Pourquoi les affirmations positives ne marchent pas ?

Pourquoi les affirmations positives ne marchent pas ?

Mary Mann

Quelle perte de temps !

Les affirmations positives, la méthode Coué ont toujours la cote. Enfin… Elles se sont fait damer le pion par la loi d’attraction. Mais avec toujours aussi peu d’efficacité. Et si je vous disais qu’il y a bien plus efficace et qui demande moins d’effort ?!

Faut pas croire tout ce qu’on vous dit…

Beaucoup de gens ont recours à ça :

 

Les affirmations positives

 
 

Et le problème c’est que ça ne marche pas.

Pire ! Pendant ce temps : rien n’avance, rien ne change, voire leur mal-être s’aggrave !

Ils sont assaillis de pensées négatives et se bombardent de pensées positives en croyant ainsi terrasser le négatif.

Comme si on effaçait une gravure d’un revers de la main par la seule volonté…

Quand on agit ainsi, on fait appel au mental.

Hélas, ce n’est pas le mental qui commande.

Non
C’est votre IN-CON-SCIENT.

 

Je ne sais plus exactement les chiffres, mais nous avons entre 70 000 et 90 000 pensées par jour.

90% environ sont les mêmes que la veille.
Et la GRANDE majorité de ces pensées sont INCONSCIENTES.

Oui

ALORS POURQUOI avoir recours à cette méthode de la pensée positive ou encore mettre un couvercle sur ce qui ne va pas ?!?

 
Pour quelle raison se dissocier de nos souffrances est-il le mode par défaut de la plupart d’entre nous ?
 

Pourquoi différer un travail thérapeutique, nier nos problèmes est la première réaction au lieu de s’y attaquer ?

Que ce soit au boulot, en amour, avec nos proches…

Je vous explique dans 1 minute car un flash subliminal vient de passer dans mon esprit.

Ca me fait penser à un sketch de Dany Boon.
Vous savez, celui sur la méthode Coué : Le déprimé. 🙂

Je le revois sautiller sur scène tel un pantin désarticulé :

« Je vais bien, tout va bien… Je suis gai, tout me plaît…
Je ne vois pas pourquoi, pourquoi ça n’irait pas ! » 

LOL

Bref,

Pourquoi est-ce si naturel de se tourner d’abord vers du positif quand on a un problème et qu’on souffre ?

Car à part si on est maso, on veut tous éviter de souffrir.
Parce que personne n’aime être impuissant et qu’il veut tenter quelque chose,
quelque chose qui soit le moins douloureux possible et dans lequel il fonde tous ses espoirs…

Jusqu’à quand ?

Jusqu’à se rendre compte que tous nos efforts pour éviter notre souffrance ne servent à RIEN.
Que les années passent et que rien ne change.
Voire que le mal-être EMPIRE !

Mais que c’est long… Pfff ! Anne, ma Soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?

 

Un week-end, durant un stage de développement personnel, j’ai rencontré Laura.

A l’heure du déjeuner, un gratin dauphinois et sa bonne odeur caramélisée… Hummm.

Laura est assise en face de moi.
Au cours de la discussion, elle partage sa « routine matinale » : sport, médiation et affirmations positives.

Je lui dis : « OK ! C’est sûr que c’est mieux que de se droguer » 
Lol
Puis je lui demande : « Et pourquoi fais-tu des affirmations positives ? »

Elle : « Parce que à cause de mon enfance, j’ai beaucoup de pensées et de croyances négatives… »

Et je demande encore : « Et qu’est-ce que tu te dis pendant tes affirmations ? »

Elle répond : « Ca dépend de l’humeur de la journée, je cherche sur youtube… »

Je fais une moue, je poursuis :  « Mais tu sais, si tu changes ce qui cause tes pensées négatives et si tu changes tes croyances négatives, tu n’en auras plus. »

– Silence –

Je rajoute : « Tu dépenses une énergie monstre à vouloir lutter contre tes ombres et tes souffrances.
Il vaut mieux aller voir, libérer, rééquilibrer ce qui te fait penser négativement
Et voilà »
.

Elle fait une moue, avale une bouchée du délicieux gratin dauphinois. Puis me répond :
« Je respecte tes croyances (oO), et peut-être que j’évoluerai sur la question. »

Puis le repas se termine et nous reprenons l’enseignement. On parle d’abord de tout et de rien…

Au bout de quelques minutes. Quelqu’un parmi les participants aborde le sujet de la loi d’attraction et des affirmations. Est-ce que ça marche ?

L’enseignant glousse avant de répondre.

