Pourquoi les affirmations positives ne marchent pas ?

Pourquoi les affirmations positives ne marchent pas ?

Mary Mann

Quelle perte de temps !

Les affirmations positives, la méthode Coué ont toujours la cote. Enfin… Elles se sont fait damer le pion par la loi d’attraction. Mais avec toujours aussi peu d’efficacité. Et si je vous disais qu’il y a bien plus efficace et qui demande moins d’effort ?!

Faut pas croire tout ce qu’on vous dit…

Beaucoup de gens ont recours à ça :

 

Les affirmations positives

 
 

Et le problème c’est que ça ne marche pas.

Pire ! Pendant ce temps : rien n’avance, rien ne change, voire leur mal-être s’aggrave !

Ils sont assaillis de pensées négatives et se bombardent de pensées positives en croyant ainsi terrasser le négatif.

Comme si on effaçait une gravure d’un revers de la main par la seule volonté…

Quand on agit ainsi, on fait appel au mental.

Hélas, ce n’est pas le mental qui commande.

Non
C’est votre IN-CON-SCIENT.

 

Je ne sais plus exactement les chiffres, mais nous avons entre 70 000 et 90 000 pensées par jour.

90% environ sont les mêmes que la veille.
Et la GRANDE majorité de ces pensées sont INCONSCIENTES.

Oui

ALORS POURQUOI avoir recours à cette méthode de la pensée positive ou encore mettre un couvercle sur ce qui ne va pas ?!?

 
Pour quelle raison se dissocier de nos souffrances est-il le mode par défaut de la plupart d’entre nous ?
 

Pourquoi différer un travail thérapeutique, nier nos problèmes est la première réaction au lieu de s’y attaquer ?

Que ce soit au boulot, en amour, avec nos proches…

Je vous explique dans 1 minute car un flash subliminal vient de passer dans mon esprit.

Ca me fait penser à un sketch de Dany Boon.
Vous savez, celui sur la méthode Coué : Le déprimé. 🙂

Je le revois sautiller sur scène tel un pantin désarticulé :

« Je vais bien, tout va bien… Je suis gai, tout me plaît…
Je ne vois pas pourquoi, pourquoi ça n’irait pas ! » 

LOL

Bref,

Pourquoi est-ce si naturel de se tourner d’abord vers du positif quand on a un problème et qu’on souffre ?

Car à part si on est maso, on veut tous éviter de souffrir.
Parce que personne n’aime être impuissant et qu’il veut tenter quelque chose,
quelque chose qui soit le moins douloureux possible et dans lequel il fonde tous ses espoirs…

Jusqu’à quand ?

Jusqu’à se rendre compte que tous nos efforts pour éviter notre souffrance ne servent à RIEN.
Que les années passent et que rien ne change.
Voire que le mal-être EMPIRE !

Mais que c’est long… Pfff ! Anne, ma Soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?

 

Un week-end, durant un stage de développement personnel, j’ai rencontré Laura.

A l’heure du déjeuner, un gratin dauphinois et sa bonne odeur caramélisée… Hummm.

Laura est assise en face de moi.
Au cours de la discussion, elle partage sa « routine matinale » : sport, médiation et affirmations positives.

Je lui dis : « OK ! C’est sûr que c’est mieux que de se droguer » 
Lol
Puis je lui demande : « Et pourquoi fais-tu des affirmations positives ? »

Elle : « Parce que à cause de mon enfance, j’ai beaucoup de pensées et de croyances négatives… »

Et je demande encore : « Et qu’est-ce que tu te dis pendant tes affirmations ? »

Elle répond : « Ca dépend de l’humeur de la journée, je cherche sur youtube… »

Je fais une moue, je poursuis :  « Mais tu sais, si tu changes ce qui cause tes pensées négatives et si tu changes tes croyances négatives, tu n’en auras plus. »

– Silence –

Je rajoute : « Tu dépenses une énergie monstre à vouloir lutter contre tes ombres et tes souffrances.
Il vaut mieux aller voir, libérer, rééquilibrer ce qui te fait penser négativement
Et voilà »
.

Elle fait une moue, avale une bouchée du délicieux gratin dauphinois. Puis me répond :
« Je respecte tes croyances (oO), et peut-être que j’évoluerai sur la question. »

Puis le repas se termine et nous reprenons l’enseignement. On parle d’abord de tout et de rien…

Au bout de quelques minutes. Quelqu’un parmi les participants aborde le sujet de la loi d’attraction et des affirmations. Est-ce que ça marche ?

L’enseignant glousse avant de répondre.

Je jette un rapide coup d’œil à Laura, qui me regarde à son tour. Elle a un petit sourire.

« La Loi d’attraction, ça ne marche pas. Ca marche juste pour ceux qui l’enseigne – LOL. C’est du business.
Et pour les pensées positives…
Si on fait un effort pour penser positif, c’est forcément qu’on est dans une dualité avec du négatif.
On la nourrit en résistant.
Si tu travailles tes traumatismes, tes croyances, il n’y a plus de raison que tu penses négatif.
Tu auras une pensée neutre, voire positive ET sans effort. »

Et BIM ! – Fin de la discussion

Un petit coup d’œil complice à Laura, un haussement de sourcils.

Elle éclate de rire.

Laura a compris que cette synchronicité était pour elle. Et je savais qu’elle avait suffisamment d’ouverture intellectuelle pour remettre en cause son attitude « autruche » et ses pratiques.

Et vous ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Mary Mann : La thérapie autrement !

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Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

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  • Thérapie brève en ligne (psychopraticienne) : Libération des émotions, régression et libération vies antérieures, libération mémoires transgénérationnelles (épigénétique), développement personnel
  • Mudra-thérapie : 1ère professeur et mudra-thérapeute en France, certifiée Sabrina Mesko, d'après l'enseignement de Yogi Bhajan - Art énergétique millénaire de bien-être et de développement personnel
  • Soin chamanique - chamanisme
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Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Mary Mann

Et non les vaincre !

Vous souffrez de bouffées émotionnelles ? Vous réagissez toujours aux mêmes choses et trop fort ? Vous ruminez souvent pendant des lustres ? Et vous aimeriez venir à bout de ce mal-être qui vous épuise et vous maintient dans une spirale infernale de négativité et de répétitions sans fin. Certains se font une joie d’employer des formules « chocs » et prometteuses : ils vous promettent de vaincre les émotions négatives grâce à des solutions qui finalement vous en détournent… Laissez-moi vous compter pourquoi vaincre les émotions négatives est non seulement impossible, mais surtout non souhaitable. Découvrez plutôt l’utilité des émotions et apprenez comment gérer ses émotions négatives efficacement.

Certains vous l’assurent et n’ont pas peur de se contredire.
Il faut écouter ses émotions mais en même temps les seules solutions qu’ils vous proposent pour aller mieux sont de faire diversion pour éviter de trop les ressentir.
Bon… Faut savoir !

Et tout ça à grand renfort de méditation, sophrologie, sport… qui permettent d’évacuer les tensions et de ne pas trop y penser.
Selon eux, il vous suffit aussi de positiver, de prendre du recul et tout ira bien.

Certes, dans l’urgence, c’est bien d’activer la soupape pour relâcher la pression…
Mais et si les émotions négatives reviennent inlassablement ?
Eeuuuh… Ben on recommence !?

Non…

En même temps, je vous comprends.

La nature humaine est ainsi faite : elle n’aime pas souffrir. Elle fait tout pour éviter la souffrance.

L’humain croit que maintenir à l’écart les émotions négatives qui le dérangent lui fera trouver la paix intérieure.

Par exemple, beaucoup de gens méditent pour fuir leurs tourments qui hurlent à l’intérieur. D’autres se réfugient dans une fuite spirituelle pour ne pas rencontrer des peurs ou des colères et croient ainsi les transcender. Mais ce n’est qu’une illusion. On ne peut pas trouver la paix durablement ainsi !

