans votre bulle pour une communion avec le défunt.
Ces instants vous permettent d’apprivoiser le chagrin et accepter progressivement la perte.

Recommencez autant de fois que nécessaire pour vous.

 

Observez les dualités à l’origine de votre souffrance

La souffrance des premiers jours est violente.
Votre chagrin est insondable.
Parfois, la colère se manifeste.

Vous en voulez au défunt d’être parti, vous maudissez peut-être un Dieu ?

Mais pourquoi est-ce arrivé ? Vous étiez si heureux. La vie était lumineuse. Pourquoi a-t-il pu vous abandonner ?
Or la colère finit par s’en aller et vous laisse de nouveau avec toute cette peine.

Et puis un jour, alors que vous pensez à des moments de bonheur avec le disparu, vous remarquez durant un bref instant que vous ne pleurez pas tout de suite.

Puis soudain, votre esprit vous confronte à l’absence, au fait que ce moment ne sera plus. Et vous êtes à nouveau dévasté.

Sentez bien la bascule qui s’opère en vous, comme si vous appuyiez sur un interrupteur.

Fermez les yeux et revivez intensément un souvenir heureux avec l’être cher ainsi que toutes les sensations qui l’accompagnent. Remarquez que vous ne pleurez pas, car vous vous trouvez AVEC le défunt.

Revenez ensuite ici et maintenant. Si vous arrivez à vaquer à vos occupations, tout va bien. Mais si vous vous focalisez soudain sur le fait qu’il n’est plus là, vous ressentez cruellement l’absence et pleurez : vous êtes SANS.

Etre AVEC / être SANS. Voilà une paire de polarités typique qu’il convient de travailler lors d’un deuil. D’autres comme MORT/VIE ou encore TRISTESSE/JOIE vous tiraillent et vous bloquent dans votre épreuve.

Au moment opportun, c’est-à-dire quand vous serez prêt à laisser partir le défunt, sachez qu’il est possible de neutraliser ces dualités douloureuses afin de rétablir votre équilibre émotionnel grâce à la thérapie PEAT.

Vous pleurerez moins, et serez capable de passer à la phase suivante.
En effet, dans mon expérience, j’ai constaté qu’il fallait agir en thérapie à un moment précis du deuil pour une efficacité optimale.

Voici les différentes phases du deuil

phases du deuil

Ce dessin permet de savoir où vous vous situez dans votre deuil.

S’il date de quelques mois ou plus et que vous souffrez encore énormément, vous serez certainement tout en bas bloqué dans la tristesse la plus profonde. Vous vous interdisez inconsciemment le retour à la vie et à plus de légèreté.

Le début de l’étape d’acceptation est souvent le moment propice pour réunir les polarités qui vous tourmentent, car vous serez alors prêt à moins pleurer.  Entendez bien ceci :

« Que vous ne pleuriez plus ne veut pas dire

que vous ne l’aimiez pas »

Cas concret : le manque et la douleur de l’absence pour Sophie

Quand Sophie est venue me voir, son père très protecteur était décédé tragiquement et brutalement il y avait déjà 20 ans ! Elle était adolescente à l’époque.

Il était plus que temps de faire le deuil. Et Sophie sentait que sa souffrance devait s’arrêter. Car malgré les années écoulées, la douleur du manque était toujours viscérale pour elle.

Cette séparation soudaine avec son père lui avait fait connaitre non seulement une blessure d’abandon et d’injustice importantes qui avaient eu des répercussions multiples : au niveau de sa propre estime, de son équilibre émotionnel resté chaotique…

Mais cette épreuve avait aussi fixé sa personnalité dans une identité de jeune fille, vulnérable et qui n’était pas devenue adulte durant toutes ces années. Elle était restée figée dans le passé par le choc.

Sa douleur était d’autant plus ravivée qu’elle essayait de devenir mère.

Nous avons fait un travail en réunissant différentes polarités durant 10 séances de PEAT. Les résultats dans son quotidien sont vite apparus…

Au bout de quelques séances, elle remarquait qu’elle agissait de plus en plus en adulte, qu’elle était moins déstabilisée par les échecs et à même de mieux affronter la vie. Toute sa personnalité a évolué positivement et naturellement. Ses peines à devenir mère se sont estompées.

Et puis à la 9ème séance, elle m’a dit : « Sur le chemin pour venir, j’ai réalisé que j’avais oublié l’anniversaire de mon père ! Il est né le même jour que ma sœur. Je lui ai souhaité à elle, mais j’ai complètement oublié pour mon père. C’est la première fois en 20 ans… Et c’est ok. J’ai compris et je ressens que les morts et les vivants sont bien à leur place, et que chacun doit poursuivre sa route, tout en pensant les uns aux autres de temps en temps… »

Elle a poursuivi avec un sourire : « Je commence à me suffire à moi-même. J’ai l’impression d’être vraiment devenue adulte il y a peu… »

Aujourd’hui Sophie est plus souriante, équilibrée, solide et légère et commence à vivre pour elle-même et non plus dans l’ombre et le besoin de protection de quelqu’un. Le deuil de son père est fait.

Repérez les signaux annonçant la fin du deuil et le retour à la vie

 

fracture photoVous pensiez que la souffrance ne vous quitterait jamais.