Je jette un rapide coup d’œil à Laura, qui me regarde à son tour. Elle a un petit sourire.

« La Loi d’attraction, ça ne marche pas. Ca marche juste pour ceux qui l’enseigne – LOL. C’est du business.
Et pour les pensées positives…
Si on fait un effort pour penser positif, c’est forcément qu’on est dans une dualité avec du négatif.
On la nourrit en résistant.
Si tu travailles tes traumatismes, tes croyances, il n’y a plus de raison que tu penses négatif.
Tu auras une pensée neutre, voire positive ET sans effort. »

Et BIM ! – Fin de la discussion

Un petit coup d’œil complice à Laura, un haussement de sourcils.

Elle éclate de rire.

Laura a compris que cette synchronicité était pour elle. Et je savais qu’elle avait suffisamment d’ouverture intellectuelle pour remettre en cause son attitude « autruche » et ses pratiques.

Et vous ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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  • Mudra-thérapie : 1ère professeur et mudra-thérapeute en France, certifiée Sabrina Mesko, d'après l'enseignement de Yogi Bhajan - Art énergétique millénaire de bien-être et de développement personnel
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Connaitre ses vies antérieures

Connaitre ses vies antérieures

Mary Mann

Et se libérer du passé

Quelle utilité de connaitre ses vies antérieures ? Et d’ailleurs, avons-nous eu plusieurs vies ? Toutes les religions en parlent. Certaines personnes en sont persuadées, d’autres n’y croient pas du tout. Mais quel est l’intérêt d’aller explorer ces vies antérieures ? S’agit-il simplement de tourisme temporel afin de satisfaire une curiosité ? Ou bien est-ce un outil thérapeutique et d’évolution spectaculaire ? Et comment libérer ces traumatismes d’un autre temps ?

C’était lors d’une séance thérapeutique avec la méthode PEAT. Par skype.

Louane était assise tranquillement devant son ordinateur.

Elle avait eu recours à mes services car elle souffrait du syndrome de la victime, d’être persécutée, rejetée.

C’était plus fort qu’elle. Sa vie lui rejouait toujours le même scénario.

Nous avons donc effectué un travail grâce à la méthode PEAT.

La séance démarre. Je déroule le process mais… Soudain au bout de quelques minutes, elle s’agite et le contenu de son discours change :

« Du poison… Ils veulent me tuer !»…, Elle se sent mal, son souffle est court

 Des images fugaces d’un château… Elle se met à tousser et s’agite encore plus.

La charge émotionnelle passe… Puis un autre contenu apparaît, plus fort encore.

Elle étouffe. Sa respiration s’accélère. Elle sent des gens sur elle, partout, elle est comprimée. 

« Du gaz !» s’écrit-elle, « Je vais mourir ! ».

Cela m’a tout l’air d’être comme dans un camp de concentration…
La séance est d’une intensité extraordinaire mais tout se déroule bien et elle se termine avec une belle libération. Louane est épuisée.

Quelques jours après la séance, Louane m’avoua avoir toujours souffert d’une impression d’envahissement physique irrationnelle et que cette sensation avait pris fin depuis la séance PEAT, pour son plus grand soulagement.

Il était clair que la problématique de Louane avait des racines profondes dans d’autres sphères temporelles…
C’était pourtant une séance banale de PEAT.

Mais comme me l’a dit mon formateur, cela arrive parfois… Des contenus de vies antérieures qui résonnent avec une problématique actuelle, surgissent de temps en temps.

Fascinée par le sujet, j’ai donc voulu me former à une méthode spécifique pour connaître les vies antérieures et permettre leur libération.

Car si quelques personnes sont conscientes de certaines de leurs vies antérieures (soir par rêve, soit par vision en état modifié de conscience, soit enfin par des émotions fortes et une conviction profonde), et arrivent dans mon cabinet pour effectuer ce travail particulier. D’autres n’en ont pas conscience. Néanmoins, un besoin peut surgir soudain au détour d’une thérapie…

Il est donc important de pouvoir travailler cela précisément afin de nettoyer ce qui les perturbe encore.

Je vais vous raconter 2 cas rencontrés en séance de régression et libération de vie antérieure.

Ils illustrent parfaitement l’influence qu’une vie passée peut avoir sur le présent, ainsi que les bénéfices d’une libération.

 

 

Deux cas de régression et libération de vie antérieure

Une vie brisée

Anne-Laure souffrait d’une peur constante que son conjoint meurt. Son angoisse était inexplicable.

Son conjoint se portait bien ! Et elle n’avait aucun trauma en lien avec ce schéma dans sa vie actuelle. C’était irrationnel.