Or c’est bien plus facile de faire des activités plaisantes pour s’en détourner ou de faire encore l’autruche ou du tennis avec ses émotions négatives que d’aller leur dire bonjour :-).
« Oh non, je ne veux pas ressentir ça, tu me déranges… »
Bam ! Coup de raquette pour la renvoyer dans ses pénates…
Pas grave, elle reviendra plus tard. Probablement en plus fort…

Ou encore sophrologie : paradis perdu verdoyant « Oh, c’est merveilleux ! »Je m’évade, que cet imaginaire est beau ! »

Quelle belle illusion durant quelques minutes… Mais le problème à l’origine de votre inconfort émotionnel n’est pas réglé pour autant et continue de vous hanter dans votre inconscient.

VAINCRE SES EMOTIONS : ETES-VOUS EN GUERRE ?

Tout d’abord, on va pas se mentir : « vaincre ses émotions » est une formule marketing pour vous faire lire un article ou cliquer sur une vidéo.
Eh oui ! Les gens aiment qu’on leur vende du rêve…

Pourquoi vaincre les émotions négatives est illusoire et non souhaitable ?

 

Car premièrement, une émotion n’est pas votre ennemi, vous n’êtes pas en guerre.

En guerre contre vous-même qui plus est ! Le langage est inapproprié.
Encore plus quand on vous vend ensuite de l’acceptation.

Là, j’en perds mon latin…

Bref, une émotion est un langage intérieur. Elle est en vous, vous la ressentez.

Étymologiquement, c’est un mouvement affectif créé par une sensation qui vient d’un stimuli extérieur (MOTIO=mouvement + E=qui vient de)

Les émotions sont là pour vous aider à vous adapter à chaque situation de votre vie, à survivre et à interagir avec votre environnement.

  • Elles indiquent dans quelle mesure vos besoins sont satisfaits ou insatisfaits.
  • Elles vous informent sur votre état intérieur.
  • Elles vous donnent un message précis à propos de votre équilibre intérieur.

Les émotions « négatives » ne sont pas vos ennemis.

Une émotion est la traduction pour vous d’une situation.
Or, nous avons tous une histoire, des traumatismes (qu’il soient d’origine biographique, transgénérationnelle ou karmique). Et en fonction des charges émotionnelles qui y sont liées, une situation d’apparence banale pour quelqu’un d’autre pourra avoir un effet dévastateur sur vous.

En effet, vos émotions peuvent parfois prendre trop de place car elles sont en fait l’écho d’autre chose…

L’échos d’un traumatisme ou d’une blessure de l’âme (par exemple, du rejet, de l’humiliation…)
C’est pourquoi ce que vous vivez intérieurement peut s’avérer dérangeant.
Mais ce n’est bien souvent pas le reflet totalement fidèle de la réalité qui a vraiment lieu sous vos yeux.
C’est souvent une interprétation ou une surenchère au travers du prisme égotique blessé.

Cependant, une émotion est un message.
Et il faut l’écouter pour la libérer et en faire quelque chose au lieu de mettre le couvercle dessus ou de vous échapper.

Oui je sais, ce n’est pas confortable. Or, c’est la seule voie pour transcender un problème.

Car ce à quoi je résiste persiste !

Alors quand une émotion récurrente vous bouffe la vie, ne fuyez pas ! Vous pouvez déjà vous soulager ponctuellement du trop plein émotionnel grâce à l’outil basic PEAT, que j’explique dans mon article sur le deuil.

Mais si vous voulez vous soulager durablement d’une émotion négative, prenez plutôt votre pioche et votre lanterne…

Et Hop ! On descend pour voir ce qui se passe ! 

LES ÉMOTIONS NÉGATIVES : LE VRAI PROBLÈME

D’abord, prenez bien conscience que les émotions, tout comme vos pensées, ne sont pas TOUT votre Etre.
Aussi intenses soient-elles, elles ne sont « que » des vagues intérieures.
C’est pourquoi les écouter et les accueillir tout en les observant est possible et surtout, cela ouvre la voie de la guérison.

Car le changement commence par l’accueil de ce qui EST.

Malheureusement, ce n’est pas simple.

En vérité, j’ai remarqué qu’il existe deux situations avec les émotions négatives : soit elles sont ponctuelles, fluides et on les vit bien, soit elles prennent toute la place et ça bloblotte, c’est instable.

Elles sont ponctuelles, fluides

On est fluide car on sait les vivre sans problème puisqu’on est suffisamment équilibré (paix et liberté vis-à-vis du vécu et des conditionnements),

Elles prennent toute la place et c’est instable

J’ai rencontré deux cas de figure :

1- soit on met le couvercle dessus par peur de souffrir, ce qui peut aboutir à des allergies émotionnelles (explosions par des « bouffées » qui peuvent s’échapper de temps en temps) ou même parfois – si on a poussé le bouchon très loin – on arrive à une « incapacité » émotionnelle (on ne pleure plus, on est « coupé »…). Pour survivre, on a scellé la porte de nos tourments consciemment ou inconsciemment. Dès lors, contacter son vécu reviendrait à libérer le Kraken. oO. Il n’est pas rare de souffrir de Troubles Musculo Squelettiques, de somatisations diverses car le corps encaisse…

2- soit on est bloqué dans une émotion négative récurrente à cause d’un vécu impactant prolongé ou bref (ex : quelqu’un constamment soumis à la peur devient peureux, quelqu’un qui a souvent été en colère devient colérique, quelqu’un de souvent triste devient dépressif, une personne qui subit un traumatisme violent et soudain peut se retrouver bloquée dans la peur, la tristesse car le souvenir de ce trauma continue à faire des ravages dans son inconscient…). Le déséquilibre est important. On est ainsi dépolarisé et on ne sait plus fonctionner autrement. On peut dire que la personne est carrément devenue l’émotion négative.

Dans ces situations, je rencontre fréquemment des clients avec un vécu très difficile.

Ils ont survécu comme ils ont pu… Mais au bout d’un moment, ils se rendent compte que ce vécu devient handicapant et les empêche de vivre…

Ils souffrent, ils sentent un manque, ils sont « coupés » d’une partie d’eux-même et certains ressentent le besoin de rouvrir la porte pour faire la paix avec leur vécu mis sous clé si longtemps. Ils aspirent à rééquilibrer leurs émotions pour fonctionner plus sainement.

Certes, leur vécu traumatique y est pour quelque chose, mais notre modèle d’éducation n’aide pas non plus à cette fluidité et cet équilibre émotionnel.

Car pour beaucoup d’entre nous, depuis notre enfance, nous avons souvent reçu tout simplement l’injonction de réprimer nos émotions négatives :
-« Ne pleure pas !
-Mais moi aussi j’peux me mettre en colère !
-Arrête de pleurer, tout le monde nous regarde, tu me fais honte…
-Les garçons, ça ne pleure pas »

Ça vous dit quelque chose ?

Qui plus est, le fait d’être dans une dictature du positif, de « winner » n’arrange rien.

Cela est encore plus vrai dans le monde du travail.
Essayez de pleurer ou de vous mettre en colère en entreprise, vous verrez la tête de vos collègues !
Interdit ! Refoulement…

On vous dit même que vous devez laisser vos problèmes à la porte et on vous oblige à mettre un couvercle sur votre ressenti, à paraître lisse et imperturbable…
Humain robotisé, standardisé qui ne fait pas de vagues.

Mais c’est impossible !
Il est grand temps de réinventer l’entreprise humaine… Mais c’est un autre sujet.

Alors, si nous n’écoutons pas nos émotions, nous nions certains de nos besoins et petit à petit nous perdons le contact avec nous-même.
– Cela crée des BOUCHONS qui peuvent nous sauter à la figure un jour où la coupe est pleine.
– Cela peut engendrer un MAL-ETRE général inexplicable comme chez certains de mes clients qui ont comme perdu un bout de leur âme, surtout quand ils ont de gros traumatismes (notion chamanique). Leur personnalité est fragmentée et ils perdent leur pouvoir personnel
– Le corps peut même se mettre à somatiser pour faire entendre cette émotion dont il ne sait que faire car elle n’est pas entendue !

Ce long processus de perte de soi, de déconnexion à nous-même, fait qu’au final nous ne savons plus qui nous sommes.