Mais un jour, vous ne la supporterez plus.

Vous vous trouverez alors au point de « bascule ». Vous serez prêt pour l’étape suivante.

Au départ, pleurer vous était nécessaire pour exprimer tout votre amour pour le défunt. Mais un jour, vous ressentez le besoin que cela s’arrête. Vous n’en pouvez plus.

Vous vous trouvez au moment de « bascule ». Celui où vous sentez que vous ne vous donnez pas le droit d’arrêter de souffrir.

Car vous devez prendre conscience de cette croyance selon laquelle vous ne pouvez conserver le souvenir du disparu qu’au prix de votre souffrance.

Or la vie continue.

Elle aura d’ailleurs certainement déjà commencé à vous donner des signes… Spontanément, vous pleurerez moins souvent. C’est normal, mais vous vous direz probablement que ça ne l’est pas.

Alors, il est possible que vous vous passiez des films dans votre esprit où le défunt souffre, et même parfois des scènes de douleur qui n’ont jamais existé. Comprenez qu’inconsciemment, vous essayez de retenir votre chagrin et de pleurer afin de ne pas vous sentir coupable.

Repérez ce moment où la souffrance est maintenue volontairement, mais de plus en plus difficile à prolonger.

Viendra alors le temps de l’acceptation et vous pourrez prendre la décision de dire adieu à la douleur de l’absence, pour vivre ensuite dans la beauté du souvenir vivant et aimant du défunt.

Vous serez de nouveau capable de ressentir la joie d’avoir connu cette personne. Vous la laisserez briller dans votre cœur, car elle ne sera plus connectée uniquement à la douleur.

L’amour vibrera dans votre coeur et vous célébrerez plus sereinement sa mémoire.

Mon rituel d’Adieu au chagrin et de retour à la vie

 

nature photoC’est un moment fort. Choisissez un jour de soleil.

Installez-vous dans un lieu calme. Allumez une bougie ou brûlez de l’encens si vous le souhaitez.

Vous pouvez vous agenouiller en silence afin de préparer votre rituel d’adieu au chagrin :
– Prenez une belle photo du défunt que vous placerez en évidence face à vous.
– Étendez un foulard ou un carré de joli tissu devant vous.
– Déposez la liste des beaux souvenirs (dont la préparation a été expliquée plus haut) à côté du foulard.

 

Prenez votre temps. Fermez les yeux et mettez-vous dans votre cœur.

Quand vous êtes prêt, relisez le premier souvenir à voix haute et laissez remonter les images et les sensations.

Lorsque vous êtes bien dedans, faites le geste avec votre main de le déposer depuis votre tête, dans le foulard. Répétez avec chaque élément de votre liste.

Quand tout a été passé en revue, repliez le foulard avec douceur et serrez-le sur votre cœur comme pour y faire entrer tous les souvenirs joyeux en disant « Merci pour tout ça ! ».

Inspirez profondément en sentant qu’ils fusionnent avec vous. Laissez vos émotions s’exprimer…

Prononcez ensuite : « Est venu le temps de se dire adieu (nom de la personne). Je t’aime ».

 

 

Enfin, trouvez un endroit tranquille dehors à l’abri des regards et brûlez en conscience votre liste puis rangez la photo.

Sentez en le faisant que vous laissez ainsi le défunt s’en aller et rejoindre le Tout, l’univers, librement, mais que vos souvenirs restent à jamais dans votre cœur.

Car c’est notre peine, bien souvent, qui retient les âmes défuntes près de nous et les empêche d’évoluer sur d’autres plans.

Je vous conseille de procéder ensuite au rééquilibrage des polarités avec quelques séances de libération émotionnelle. Cela peut se faire en direct ou à distance par Skype.

Vous ne serez plus bloqué dans la tristesse et éprouverez alors un profond soulagement.

Selon l’intensité de la souffrance de départ, vous pourrez ressentir encore parfois quelques soubresauts émotionnels, mais beaucoup moins forts qu’avant les séances.

Le plus gros du chagrin sera passé et vous pourrez ainsi à nouveau revenir parmi les vivants sans vous culpabiliser. Vous pourrez réinvestir le monde.

La douleur laissera la place à la lumière et à un souvenir aimant. Votre cœur sera plus apaisé.

surmonter le deuil

Quoiqu’il en soit, le deuil reste une épreuve difficile. Et le temps est un allié précieux pour aller vers l’acceptation. Peut-être que pour vous, ce chemin prendra 3 mois, 6 mois, 1 an… Néanmoins, grâce au Basic Peat, vous pourrez déjà apaiser votre souffrance, libérer les premières charges émotionnelles pour mieux traverser ce tsunami. Mon rituel d’adieu devrait aussi vous aider à aller de l’avant. Et après avoir fait la paix en vous, qui sait ? Peut-être aurez-vous plus de recul et vous autoriserez-vous à vivre encore plus intensément votre vie ? Peut-être saurez-vous voir le plein au lieu du vide et dire « Merci de m’avoir donné la chance de connaitre cette personne pendant x années » ? Mais si vous restez inconsolable, je suis là.

 

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Mary Mann : La thérapie autrement !

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Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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