Nous partons donc de sa peur viscérale de perdre son conjoint aujourd’hui.
La séance est forte, prometteuse.

Elle est une jeune paysanne et mène une existence campagnarde plutôt heureuse.

Soudain, une fête de village, une rixe qui tourne mal, un fiancé à terre et sans vie…

Elle devient une jeune femme brisée qui ne se remariera jamais et vivra à l’écart pour le restant de ses jours…

A la libération de toutes les charges émotionnelles revécues, s’est ajoutée la plus belle : la compréhension et l’intégration que les temps ont changé.

Cela lui était arrivé à une époque où il fallait porter le deuil longtemps, où il y avait une pression religieuse et sociétale. Et elle avait été incapable de refaire sa vie.

Mais l’éventuel décès de son amoureux ne signifierait en aucun cas la fin de sa vie à Elle aujourd’hui.

Elle aurait droit au bonheur quand même et pourrait continuer à vivre. Elle le ressentait clairement.

Elle acceptait enfin cette éventualité existentielle. Et elle était enfin soulagée de ce poids et libérée de cette crainte dans sa vie actuelle.

 

Une douloureuse séparation

Sylvie souffrait d’un déchirement inexplicable quand elle était confrontée à l’idée qu’une mère soit séparée de son enfant.

Elle était maman, ses enfants étaient grands et avaient toujours vécu avec elle.

Mais que ce soit une scène dans un film, un agneau dans un champ qu’on séparait de sa mère, elle s’effondrait en larmes et son cœur était brisé.

Elle ne comprenait pas pourquoi elle réagissait aussi fort.

Nous partons donc de cette problématique actuelle. Sylvie est très vite plongée à l’époque de la 1ère guerre mondiale dans un pays de l’Est.
Sa mère, couturière pour confectionner des parachutes, meurt dans un bombardement alors qu’elles fuient dans la rue.

Sylvie se retrouve orpheline brutalement et est exilée loin de sa ville natale, seule et perdue. Elle aura ensuite une existence solitaire et se dévouera à son métier d’enseignante.

Suite à cette régression, Sylvie est revenue de sa vie antérieure en faisant la paix avec sa souffrance.

Les charges émotionnelles ont été libérées et soldées à son grand soulagement.

Elle a aussi compris pourquoi elle s’était sentie bizarrement abandonnée par sa mère dans sa vie présente, sans que cela soit justifié, mais également d’où venait son appréhension quand elle entendait des petits avions voler assez fort…

 

Ainsi, vous avez pu comprendre que se libérer d’une vie antérieure a plusieurs intérêts. En plus d’une compréhension de soi et d’une exploration temporelle étonnante, cela vous permet de faire la paix avec un passé révolu qui peut vous poser encore problème actuellement. Il s’agit souvent d’un travail fort en émotions et libérateur, vous permettant ensuite de vivre plus léger et au présent, de même que de faire des choix nouveaux et salutaires.

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

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Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Comment retrouver son pouvoir personnel ?

Comment retrouver son pouvoir personnel ?

Mary Mann

Et devenir fort et libre

Il est parfois difficile d’avancer dans la vie car notre pouvoir personnel est affaibli par les épreuves que nous traversons. Notre vécu et les traumatismes subis nous privent petit à petit de nos forces. Nous baissons alors les bras et l’audace déserte notre chemin, nous poussant à mener une vie décevante dans laquelle nous ne nous reconnaissons pas. Il est pourtant possible de relever la tête et retrouver son pouvoir personnel afin de transformer sa vie. Mais comment ? Et qu’entend-on exactement par pouvoir personnel ? Voici mes clés.

Notre pouvoir personnel reflète notre puissance de vie et d’action. Il est directement relié à la notion de complétude, d’unité. Cela fait appel à des notions chamaniques : à notre naissance, nous sommes « complets » et notre potentiel est fort. C’est un peu comme si notre âme était un miroir auquel il ne manque aucun morceau.

Or, au fil des épreuves, ce miroir prend des coups et perd des fragments, affectant directement notre force et notre étincelle de vie. A cela s’ajoutent les croyances limitantes inculquées par notre famille, sur notre valeur personnelle et nos capacités…

Tout ceci façonne des peurs et une fausse vision de nous-même et du monde… Notre pouvoir personnel diminue.

Et petit à petit, nous devenons l’ombre de nous-mêmes, traversant la vie tels des fantômes tristes, ne sachant plus qui nous sommes et ne pouvant plus agir pour le mieux.