Cette perte de communication avec nous-mêmes ne va pas non plus dans le sens d’une communication saine à l’autre.
En effet, comment entrer en relation avec l’autre sainement quand nous ne savons plus communiquer avec nous-mêmes ?
Que nous ne savons pas entendre ces messages que sont nos émotions et que nous bâillonnons souvent à grand coup de méditation, sophrologie, sport, hyperactivité etc. ?

EMOTIONS NEGATIVES : VRAIMENT ?

Colère, tristesse, peur, culpabilité… Vous ne les aimez pas, hein ?

Et là vous me dites : « Oui, ce sont des émotions né-ga-ti-ves »

Mais au fait, depuis quand une émotion est-elle négative ?
Une émotion n’est ni négative, ni positive : elle EST.
Et si une émotion existe, elle a une utilité. Ce n’est pas une maladie !

 

Le merveilleux film d’animation Vice Versa nous le démontre parfaitement.

Toutes les émotions « négatives » mises à l’écart par la JOIE, s’avèrent finalement nécessaires au bien-être psychique et à l’équilibre de la petite fille.

Pourtant, nous considérons souvent la tristesse comme une faiblesse indésirable.

De même, nous traitons la colère comme un manque de maîtrise alors qu’elle peut être une énergie puissante très utile et pas forcément explosive !

Les émotions négatives vous apportent un message :

  • la peur vous indique un possible danger,
  • la colère vous indique un besoin insatisfait ou vous permet de vous protéger et vous affirmer,
  • la tristesse indique un manque, un besoin non comblé (principalement affectif),
  • la culpabilité vient nous questionner dans notre responsabilité vis-à-vis de ce qu’on se reproche.

Et toutes ces émotions ont différents degrés selon leur intensité, comme le montre la roue des émotions de Plutchik. Par exemple, la peur se décline en inquiétude, crainte, peur, terreur, panique.

J’aime voir mes clients redécouvrir leur dialogue intérieur lors des séances de libération émotionnelle. Ils refont ami-ami avec leurs ressentis et s’en trouvent bien mieux. Ce qu’ils mettaient à l’écart par peur et incompréhension leur paraît soudain normal car ils contactent ce qui est derrière et ils l’accueillent avec bienveillance. Au lieu de la refouler, ils intègrent leur histoire personnelle…

Pour ma part, je préfère qualifier les émotions négatives d’émotions « désagréables ».
Sinon, on se croirait dans les contes pour enfant : il y a un gentil versus un méchant.
Bououuu ! La vilaine émotion négative !

Mais vous savez ? Cette façon de voir les choses BIEN/MAL vient de très loin.
Dans notre culture, nous nous sommes construits autour de la notion de polarités. Cela vient de la Pensée polaire.
Qu’est-ce que c’est ?
Laissez-moi vous expliquer brièvement…

COMMENT EST NEE LA PENSEE POLAIRE ?

D’abord il y a eu le Manichéisme venu de Perse, au 3ème siècle après JC.
Vous savez ? C’est quand on évalue les choses à l’aide d’antagonismes. Tout blanc ou tout noir…

Puis, cette façon de penser très catégorique a infiltré les mentalités et a même fini par influencer la morale religieuse en Occident.

 

 Dès lors, la manière de concevoir les choses en opposition s’est renforcée et a fait de notre monde un monde bipolaire où le BIEN et le MAL s’affrontent.

La pensée Polaire est ensuite née au 12ème siècle.

Elle conçoit que tout ce qui existe a deux polarités inverses : chaque chose a son opposé.
 La lumière/l’obscurité, le blanc/le noir, le Vrai/le Faux…

Et on favorise une pensée plutôt que l’autre, on catégorise, on oppose et on sépare deux choses qui sont pourtant les faces d’une même pièce.

Vous avez remarqué ?

Que ce soit dans les contes pour enfants ou dans les mythes, il y a toujours un gentil et un méchant.

Le gentil est-il mieux que l’autre ? Certes, il fait de bonnes actions.
Mais c’est l’existence de l’un qui permet de concevoir et donner vie à l’autre en tant que son opposé. Cela donne l’occasion de l’appréhender dans sa nature. Sinon, nous ne saurions pas le nommer ni le comprendre instantanément.

Il en est de même de nos états intérieurs que nous opposons : joie/tristesse, confiance/peur, patient/impatient…

LA DUALITE AUSSI DANS LA NATURE…

 

Cette façon duelle de voir les choses, provient aussi de l’observation de La Nature qui est bien faite d’oppositions franches (froid/chaud, contraction/expansion…)

Mais il y a une différence essentielle : la Nature passe aussi indifféremment et naturellement d’un état à un autre et ceci constamment !
Tandis que la pensée Polaire, elle, FIGE un état qu’elle va juger meilleur que son opposé et de manière, arbitraire, catégorique et définitive.

 

Pour prendre une image : c’est comme si on décrétait que l’inspiration était mieux que l’expiration et qu’on se mette à développer des tas de théories pour justifier cela…

Mais si vous n’expirez pas… vous n’êtes pas en vie !

La vie consiste à passer fluidement d’un état à un autre en permanence, dans l’équilibre.

Vous avez suivi ?
Bien

Alors pourquoi en serait-il autrement pour les émotions ?

LA VOIE DU SALUT : Ecouter, libérer et rééquilibrer ses émotions grâce à PEAT

Si vous avez bien suivi, vous avez compris que pour bien vivre vos émotions quelles qu’elles soient, vous devez toutes les accepter et atteindre ce que je nomme : la fluidité émotionnelle.

Pour cela, ACCUEILLEZ la polarité « négative » dans toute sa profondeur et son intensité (mais accompagné ! si c’est trop fort).
En effet, le fait de vider un abcès émotionnel permet de laisser émerger autre chose (car au vide succède le plein).
Ecoutez vos émotions désagréables et comprenez les besoins qu’elles traduisent, qui ne sont pas satisfaits en vous.

Car tant que vous musellerez une émotion, elle continuera de venir frapper à la porte jusqu’à être entendue.

Toute cette énergie bloquée s’amplifie avec le temps.
De plus, bloquer la porte est épuisant et c’est une énergie que vous n’avez pas pour autre chose et aller de l’avant.
Il est capital de rétablir une bonne fluidité émotionnelle pour atteindre un bien-être durable, et améliorer votre qualité de vie.

Donc n’ayez pas peur de ressentir ! Ça veut dire que vous êtes vivant !

Au lieu de vouloir faire du karaté (lutte), essayez donc l’aïkido (utiliser la force de l’adversaire pour le neutraliser)!

En séance de thérapie, je vous accompagne dans un véritable aïkido émotionnel grâce à la technique PEAT.

Bien souvent, les gens ont peur d’explorer un certain état « négatif » et ils sentent qu’ils ne pourront pas arriver seuls à les purger. Et c’est souvent vrai.
Certains ont carrément peur « d’exploser » tant l’intensité des émotions qu’ils ont refoulées est importante !
Ils sentent la puissance de ces émotions désagréables car elles n’ont pas été exprimées depuis si longtemps…
Alors, bien sûr, il est souhaitable de les libérer en se faisant accompagner.

Cependant, les libérer n’est pas suffisant pour parvenir à l’équilibre… Ça soulage, mais ce n’est pas suffisant. Vous allez certes traverser et libérer vos ombres : émotions désagréables, souvenirs traumatisants, colères, tristesses, peurs…

Mais afin d’atteindre la sérénité, nous devrons aller voir aussi vos joies, vos bonheurs afin de les rééquilibrer ensemble !
Car ils sont partenaires !

C’est ce mariage et réconciliation qui provoqueront la libération émotionnelle qui aboutira à la fluidité à laquelle vous aspirez tant !
Vous arrêterez de FAIRE LES MONTAGNES RUSSES et stabiliserez vos émotions en les vivant toutes, mais sans excès pathologique ou inconfortable. Vous pourrez trouver la paix intérieure.