Ainsi, pour retrouver notre unité, et retrouver notre force et notre identité, il faut d’abord :

  • soigner nos blessures émotionnelles et traumatismes,
  • changer nos croyances limitantes,
  • vaincre nos peurs 

Nous recontacterons alors notre pouvoir personnel et pourrons rayonner. Nous serons plus forts, heureux, alignés et pourrons nous construire une vie qui est cohérente avec nous-mêmes.

 

1-Guérir ses blessures de l’âme

Vous avez peut-être entendu parler des 5 blessures de l’âme développées par Lise Bourbeau ? (le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice). Nous avons tous plusieurs de ces blessures (2 ou 3), mais selon notre vécu et notre personnalité, elles ont laissé des bleus à notre âme plus ou moins importants. Cela conditionne notre image de nous-même et notre relation aux autres.

Quand j’accompagne en thérapie des clients blessés par la vie, je vois clairement un AVANT et un APRES.

Pour les plus abîmés par la vie, au début, ils arrivent tels des enveloppes vides. Ils sont profondément tristes et quand certains cachent leur état sous un masque jovial et sociable, d’autres ressemblent à des lanternes soufflées par la brise. Il manque l’étincelle.

Parfois, l’Ego a pris toute la place et le mental turbine à plein régime pour empêcher toute connexion à l’enfant intérieur meurtri. Ils ne savent plus qui ils sont véritablement et n’ont plus vraiment de plaisir dans la vie.

Ils ont beaucoup de mal à être en présence d’eux-mêmes dans le silence, à être seuls.

Car entendre l’âme qui tenterait de s’exprimer alors est une souffrance. Ils mettent toujours un bruit de fond, TV, radio ou cherchent compulsivement de la compagnie… Voire ils comptent en permanence tout un tas de trucs inutiles (les marches, nombre de pas) juste pour occuper leur cerveau et détourner leur attention de l’enfant intérieur en souffrance !

D’autres clients cherchent frénétiquement à remplir leur vide intérieur par un flot d’activités ou de possessions.

Mais dans tous les cas, souvent ils ne sont pas capables de dire « je m’aime ». Cela les fait souvent fondre en larmes.

Comment vivre ainsi quand on sait qu’il est important de s’aimer pour avancer et être heureux dans la vie ? Pour se déployer dans la vie ?

Il est essentiel de réparer les blessures vécues, puis de recoller les morceaux qui sont partis à cause des épreuves et des dénigrements familiaux parfois dès la petite enfance.

Quand l’individu est prêt, les morceaux du miroir brisé peuvent revenir parfois spontanément à lui.

Mais le plus souvent, la force d’un intervenant extérieur est nécessaire. C’est là qu’un soin chamanique est pertinent. A cette occasion, le chaman, aidé de ses fidèles esprits alliés, va chercher les bouts d’âme égarés et meurtris. Il arrive que ces fragments d’âme soient dans des dimensions parallèles… Ils peuvent être perdus, apeurés, à bout de force. La beauté du travail du chaman consiste à les trouver, les nettoyer, réinsuffler la vie en eux si nécessaire et à les ramener enfin à leur propriétaire.

En guise d’exemples, il m’est déjà arrivé de retrouver soudain une petite fille pure dansant dans la neige et de ré-insuffler cet être pur à sa propriétaire… Ou encore d’aller chercher un bout d’âme enchaîné dans un monde ténébreux plein d’éclairs puis de le délivrer, de le nettoyer et de le ramener.

Outre l’individu, sa lignée aussi peut avoir besoin d’une guérison.

J’ai déjà eu à nettoyer des mémoires transgénérationnelles d’abandon, nettoyer des empreintes de magie noire, libérer l’âme d’une esclave afin qu’elle puisse enfin monter dans la lumière… Tout est possible ! L’histoire de chacun est si riche et différente !

Sachez que les mémoires transgénérationnelles peuvent aussi être abordées différemment grâce à un travail de libération transgénérationnelle où le client est acteur du soin.

2-Changer ses croyances limitantes

Photo by Jeanne Menj

Nos croyances limitantes viennent souvent de très loin. On peut aussi les appeler croyances fondamentales car elles sont si fortes qu’elles influencent directement nos pensées et nos émotions, façonnant ainsi notre vision du monde et de nous-même. C’est notre vécu qui les détermine.

Prenez par exemple ceux qui ont une piètre estime d’eux-mêmes. Ils aurons beau changer de coiffure, de garde-robe, perdre 5 kilos, acheter une plus grosse voiture ou une Rolex, quand leur propre estime ne tient qu’à des éléments extérieurs, le bien-être retiré ne durera pas et il leur en faudra toujours plus ! Pire encore, si un jour tout s’effondre, que restera-t-il de cette « valeur » ?

Il en va de même dans d’autre domaines : comment mener à bien des projets audacieux, une reconversion professionnelle, se lancer dans l’entrepreneuriat, quand durant toute son enfance on s’est entendu dire « tu es nul, tu ne feras jamais rien de bien dans la vie, etc. » ?

Imaginez que vous ayez souffert de la blessure de l’âme d’abandon, et que vous pensiez inconsciemment « On me laisse toujours tomber ». Comment voulez-vous vivre votre vie amoureuse de manière sereine alors que vous attendrez de votre partenaire qu’il comble le trou béant laissé par cette blessure d’abandon dans votre cœur, jusqu’au jour où, votre partenaire épuisé s’en ira ?

Par cet acte, il viendra donc confirmer votre croyance auto-réalisatrice d’abandon. Et si vous ne vous libérez pas de ce schéma, il y a fort à parier que vous ferez de même avec votre prochain partenaire !

Comment être heureux alors et construire une vie satisfaisante et harmonieuse quand on n’est pas soi-même structuré et équilibré, libre de ses conditionnements destructeurs ?

Autre exemple, vous êtes-vous déjà relooké(e) de la tête aux pieds, avec la ferme intention de laisser le passé derrière vous ? De changer de peau ? Vous vous sentez bien pendant un temps et puis… vos vieux démons reviennent au galop.

La petite voix d’auto sabotage (le Juge) qui vous a pourri la vie revient telle un petit démon « t’es trop gros(se), t’es moche etc. ». C’est comme dans l’ancienne pub de la vache qui rit : « Trop ceci, trop cela, trop typé, trop gros ! Non mais ça va pas la tête ?!… ». Et ça ne va toujours pas !

 

Un nouveau look pour une nouvelle vie, vraiment ?

C’était le titre prometteur d’une émission bien connue ! Cette promesse peut se révéler vraie pour des personnes qui ont juste un souci pour marier les couleurs ou pour qui s’habiller est juste ne pas être tout nu. Cependant, il n’en va pas de même pour les personnes en surpoids ou qui se sont senties dévalorisées toute leur vie.

Bien souvent, un relooking seul ne sera pas suffisant pour aller vers une nouvelle vie !

Imaginez que vous ayez subi des brimades toute votre enfance et que dans votre glace, malgré votre Relooking, vous ayez inconsciemment ces remarques négatives à l’esprit ! Comme elles ont façonné l’image que vous avez de vous-même, ce n’est pas le reflet du miroir que vous verrez mais bien une image déformée : c’est comme les anorexiques qui se voient toujours trop gros.

Comme le disent beaucoup de relooker : « le Relooking peut faire émerger des blessures de l’âme et être l’occasion d’un travail sur soi salutaire ». En effet, il est important de lustrer les deux faces d’une même pièce pour qu’elle brille !

Sinon c’est comme mettre du lino sur un parquet vermoulu ! Ça fait meilleure impression, mais fondamentalement rien n’a changé et le sol est toujours aussi abîmé et fragile en-dessous !

 

3- Vaincre ses peurs

La peur est une émotion très puissante. Sentez combien votre corps se rétracte quand vous ressentez la peur. Rien n’est possible ou alors dans la souffrance. Le plus important est de comprendre qu’il est normal d’avoir peur dans une certaine mesure, or ce qui ne l’est pas, c’est qu’elle dirige votre vie !

Il y a la peur d’une situation nouvelle, légère, le trac du débutant.

Et il y a l’autre peur, celle qui est chronique. Celle qui paralyse et rend malade, celle qui nous fait renoncer à nos rêves. Le ventre noué, les mains moites, les nausées…

La peur des autres, de mal faire, d’être rejeté, de ne pas être aimé, d’être abandonné…

Ces peurs font souvent échos à nos blessures de l’âme et à nos croyances.

 

Quand la peur atteint son paroxysme, on peut voir des phobies tentaculaires terrasser littéralement une personne ! C’est la panique du patient qui doit passer une IRM mais qui s’enfuit à toutes jambes à cause de sa claustrophobie. C’est la phobie scolaire qui se développe à cause de la maltraitance et du harcèlement qu’un enfant peut subir à l’école. Ou encore la phobie suite à un accident, un traumatisme violent.

Au final, on touche souvent à la peur de mourir ou de ne pas être aimé, de ne pas exister et de ne pas pouvoir être libre et soi-même.