Vous allez apprendre à accueillir tout ce que vous êtes avec bienveillance, à vous soulager émotionnellement de vos souffrances et de vos croyances limitantes.
Grâce à ce travail de rééquilibrage, vous allez pouvoir vivre un état de plus en plus fluide, léger et STABLE. Au lieu d’être envahi et submergé au point de faire diversion ou l’autruche.

Ainsi, transcender vos problématiques émotionnelles et non les vaincre est la seule voie vers l’unité et la paix intérieure. Tout évitement diffère le problème. Un rééquilibrage de vos émotions grâce à la méthode PEAT, vous permettra de traverser la vie et ses épreuves plus facilement. Vous jonglerez avec vos émotions plus rapidement, sans en interdire aucune. Vous goûterez à la sérénité et à une nouvelle liberté quant à vos conditionnements passés. Vous savourerez davantage le moment présent par une qualité de présence accrue à vous-même et au monde. Le champ de conscience s’élargira, gage d’un autre rapport au monde et d’une reliance plus forte à la Vie. C’est le chemin de l’éveil.

Comment gérer ses émotions négatives ?

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Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Transgénérationnel : notre corps se souvient

Transgénérationnel : notre corps se souvient

Mary Mann

Entendez-vous ?

Avez-vous déjà pris conscience que vous êtes le fruit d’une longue lignée venue du fond des âges ? Ce lien transgénérationnel qui vous unit à vos ancêtres s’étire jusqu’aux origines de l’humanité… Ressentez-vous parfois des attirances viscérales pour certaines choses, sans véritable raison ? Souffrez-vous de blessures émotionnelles exacerbées qui ne trouvent pas vraiment d’origine dans votre vie ? Vous êtes-vous déjà interrogé sur vos ancêtres et avez-vous parfois constaté des similitudes de comportement ou dans vos choix de vie ? Si votre conscience n’a pas toujours les mots pour l’expliquer, votre corps lui, se souvient…

Vous arrive-t-il d’avoir des émotions qui soudain vous submergent plus que de raison face à un événement ? Comme si cela venait toucher quelque chose de profond qui ne vous appartient pas ? Vous avez l’impression que quelqu’un d’autre pleure à travers vous, que quelqu’un d’autre a peur… Cela vous secoue, cela vous dépasse et se répète à chaque nouvelle situation similaire !

Ou avez-vous des attirances pour quelque chose, que ce soit un pays, une activité ? Et vous ne savez pas d’où ça vient, c’est plus fort que vous !

Avez-vous des intuitions très fortes sur votre famille, des secrets que vous percevez comme au travers d’un rideau que vous ne parvenez à ouvrir ? Mais c’est là et vous le sentez en vous sans pouvoir l’expliquer !

J’ai toujours été passionnée de généalogie. Ces fragments d’histoire exhumés qui revivaient le temps d’une lecture aux archives, ouvraient les portes de mon imagination. En même temps qu’un vortex magique dans l’espace-temps.

Ce lien aux ancêtres m’a toujours émerveillée…

Vous avez vu Avatar ? Vous vous souvenez de l’arbre blanc des ancêtres ? Votre corps, vos souvenirs, c’est un peu comme cet arbre sacré dans Avatar. Si vous prêtez l’oreille et écoutez votre corps, vous pouvez entendre vos ancêtres vous parler… Leur histoire est là, vous avez une base de données génétique et émotionnelle incroyable en vous !

Mon cas personnel

 

holland photo

Oui, cette image d'illustration est un cliché. Mais quand même, une femme guerrière viking, ça méritait quelque chose de classe.

J’ai envie de vous raconter un peu de mon histoire…

1- J’ai toujours été attirée par la Hollande, pourtant, à mon grand désarroi, je n’y ai jamais mis les pieds. Curieux, non ? A l’adolescence, c’était même bien plus fort que cela : j’éprouvais de la NOSTALGIE pour ce pays que je ne connaissais pas.

J’en avais presque un trou au cœur.

A l’époque, je savais juste que mon grand-père maternel était belge mais je n’avais pas conscientisé que j’avais des origines flamandes. Plus tard, j’ai remonté ma « branche » et là, j’ai pu grâce à internet, trouver que le berceau du patronyme de mon grand-père était à Sneek (province de la Frise), tout au nord de la Hollande… Etrange, non ?

2- J’ai toujours été attirée par la Scandinavie. L’appel a toujours été très fort. Je m’y sens chez moi. La culture, les légendes, les paysages… Tout m’a toujours parlé au cœur. Et j’ai toujours eu l’intime conviction que j’avais un lien avec ces pays du Nord.

Physiquement, c’était un peu une évidence aussi…

Et puis un jour, lors d’un soin chamanique de recouvrement d’âme que j’ai reçu, je suis partie en transe.

Là, j’ai eu des visions incroyables. Je suis partie en voyage au travers des brumes du temps. Soudain, les brumes se sont écartées et là j’ai vu un drakkar ! Puis j’ai eu d’autres informations que je ne relateraient pas ici.

En résumé, j’ai eu la révélation que j’avais des ancêtres vikings et que je portais une mémoire familiale liée à leurs invasions.

Bien des années plus tard, j’ai effectué un test génétique.

Et vous savez quoi ?

Il est non seulement venu détailler mes ascendances hollandaises, mais ce test m’a aussi apporté une autre information fascinante. Mon ADN mitochondrial maternel est le même que celui de la première chef guerrière viking retrouvée en Suède. Nous partageons une ancêtre commune il y a 10 000 ans.

Sa tombe somptueuse a été trouvée en 2017 sur l’île de Bilka. Les guerrières vikings de cette importance étaient des guides et elles étaient toujours associées aux esprits, à la magie, la divination… Je trouve ce détail fascinant sachant que je pratique le chamanisme et que je sais que ce don me provient de ma lignée maternelle. Mon arrière grand mère était sage-femme dans son village et elle faisait des onguents aux plantes… J’ai même appris que cette femme très pieuse avait soigné des ouvriers malades de la grippe espagnole dans l’église du village, sans tomber malade elle-même.

Mais j’ai aussi demandé à mon père de faire ce test et il s’avère qu’il a 5% d’ADN Scandinave. Effectivement, les vikings ont aussi envahi les Flandres françaises d’où venait sa mère…

Bref, il y a bien du viking en moi. Comme quoi… mon corps le savait.

De mes ancêtres Hollandais, il me reste la passion pour leur grand chapeau noir, la peinture flamande, et mes 1.78 m. Quant à mes ancêtres Scandinaves, j’en ai hérité une fascination pour les aurores boréales ainsi que pour la mythologie nordique et qui sait… de ce don pour le chamanisme ?

En plus, on m’a toujours prise pour une hollandaise ou une Suédoise en vacances ! LOL.

Bon, difficile de trouver des chapeaux noirs à grands bords aujourd’hui, j’ai fait avec ce que j’ai trouvé ;-)…

 

Nous héritons bien des traumatismes des générations passées…

 

… et ce sont les gènes qui les transmettent. (vu sur www.atlantico.fr)

Des expériences récemment menées sur des souris par une équipe de chercheurs de l’université d’Atlanta ont mis en évidence le fait que des événements traumatisants provoquaient des modifications sur l’ADN observé dans leur sperme, et avaient des effets sur le cerveau et le comportement des générations suivantes.

D’après le professeur Marcus Pembrey, du University College London, ces découvertes sont transposables aux hommes.

Cela me rappelle d’ailleurs un autre constat il y a quelques année, aux Etats-unis… A New York, de nombreux enfants nés fin 2001, début 2002 souffraient d’un stress post-traumatique qui a d’abord été inexpliqué.

Puis les médecins ont fait le rapprochement : leurs mères ayant vécu les événements traumatiques du 11 septembre 2001 alors qu’elles étaient enceinte, l’information de danger de mort s’est transmise au bébé qui en a développé un stress viscéral inconscient, un stress transgénérationnel.

L’impact plus fort venant de la mère a d’ailleurs été prouvé il y a une vingtaine d’années : l’information parentale n’est pas égale ; elle est généralement plus favorable à la transmission des caractères de la mère que de ceux du père.

A quel point sommes-nous façonnés par ce qui nous a précédé ?