Soit vous avez peur d’affirmer qui vous êtes et d’être rejeté, d’enfreindre certaines règles et fidélités familiales, certaines normes sociales. Ou l’avenir qui s’annonce vous tétanise et vous vous sentez dépassé par son lot d’événements inconnus et le fait de ne pas tout contrôler…

Soit vous ne savez plus qui vous êtes car la vie a fait que vous vous êtes complètement éloigné de vous-même. Dans ce cas, vous avez peur de vous rencontrer au cœur de vous-même, vous savez ? Là où vous avez cette sensation de vide immense dans la poitrine, dans votre ventre…

Ce vide que vous cherchez à remplir compulsivement par des achats, des activités toujours plus intenses pour vous sentir vivant artificiellement, ou encore du bruit, de l’effervescence, un tourbillon de stimulis toujours extérieurs…

Si vous vous reconnaissez, je suis désolée de vous dire qu’il est temps d’affronter vos démons pour vous reconnecter à vous-même et par là même trouver la paix intérieure.

Car quand on n’est plus au centre… on se perd de vue, on ne sait plus s’écouter et c’est le mental, nos croyances, la volonté des autres et la peur qui guident nos actes au final.

 

4- Ce que vous changerez à l’intérieur se verra à l’extérieur

 

Quel que soit le contexte, quand on aspire à revivre, à un renouveau dans notre vie, il faut toujours que le changement vienne de l’intérieur pour qu’il soit durable à l’extérieur.

Car nos croyances déterminent la façon dont nous vivons les événements qui se présentent ainsi que ce que nous en ferons par la suite. Si vous libérez vos émotions liées à votre vécu, libérez vos traumatismes et que vous changez vos croyances, alors votre vie changera.

 

 

En s’affranchissant de toutes ces chaines et carcans, on peut enfin se réaliser dans la vie !

C’est en se libérant de ses blessures, de ses peurs et de ses croyances qu’on retrouve sa liberté ainsi que son pouvoir personnel, une véritable renaissance et qu’on est pleinement heureux !

Car notre pouvoir personnel c’est notre puissance sur les choses, notre capacité à décider pour nous, de ce qui est bon pour nous, de ce que nous voulons.

Il conditionne notre énergie vitale, notre capacité à poursuivre nos rêves et à satisfaire nos besoins !

Quant à notre liberté intérieure fièrement gagnée, elle se verra à l’extérieur dans tous nos actes.

Ainsi, votre pouvoir personnel est lié à votre vécu. Et si la vie de chacun est jalonnée de difficultés et d’épreuves, certains sont néanmoins plus touchés que d’autres. Mais il est toujours possible de transcender les schémas destructeurs et les traumatismes, s’il y a au fond de soi une volonté farouche de s’en sortir. C’est d’ailleurs la première condition pour aller mieux : regarder objectivement les choses et arrêter de se mentir. Cela n’est pas facile bien sûr, et demande du courage, de la détermination et de se faire aider. Car il faudra d’abord traverser nos tourments et se confronter à nos ombres intérieures afin de les libérer pour enfin revenir vers la lumière et la liberté d’être Soi. Mais quelle belle renaissance s’offre alors !

 

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Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Comment trouver le bonheur ?

Comment trouver le bonheur ?

Mary Mann

Un bonheur intelligent et altruiste bien sûr

Comment être heureux ? C’est la question que tout le monde se pose… Le bonheur est la denrée la plus convoitée dans notre société. Mais force est de constater que nous ne sommes pas tous égaux face au même vécu. Quand certains sont d’irréductibles optimistes, d’autres sombrent dans la déprime au moindre coup du sort… Serions-nous les seuls responsables quant à notre félicité ? Cet état mystérieux pourrait-il être apprivoisé ? Faut-il le bonheur à tout prix ? L’injonction au bonheur ne serait-il pas une nouvelle dictature nous menant tout droit vers le malheur et l’individualisme ?

De quoi est fait le bonheur ?

 

Apparemment, c’est comme une recette de cuisine. Prenez :

  • 50 % de génétique
  • 40 % de perception
  • 10 % de circonstances de vie

Et vous savez de quoi le bonheur est constitué.

 

Oui, mais est-ce immuable ?

Quand on lit que 50 % de notre capacité à être heureux dépend de notre héritage familial biologique, on aurait tendance à croire qu’il s’agirait uniquement d’un jeu de « pile ou face ».

Ce leg transgénérationnel est l’ensemble des conditionnements et des habitudes dans lesquels nous avons baigné en grandissant.

Ce que nous avons hérité de nos parents et de nos ancêtres avant eux : leur vécu traumatique transmis…

Ce fameux héritage qui s’apparente souvent à une course de patate chaude inconsciente, un relais sans fin dont nous sommes l’aboutissement.