 

Pierre Robertoux* nous explique :

« Nous sommes influencés culturellement. Mais nous le sommes de multiples façons. Pour cela je vous citerai une autre étude, qui a mis en avant un mécanisme différent mais a abouti à un résultat analogue.

Des souris ayant subi une carence alimentaire et ayant été soumises à un stress apprennent mal. Même bien nourrie, leur progéniture apprend mal, et cela pendant deux générations. Que s’est-il passé ? Les grand-mères mal nourries n’ont pas donné de soins suffisants à la progéniture.

De ce fait, cette dernière présente des performances cognitives faibles. Mais ces mêmes souris ne savent pas donner les soins nécessaires aux petits qui, de ce fait également apprennent mal. Linda Crnic, qui fit cette expérience il y a voici trente ans, observa des conséquences des privations et stress infligés à une souris pendant trois générations.

Il n’y a pas que les mécanismes génétiques ou épigénétiques qui nous aident à nous souvenir des ancêtres. »

Eh oui, il y a aussi tous nos comportements, nos croyances…

 

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Qui est Pierre Robertoux ?

*Pierre Roubertoux est professeur de génétique et de neurosciences à Marseille. Il a créé et dirigé le laboratoire « Génétique, neurogénétique, comportement » du CNRS et a travaillé au laboratoire « Génomique fonctionnelle, comportements et pathologies » du CNRS, à Marseille. Il mène aujourd’hui ses recherches au sein du laboratoire de génétique médicale de l’Inserm. Ses travaux sur la découverte de gènes liés à des comportements lui ont valu le prix Theodosius Dobzhansky, aux États-Unis.

J’avais d’ailleurs vu il y a quelques années une étude fort intéressante de deux chercheurs en Scandinavie qui avaient la même conclusion.

Si ma mémoire est bonne, ils avaient remarqué que les jeunes filles portaient la mémoire traumatique d’événements marquants, quand ceux-ci leur arrivaient principalement avant la puberté, et que l’information était transmise sur 3 générations parfois 4 (si le traumatisme était très fort).

Quant aux garçons, c’était la période de la puberté qui était déterminante, et de même, l’information était encodée quelque part dans le génome et transmise à la descendance sur 3 ou 4 générations.

Si je me souviens toujours bien, ils avaient étudié le cas d’une femme en surpoids dont les ancêtres avaient souffert de famine. Son corps était ainsi programmé pour garder et optimiser la nourriture même si elle avait suffisamment à manger !

Regardez aussi la tribu des Apaches dont Geronimo était un grand leader. A leur grande époque, avant d’être intégrés de force dans la société américaine et que leur mode de vie soit totalement remis en question, les Apaches avaient une endurance à toute épreuve.

Ils parcouraient des kilomètres chaque jour, telles des gazelles sous un soleil de plomb, dans un milieu désertique, avec très peu d’eau (durant leurs expéditions, ils tiraient principalement leur eau grâce aux plantes du désert qu’ils connaissaient très bien). Ils n’avaient bien souvent qu’un peu de viande séchée comme nourriture pour plusieurs jours.

Mais cela ne les empêchaient pas de parcourir des distances incroyables ! Cela faisait d’ailleurs parti du rite d’initiation des jeunes hommes en plus de la quête de vision de leur animal de pouvoir…

Aujourd’hui, ils n’ont plus du tout ce mode de vie très rude et leur corps a malgré tout gardé la mémoire d’un métabolisme ultra performant, optimisant la moindre calorie ingérée. Résultat : leurs descendants sont TOUS en surpoids ou pire : obèses !

 

Observez votre famille et observez-vous

 

Nous sommes le fruit de 2 guerres mondiales, la plus vieille remontant à seulement 100 ans. Nos arrière-grands parents ont fait cette guerre, beaucoup y sont morts tragiquement. Nos grands parents ont connu cette guerre dans l’enfance, traversé des périodes violentes, dures, ont pu souffrir de la misère, de la faim être déracinés…

La crise de 1929 est aussi passée par là et a pu laisser sa marque de faillite et de honte sur certaines lignées… Si vous êtes adulte aujourd’hui, vous êtes justement la 3ème ou 4ème génération.

Peut-être sentez-vous encore dans vos tripes la peur des soldats au moment d’aller à l’assaut en 14 sous le vacarme tonitruant des bombes allemandes ? Fondez-vous en larmes de manière inexpliquée devant les documentaires reparlant de ces deux terribles conflits mondiaux ?

Auriez-vous un ancêtre qui a souffert du gaz moutarde et qui en est mort après la guerre ?  Et que cela vous fait mal respirer sans raison ? Que dire sur les camps de concentration… Peut-être que certain(e)s de vos ancêtres se sont retrouvés orphelins ou veuves de guerre et que vous portez leur blessure d’abandon… Ou encore un de vos ancêtres a fait faillite et de ce fait vous interdit inconsciemment de prospérer

Tant de traumatismes jalonnent notre histoire de famille !

Comment s’en libérer ?

 

Pour avoir vécu cela dans ma chair, ce sont des postulats passionnants à explorer et à libérer pour aller mieux et vivre notre vie enfin libérés de ces mémoires transgénérationnelles meurtries.

Car elles font partie de notre histoire, mais elles ne sont pas notre vie présente et pourtant, elles provoquent encore des résonances.

Vous êtes le fruit d’une histoire humaine venant du fond des âges et qui se perpétue depuis l’aube de l’humanité…

Un proverbe africain dit : « pour savoir où l’on va, il faut savoir d’où l’on vient ».

Au-delà de vos propres blessures émotionnelles biographiques (votre vécu), il y en a d’autres parfois inconscientes qui viennent alourdir votre sac et amplifient vos réactions dès lors qu’elles font écho avec votre vécu dans cette vie.

Ces blessures peuvent venir de vos ancêtres et parfois même de vos vies antérieures (mémoires karmiques) qui vous ont laissé des schémas non résolus, des croyances, des traumatismes que vous pouvez retrouver dans votre vie actuelle afin de les dépasser, de vous libérer du cycle de répétition et d’évoluer.

Il n’est pas rare que ces blessures tant familiales que karmiques soient du même registre (tiens comme par hasard, histoire d’en rajouter une couche) et se répondent pour mieux se faire entendre et vous faire progresser…

Il m’arrive de tomber sur des mémoires karmiques ou familiales lors d’un soin chamanique mais parfois en thérapie PEAT !

Il est donc intéressant de voir que nous pouvons aborder la problématique de vos émotions de bien des façons :

Donc si vous souffrez de troubles émotionnels plus forts que vous, que vous puissiez les relier ou non à un événement traumatique vécu dans votre famille, Sachez qu’ils ne demandent qu’à être entendus et libérés.

C’est sur cela que je vous invite à porter votre attention…

 

Alors prêtez l’oreille, ressentez votre corps et vos émotions…

Que vous disent vos ancêtres ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Mary Mann : La thérapie autrement !

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  • Thérapie brève en ligne (psychopraticienne) : Libération des émotions, régression et libération vies antérieures, libération mémoires transgénérationnelles (épigénétique), développement personnel
  • Mudra-thérapie : 1ère professeur et mudra-thérapeute en France, certifiée Sabrina Mesko, d'après l'enseignement de Yogi Bhajan - Art énergétique millénaire de bien-être et de développement personnel
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Comment retrouver son pouvoir personnel ?

Comment retrouver son pouvoir personnel ?

Mary Mann

Et devenir fort et libre

Il est parfois difficile d’avancer dans la vie car notre pouvoir personnel est affaibli par les épreuves que nous traversons. Notre vécu et les traumatismes subis nous privent petit à petit de nos forces. Nous baissons alors les bras et l’audace déserte notre chemin, nous poussant à mener une vie décevante dans laquelle nous ne nous reconnaissons pas. Il est pourtant possible de relever la tête et retrouver son pouvoir personnel afin de transformer sa vie. Mais comment ? Et qu’entend-on exactement par pouvoir personnel ? Voici mes clés.

Notre pouvoir personnel reflète notre puissance de vie et d’action. Il est directement relié à la notion de complétude, d’unité. Cela fait appel à des notions chamaniques : à notre naissance, nous sommes « complets » et notre potentiel est fort. C’est un peu comme si notre âme était un miroir auquel il ne manque aucun morceau.

Or, au fil des épreuves, ce miroir prend des coups et perd des fragments, affectant directement notre force et notre étincelle de vie. A cela s’ajoutent les croyances limitantes inculquées par notre famille, sur notre valeur personnelle et nos capacités…

Tout ceci façonne des peurs et une fausse vision de nous-même et du monde… Notre pouvoir personnel diminue.

Et petit à petit, nous devenons l’ombre de nous-mêmes, traversant la vie tels des fantômes tristes, ne sachant plus qui nous sommes et ne pouvant plus agir pour le mieux.

Ainsi, pour retrouver notre unité, et retrouver notre force et notre identité, il faut d’abord :

  • soigner nos blessures émotionnelles et traumatismes,
  • changer nos croyances limitantes,
  • vaincre nos peurs 

Nous recontacterons alors notre pouvoir personnel et pourrons rayonner. Nous serons plus forts, heureux, alignés et pourrons nous construire une vie qui est cohérente avec nous-mêmes.

 

1-Guérir ses blessures de l’âme

Vous avez peut-être entendu parler des 5 blessures de l’âme développées par Lise Bourbeau ? (le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice). Nous avons tous plusieurs de ces blessures (2 ou 3), mais selon notre vécu et notre personnalité, elles ont laissé des bleus à notre âme plus ou moins importants. Cela conditionne notre image de nous-même et notre relation aux autres.

Quand j’accompagne en thérapie des clients blessés par la vie, je vois clairement un AVANT et un APRES.

Pour les plus abîmés par la vie, au début, ils arrivent tels des enveloppes vides. Ils sont profondément tristes et quand certains cachent leur état sous un masque jovial et sociable, d’autres ressemblent à des lanternes soufflées par la brise. Il manque l’étincelle.

Parfois, l’Ego a pris toute la place et le mental turbine à plein régime pour empêcher toute connexion à l’enfant intérieur meurtri. Ils ne savent plus qui ils sont véritablement et n’ont plus vraiment de plaisir dans la vie.

Ils ont beaucoup de mal à être en présence d’eux-mêmes dans le silence, à être seuls.

Car entendre l’âme qui tenterait de s’exprimer alors est une souffrance. Ils mettent toujours un bruit de fond, TV, radio ou cherchent compulsivement de la compagnie… Voire ils comptent en permanence tout un tas de trucs inutiles (les marches, nombre de pas) juste pour occuper leur cerveau et détourner leur attention de l’enfant intérieur en souffrance !

D’autres clients cherchent frénétiquement à remplir leur vide intérieur par un flot d’activités ou de possessions.

Mais dans tous les cas, souvent ils ne sont pas capables de dire « je m’aime ». Cela les fait souvent fondre en larmes.

Comment vivre ainsi quand on sait qu’il est important de s’aimer pour avancer et être heureux dans la vie ? Pour se déployer dans la vie ?

Il est essentiel de réparer les blessures vécues, puis de recoller les morceaux qui sont partis à cause des épreuves et des dénigrements familiaux parfois dès la petite enfance.

Quand l’individu est prêt, les morceaux du miroir brisé peuvent revenir parfois spontanément à lui.

Mais le plus souvent, la force d’un intervenant extérieur est nécessaire. C’est là qu’un soin chamanique est pertinent. A cette occasion, le chaman, aidé de ses fidèles esprits alliés, va chercher les bouts d’âme égarés et meurtris. Il arrive que ces fragments d’âme soient dans des dimensions parallèles… Ils peuvent être perdus, apeurés, à bout de force. La beauté du travail du chaman consiste à les trouver, les nettoyer, réinsuffler la vie en eux si nécessaire et à les ramener enfin à leur propriétaire.

En guise d’exemples, il m’est déjà arrivé de retrouver soudain une petite fille pure dansant dans la neige et de ré-insuffler cet être pur à sa propriétaire… Ou encore d’aller chercher un bout d’âme enchaîné dans un monde ténébreux plein d’éclairs puis de le délivrer, de le nettoyer et de le ramener.

Outre l’individu, sa lignée aussi peut avoir besoin d’une guérison.

J’ai déjà eu à nettoyer des mémoires transgénérationnelles d’abandon, nettoyer des empreintes de magie noire, libérer l’âme d’une esclave afin qu’elle puisse enfin monter dans la lumière… Tout est possible ! L’histoire de chacun est si riche et différente !

Sachez que les mémoires transgénérationnelles peuvent aussi être abordées différemment grâce à un travail de libération transgénérationnelle où le client est acteur du soin.

2-Changer ses croyances limitantes

Photo by Jeanne Menj

Nos croyances limitantes viennent souvent de très loin. On peut aussi les appeler croyances fondamentales car elles sont si fortes qu’elles influencent directement nos pensées et nos émotions, façonnant ainsi notre vision du monde et de nous-même. C’est notre vécu qui les détermine.

Prenez par exemple ceux qui ont une piètre estime d’eux-mêmes. Ils aurons beau changer de coiffure, de garde-robe, perdre 5 kilos, acheter une plus grosse voiture ou une Rolex, quand leur propre estime ne tient qu’à des éléments extérieurs, le bien-être retiré ne durera pas et il leur en faudra toujours plus ! Pire encore, si un jour tout s’effondre, que restera-t-il de cette « valeur » ?

Il en va de même dans d’autre domaines : comment mener à bien des projets audacieux, une reconversion professionnelle, se lancer dans l’entrepreneuriat, quand durant toute son enfance on s’est entendu dire « tu es nul, tu ne feras jamais rien de bien dans la vie, etc. » ?

Imaginez que vous ayez souffert de la blessure de l’âme d’abandon, et que vous pensiez inconsciemment « On me laisse toujours tomber ». Comment voulez-vous vivre votre vie amoureuse de manière sereine alors que vous attendrez de votre partenaire qu’il comble le trou béant laissé par cette blessure d’abandon dans votre cœur, jusqu’au jour où, votre partenaire épuisé s’en ira ?

Par cet acte, il viendra donc confirmer votre croyance auto-réalisatrice d’abandon. Et si vous ne vous libérez pas de ce schéma, il y a fort à parier que vous ferez de même avec votre prochain partenaire !

Comment être heureux alors et construire une vie satisfaisante et harmonieuse quand on n’est pas soi-même structuré et équilibré, libre de ses conditionnements destructeurs ?

Autre exemple, vous êtes-vous déjà relooké(e) de la tête aux pieds, avec la ferme intention de laisser le passé derrière vous ? De changer de peau ? Vous vous sentez bien pendant un temps et puis… vos vieux démons reviennent au galop.

La petite voix d’auto sabotage (le Juge) qui vous a pourri la vie revient telle un petit démon « t’es trop gros(se), t’es moche etc. ». C’est comme dans l’ancienne pub de la vache qui rit : « Trop ceci, trop cela, trop typé, trop gros ! Non mais ça va pas la tête ?!… ». Et ça ne va toujours pas !

 

Un nouveau look pour une nouvelle vie, vraiment ?

C’était le titre prometteur d’une émission bien connue ! Cette promesse peut se révéler vraie pour des personnes qui ont juste un souci pour marier les couleurs ou pour qui s’habiller est juste ne pas être tout nu. Cependant, il n’en va pas de même pour les personnes en surpoids ou qui se sont senties dévalorisées toute leur vie.

Bien souvent, un relooking seul ne sera pas suffisant pour aller vers une nouvelle vie !

Imaginez que vous ayez subi des brimades toute votre enfance et que dans votre glace, malgré votre Relooking, vous ayez inconsciemment ces remarques négatives à l’esprit ! Comme elles ont façonné l’image que vous avez de vous-même, ce n’est pas le reflet du miroir que vous verrez mais bien une image déformée : c’est comme les anorexiques qui se voient toujours trop gros.

Comme le disent beaucoup de relooker : « le Relooking peut faire émerger des blessures de l’âme et être l’occasion d’un travail sur soi salutaire ». En effet, il est important de lustrer les deux faces d’une même pièce pour qu’elle brille !