Or bonne nouvelle : tout héritage n’est pas figé dans le marbre. On peut le travailler et s’en libérer !

 

Parlons des 40% de perception maintenant.

Ils désignent notre capacité d’interprétation à propos d’une chose qui nous arrive.

En fait, notre état d’esprit est bien plus important que la situation réelle (qui ne compte qu’à hauteur de 10%).

Que faisons-nous d’un événement ? Nous effondrons-nous au moindre obstacle ? Ou faisons-nous comme l’enfant Obama balancé dans un puits et qui remonte en éclatant de rire au visage des enfants qui l’y ont poussé ? Voyons-nous le verre à moitié vide ou à moitié plein ?

Là encore, tout est une question d’état d’esprit et de croyances qui découlent directement des premiers 50 % et de l’ambiance familiale.

Deuxième bonne nouvelle : on peut aussi changer ce paramètre !

 

Et enfin, seuls 10 % dépendent de l’extérieur (aspect physique, météo…). Certains mettent aussi dans ces 10 %, la quantité d’argent disponible.

Or nos croyances auto-limitantes face à l’argent et provenant de nos origines, sont aussi un sujet passionnant à éliminer et que j’aborde dans mon atelier relation à l’argent !

 

Comment cultiver le bonheur ?

 

Il y a autant de visions que d’êtres sur Terre.

Chacun y mettra ses propres aspirations, son filtre culturel…

Mais cependant, nous pouvons essayer de dégager les grandes lignes universelles de ce que chacun peut faire individuellement pour tendre vers le bonheur.

 

Voici 10 conseils pour aller vers le bonheur :

 

1°/ Il est important de ne pas vouloir contrôler la Vie. Car il est impossible de tout maîtriser. A un moment donné, si la vie vous emmène vers autre chose et que vous freinez des quatre fers, faites taire votre peur et écoutez ce que la vie a envie d’exprimer à travers vous ! Plus tôt vous atteindrez un certain lâcher-prise quant aux événements qui surviennent, et plus tôt vous goûterez à une certaine sérénité et épargnerez votre énergie. Pratiquez l’Aïkido existentiel au lieu de faire constamment du Karaté !

2°/ En vivant en cohérence avec soi et en prenant conscience de ce qui est essentiel dans notre existence. En déployant notre Etre profond, au-delà des conditionnements sociaux-culturels reçus. Car si on n’est pas responsable de tout ce qui nous arrive, on est responsable de ce qu’on en fait !

3°/ En faisant un travail de recherche intérieure pour se connaitre. Afin d’apprendre quels sont nos qualités, nos talents, nos forces afin de s’estimer et de mieux choisir ce que nous voulons mettre dans notre vie pour se respecter.

4°/ En se réconciliant avec SOI et notre vécu. En ayant déjà une intention sincère d’apaisement en SOI, pour SOI et donc en réparant nos blessures. Nous commenceront à goûter le moment présent avec de plus en plus de sérénité et de joie.

5°/ En étant attentif un maximum au PRESENT, vivre en conscience. En effet, être plus attentif et présent à ce qu’on fait rend heureux (notre cerveau va alors sécréter de la dopamine et de la sérotonine qui sont des anti-dépresseurs naturels). Découvrez d’ailleurs mon super cursus en ligne pour développer la pleine conscience.

 

 

 

6°/ Le fait d’arrêter de JUGER les autres vous fera un bien fou ! Vous arrêterez ainsi de vous comparer en mieux ou en moins bien. Vous développerez l’acceptation et la tolérance avec un grand A.

7°/ En étant généreux. En étant tourné vers l’autre. Des études ont prouvé que les gens généreux sont plus heureux que les autres. Le bonheur des autres est contagieux et s’il est le fruit de notre action, cela donne du sens à notre vie. Et si en plus nous participons à améliorer le monde, que demander de plus ?

8°/ En arrêtant de vouloir changer les autres. Je le dis souvent à mes clients : on ne peut pas aider quelqu’un qui ne le veut pas ! Soit vous décidez de changer vous-même pour l’accepter (dans la mesure où cela est sans danger pour vous), soit vous ne fréquentez plus les gens qui vous posent problème.

9°/ En ne cherchant pas le bonheur à tout prix ! Car « la souffrance est la différence entre ce qui est et ce que j’aimerais qui soit ». Mais comme le dit Spinoza, chaque être vivant persévère et fait un effort pour grandir durant toute sa vie. Il a naturellement envie de s’élever et de transcender sa condition vers plus de joie et de bonheur afin que ceux-ci occupent le plus de place possible.