Sinon c’est comme mettre du lino sur un parquet vermoulu ! Ça fait meilleure impression, mais fondamentalement rien n’a changé et le sol est toujours aussi abîmé et fragile en-dessous !

 

3- Vaincre ses peurs

La peur est une émotion très puissante. Sentez combien votre corps se rétracte quand vous ressentez la peur. Rien n’est possible ou alors dans la souffrance. Le plus important est de comprendre qu’il est normal d’avoir peur dans une certaine mesure, or ce qui ne l’est pas, c’est qu’elle dirige votre vie !

Il y a la peur d’une situation nouvelle, légère, le trac du débutant.

Et il y a l’autre peur, celle qui est chronique. Celle qui paralyse et rend malade, celle qui nous fait renoncer à nos rêves. Le ventre noué, les mains moites, les nausées…

La peur des autres, de mal faire, d’être rejeté, de ne pas être aimé, d’être abandonné…

Ces peurs font souvent échos à nos blessures de l’âme et à nos croyances.

 

Quand la peur atteint son paroxysme, on peut voir des phobies tentaculaires terrasser littéralement une personne ! C’est la panique du patient qui doit passer une IRM mais qui s’enfuit à toutes jambes à cause de sa claustrophobie. C’est la phobie scolaire qui se développe à cause de la maltraitance et du harcèlement qu’un enfant peut subir à l’école. Ou encore la phobie suite à un accident, un traumatisme violent.

Au final, on touche souvent à la peur de mourir ou de ne pas être aimé, de ne pas exister et de ne pas pouvoir être libre et soi-même.

Soit vous avez peur d’affirmer qui vous êtes et d’être rejeté, d’enfreindre certaines règles et fidélités familiales, certaines normes sociales. Ou l’avenir qui s’annonce vous tétanise et vous vous sentez dépassé par son lot d’événements inconnus et le fait de ne pas tout contrôler…

Soit vous ne savez plus qui vous êtes car la vie a fait que vous vous êtes complètement éloigné de vous-même. Dans ce cas, vous avez peur de vous rencontrer au cœur de vous-même, vous savez ? Là où vous avez cette sensation de vide immense dans la poitrine, dans votre ventre…

Ce vide que vous cherchez à remplir compulsivement par des achats, des activités toujours plus intenses pour vous sentir vivant artificiellement, ou encore du bruit, de l’effervescence, un tourbillon de stimulis toujours extérieurs…

Si vous vous reconnaissez, je suis désolée de vous dire qu’il est temps d’affronter vos démons pour vous reconnecter à vous-même et par là même trouver la paix intérieure.

Car quand on n’est plus au centre… on se perd de vue, on ne sait plus s’écouter et c’est le mental, nos croyances, la volonté des autres et la peur qui guident nos actes au final.

 

4- Ce que vous changerez à l’intérieur se verra à l’extérieur

 

Quel que soit le contexte, quand on aspire à revivre, à un renouveau dans notre vie, il faut toujours que le changement vienne de l’intérieur pour qu’il soit durable à l’extérieur.

Car nos croyances déterminent la façon dont nous vivons les événements qui se présentent ainsi que ce que nous en ferons par la suite. Si vous libérez vos émotions liées à votre vécu, libérez vos traumatismes et que vous changez vos croyances, alors votre vie changera.

 

 

En s’affranchissant de toutes ces chaines et carcans, on peut enfin se réaliser dans la vie !

C’est en se libérant de ses blessures, de ses peurs et de ses croyances qu’on retrouve sa liberté ainsi que son pouvoir personnel, une véritable renaissance et qu’on est pleinement heureux !

Car notre pouvoir personnel c’est notre puissance sur les choses, notre capacité à décider pour nous, de ce qui est bon pour nous, de ce que nous voulons.

Il conditionne notre énergie vitale, notre capacité à poursuivre nos rêves et à satisfaire nos besoins !

Quant à notre liberté intérieure fièrement gagnée, elle se verra à l’extérieur dans tous nos actes.

Ainsi, votre pouvoir personnel est lié à votre vécu. Et si la vie de chacun est jalonnée de difficultés et d’épreuves, certains sont néanmoins plus touchés que d’autres. Mais il est toujours possible de transcender les schémas destructeurs et les traumatismes, s’il y a au fond de soi une volonté farouche de s’en sortir. C’est d’ailleurs la première condition pour aller mieux : regarder objectivement les choses et arrêter de se mentir. Cela n’est pas facile bien sûr, et demande du courage, de la détermination et de se faire aider. Car il faudra d’abord traverser nos tourments et se confronter à nos ombres intérieures afin de les libérer pour enfin revenir vers la lumière et la liberté d’être Soi. Mais quelle belle renaissance s’offre alors !

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Comment trouver le bonheur ?

Comment trouver le bonheur ?

Mary Mann

Un bonheur intelligent et altruiste bien sûr

Comment être heureux ? C’est la question que tout le monde se pose… Le bonheur est la denrée la plus convoitée dans notre société. Mais force est de constater que nous ne sommes pas tous égaux face au même vécu. Quand certains sont d’irréductibles optimistes, d’autres sombrent dans la déprime au moindre coup du sort… Serions-nous les seuls responsables quant à notre félicité ? Cet état mystérieux pourrait-il être apprivoisé ? Faut-il le bonheur à tout prix ? L’injonction au bonheur ne serait-il pas une nouvelle dictature nous menant tout droit vers le malheur et l’individualisme ?

De quoi est fait le bonheur ?

 

Apparemment, c’est comme une recette de cuisine. Prenez :

  • 50 % de génétique
  • 40 % de perception
  • 10 % de circonstances de vie

Et vous savez de quoi le bonheur est constitué.

 

Oui, mais est-ce immuable ?

Quand on lit que 50 % de notre capacité à être heureux dépend de notre héritage familial biologique, on aurait tendance à croire qu’il s’agirait uniquement d’un jeu de « pile ou face ».

Ce leg transgénérationnel est l’ensemble des conditionnements et des habitudes dans lesquels nous avons baigné en grandissant.

Ce que nous avons hérité de nos parents et de nos ancêtres avant eux : leur vécu traumatique transmis…

Ce fameux héritage qui s’apparente souvent à une course de patate chaude inconsciente, un relais sans fin dont nous sommes l’aboutissement.

Or bonne nouvelle : tout héritage n’est pas figé dans le marbre. On peut le travailler et s’en libérer !

 

Parlons des 40% de perception maintenant.

Ils désignent notre capacité d’interprétation à propos d’une chose qui nous arrive.

En fait, notre état d’esprit est bien plus important que la situation réelle (qui ne compte qu’à hauteur de 10%).

Que faisons-nous d’un événement ? Nous effondrons-nous au moindre obstacle ? Ou faisons-nous comme l’enfant Obama balancé dans un puits et qui remonte en éclatant de rire au visage des enfants qui l’y ont poussé ? Voyons-nous le verre à moitié vide ou à moitié plein ?

Là encore, tout est une question d’état d’esprit et de croyances qui découlent directement des premiers 50 % et de l’ambiance familiale.

Deuxième bonne nouvelle : on peut aussi changer ce paramètre !

 

Et enfin, seuls 10 % dépendent de l’extérieur (aspect physique, météo…). Certains mettent aussi dans ces 10 %, la quantité d’argent disponible.

Or nos croyances auto-limitantes face à l’argent et provenant de nos origines, sont aussi un sujet passionnant à éliminer et que j’aborde dans mon atelier relation à l’argent !

 

Comment cultiver le bonheur ?

 

Il y a autant de visions que d’êtres sur Terre.

Chacun y mettra ses propres aspirations, son filtre culturel…

Mais cependant, nous pouvons essayer de dégager les grandes lignes universelles de ce que chacun peut faire individuellement pour tendre vers le bonheur.

 

Voici 10 conseils pour aller vers le bonheur :

 

1°/ Il est important de ne pas vouloir contrôler la Vie. Car il est impossible de tout maîtriser. A un moment donné, si la vie vous emmène vers autre chose et que vous freinez des quatre fers, faites taire votre peur et écoutez ce que la vie a envie d’exprimer à travers vous ! Plus tôt vous atteindrez un certain lâcher-prise quant aux événements qui surviennent, et plus tôt vous goûterez à une certaine sérénité et épargnerez votre énergie. Pratiquez l’Aïkido existentiel au lieu de faire constamment du Karaté !

2°/ En vivant en cohérence avec soi et en prenant conscience de ce qui est essentiel dans notre existence. En déployant notre Etre profond, au-delà des conditionnements sociaux-culturels reçus. Car si on n’est pas responsable de tout ce qui nous arrive, on est responsable de ce qu’on en fait !

3°/ En faisant un travail de recherche intérieure pour se connaitre. Afin d’apprendre quels sont nos qualités, nos talents, nos forces afin de s’estimer et de mieux choisir ce que nous voulons mettre dans notre vie pour se respecter.

4°/ En se réconciliant avec SOI et notre vécu. En ayant déjà une intention sincère d’apaisement en SOI, pour SOI et donc en réparant nos blessures. Nous commenceront à goûter le moment présent avec de plus en plus de sérénité et de joie.

5°/ En étant attentif un maximum au PRESENT, vivre en conscience. En effet, être plus attentif et présent à ce qu’on fait rend heureux (notre cerveau va alors sécréter de la dopamine et de la sérotonine qui sont des anti-dépresseurs naturels). Découvrez d’ailleurs mon super cursus en ligne pour développer la pleine conscience.

 

 

 

6°/ Le fait d’arrêter de JUGER les autres vous fera un bien fou ! Vous arrêterez ainsi de vous comparer en mieux ou en moins bien. Vous développerez l’acceptation et la tolérance avec un grand A.

7°/ En étant généreux. En étant tourné vers l’autre. Des études ont prouvé que les gens généreux sont plus heureux que les autres. Le bonheur des autres est contagieux et s’il est le fruit de notre action, cela donne du sens à notre vie. Et si en plus nous participons à améliorer le monde, que demander de plus ?

8°/ En arrêtant de vouloir changer les autres. Je le dis souvent à mes clients : on ne peut pas aider quelqu’un qui ne le veut pas ! Soit vous décidez de changer vous-même pour l’accepter (dans la mesure où cela est sans danger pour vous), soit vous ne fréquentez plus les gens qui vous posent problème.

9°/ En ne cherchant pas le bonheur à tout prix ! Car « la souffrance est la différence entre ce qui est et ce que j’aimerais qui soit ». Mais comme le dit Spinoza, chaque être vivant persévère et fait un effort pour grandir durant toute sa vie. Il a naturellement envie de s’élever et de transcender sa condition vers plus de joie et de bonheur afin que ceux-ci occupent le plus de place possible.

Cela est louable. Et cela demande bien sûr un travail sur soi pour aller vers la paix intérieure. Cependant, attention à ne pas voir le bonheur comme un Graal absolu ! Cela amène à rechercher cet état avec trop de mental et en dehors de soi. Or, il faut avant tout se reconnecter à nos ressentis et à notre corps pour le trouver.

10°/ En comprenant que le bonheur ne signifie pas être dans la joie tout le temps.
Dans le dessin animé Vice Versa, la Joie se rend bien compte finalement qu’elle ne peut pas toujours être aux commandes et qu’elle ne peut exister sans la tristesse et les autres émotions « négatives ». Que chaque émotion est utile selon les situations et coexiste en nous.

En définitive, la notion de bonheur existe car son opposé existe. Comme dans les contes pour enfants, c’est parce qu’il y a un « méchant » que nous pouvons définir ce qu’est un « gentil ». Il est donc normal et souhaitable de ressentir les émotions dites « négatives ». C’est ce qui fait que nous sommes vivants et pouvons interagir socialement en fonction des émotions des autres, et pas tel un imbécile heureux ayant toujours le sourire aux lèvres.

 

Le bonheur ne peut-il être que le fruit de nos efforts individualistes ?

 

Il faut bien l’admettre, le temps où l’individu avait une vie sociale plus simple, saine, authentique et intégrée au sein d’une communauté est révolu.

Nos nouveaux modes de vie, couplés aux nombreux mouvements de population, convergent vers plus d’isolement et d’individualité. Les nouvelles technologies n’arrangent rien…

Ce terreau s’est révélé du pain béni pour la psychologie positive qui a réduit la notion de bonheur à portion congrue.

Elle a fini par enfermer la notion de bonheur principalement à l’individu. Le rendant seul responsable de son bonheur.

Elle a inculqué que pour atteindre le bonheur, chacun devait avant tout travailler sur lui-même, faire du développement personnel à tout va, pour mieux se connaître et mieux se « corriger ». Que le bonheur ne tenait qu’à soi.

C’est devenu une injonction sociétale : il FAUT être heureux bêtement et à tout prix chacun dans son coin. Au point d’être une quête angoissante !

Céder à la frénésie de lectures traitant de la question, aller voir des coachs, et écouter des gourous du bonheur, est-il le seul moyen d’échapper au malheur ?

Mais qu’en est-il de l’action collective face au monde et à ses dérives ?

Le bonheur ne reposerait-il plus sur une tentative de changer ensemble le monde ? Mais sur une quête permanente de se changer soi ?

Va-t-on tous devenir des îlots tout sourire sans cohésion, tels des lentilles flottant à la dérive dans une soupe indigeste ?

C’est la crainte de la sociologue Eva Illouz et du psychologue Edgar Cabanas dans leur ouvrage Happycratie.

Ils indiquent qu’il a fallu à peine plus d’une décennie pour nous convaincre que la valeur centrale de notre vie se résumait à « ce sentiment teinté d’individualisme et de consumérisme vorace » : Le bonheur.

Selon eux, cette approche du bonheur nous maintiendrait en réalité dans une forme de servitude apaisante et volontaire, renonçant à remettre en cause le capitalisme et à lutter contre ses méfaits… Pour mieux nous consoler de notre impuissance et tout accepter.

« Un cocon de plénitude dans un monde mauvais, ou la dissolution de la lutte dans la perspective du bonheur individuel. »

Or, malgré cette tyrannie du bonheur individualiste, force est de constater que des voix s’élèvent pour changer concrètement des choses à leur échelle et transformer le monde.

Combien de reconversions professionnelles en maraîchage biologique ? Combien de projets écologiques et locaux pour repenser l’industrie de demain ?

Hopaal, Respire, Friendly frenchy, Le jouet Français…

Bien d’autres projets positifs sont relatés dans le livre « Un million de révolutions tranquilles ».

Et si justement, parmi de nombreux accros au bonheur, étaient ces gens qui refusent de renoncer, ne ferment pas les yeux et se mettent à penser, créer, inventer de nouvelles façons de faire et cultivent l’optimisme avant tout ?

Ces gens positifs qui cherchent à donner un sens à leur vie, tout en essayant de redonner du sens à cette société qui en est dépourvue ?

A l’image de Joanna Quelen.

Quand Joanna Quelen a proposé son sujet de TEDx sur le bonheur, les organisateurs lui ont demandé « Pourquoi ce choix » ?

Après quelques instants de réflexion, elle a spontanément répondu : « Parce que la Mort ! »

Ainsi, dans cette présentation intimiste, Joanna nous parle de son parcours vers le bonheur, de sa prise de conscience existentielle.

Un cheminement qui l’a amenée à œuvrer pour le bonheur des autres.

Etre heureux ne se résume à pas se forcer à être bêtement positif ni à devenir aveugle aux horreurs du monde dans une sorte d’autisme sélectif. Le sentiment de bonheur relève à la fois de notre sphère personnelle mais aussi collective. Qu’il le veuille ou non, l’individu est relié au monde. Il vous appartient donc de prendre conscience de vos propres conditionnements au malheur et de vous en libérer. Tout comme il vous appartient de vous engager dans des projets altruistes qui ont du sens à vos yeux et vous permettent d’apporter votre pierre à l’édifice d’un monde meilleur.

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

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Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Mary Mann : La thérapie autrement !

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