Cela est louable. Et cela demande bien sûr un travail sur soi pour aller vers la paix intérieure. Cependant, attention à ne pas voir le bonheur comme un Graal absolu ! Cela amène à rechercher cet état avec trop de mental et en dehors de soi. Or, il faut avant tout se reconnecter à nos ressentis et à notre corps pour le trouver.

10°/ En comprenant que le bonheur ne signifie pas être dans la joie tout le temps.
Dans le dessin animé Vice Versa, la Joie se rend bien compte finalement qu’elle ne peut pas toujours être aux commandes et qu’elle ne peut exister sans la tristesse et les autres émotions « négatives ». Que chaque émotion est utile selon les situations et coexiste en nous.

En définitive, la notion de bonheur existe car son opposé existe. Comme dans les contes pour enfants, c’est parce qu’il y a un « méchant » que nous pouvons définir ce qu’est un « gentil ». Il est donc normal et souhaitable de ressentir les émotions dites « négatives ». C’est ce qui fait que nous sommes vivants et pouvons interagir socialement en fonction des émotions des autres, et pas tel un imbécile heureux ayant toujours le sourire aux lèvres.

 

Le bonheur ne peut-il être que le fruit de nos efforts individualistes ?

 

Il faut bien l’admettre, le temps où l’individu avait une vie sociale plus simple, saine, authentique et intégrée au sein d’une communauté est révolu.

Nos nouveaux modes de vie, couplés aux nombreux mouvements de population, convergent vers plus d’isolement et d’individualité. Les nouvelles technologies n’arrangent rien…

Ce terreau s’est révélé du pain béni pour la psychologie positive qui a réduit la notion de bonheur à portion congrue.

Elle a fini par enfermer la notion de bonheur principalement à l’individu. Le rendant seul responsable de son bonheur.

Elle a inculqué que pour atteindre le bonheur, chacun devait avant tout travailler sur lui-même, faire du développement personnel à tout va, pour mieux se connaître et mieux se « corriger ». Que le bonheur ne tenait qu’à soi.

C’est devenu une injonction sociétale : il FAUT être heureux bêtement et à tout prix chacun dans son coin. Au point d’être une quête angoissante !

Céder à la frénésie de lectures traitant de la question, aller voir des coachs, et écouter des gourous du bonheur, est-il le seul moyen d’échapper au malheur ?

Mais qu’en est-il de l’action collective face au monde et à ses dérives ?

Le bonheur ne reposerait-il plus sur une tentative de changer ensemble le monde ? Mais sur une quête permanente de se changer soi ?

Va-t-on tous devenir des îlots tout sourire sans cohésion, tels des lentilles flottant à la dérive dans une soupe indigeste ?

C’est la crainte de la sociologue Eva Illouz et du psychologue Edgar Cabanas dans leur ouvrage Happycratie.

Ils indiquent qu’il a fallu à peine plus d’une décennie pour nous convaincre que la valeur centrale de notre vie se résumait à « ce sentiment teinté d’individualisme et de consumérisme vorace » : Le bonheur.

Selon eux, cette approche du bonheur nous maintiendrait en réalité dans une forme de servitude apaisante et volontaire, renonçant à remettre en cause le capitalisme et à lutter contre ses méfaits… Pour mieux nous consoler de notre impuissance et tout accepter.

« Un cocon de plénitude dans un monde mauvais, ou la dissolution de la lutte dans la perspective du bonheur individuel. »

Or, malgré cette tyrannie du bonheur individualiste, force est de constater que des voix s’élèvent pour changer concrètement des choses à leur échelle et transformer le monde.

Combien de reconversions professionnelles en maraîchage biologique ? Combien de projets écologiques et locaux pour repenser l’industrie de demain ?

Hopaal, Respire, Friendly frenchy, Le jouet Français…

Bien d’autres projets positifs sont relatés dans le livre « Un million de révolutions tranquilles ».

Et si justement, parmi de nombreux accros au bonheur, étaient ces gens qui refusent de renoncer, ne ferment pas les yeux et se mettent à penser, créer, inventer de nouvelles façons de faire et cultivent l’optimisme avant tout ?

Ces gens positifs qui cherchent à donner un sens à leur vie, tout en essayant de redonner du sens à cette société qui en est dépourvue ?

A l’image de Joanna Quelen.

Quand Joanna Quelen a proposé son sujet de TEDx sur le bonheur, les organisateurs lui ont demandé « Pourquoi ce choix » ?

Après quelques instants de réflexion, elle a spontanément répondu : « Parce que la Mort ! »

Ainsi, dans cette présentation intimiste, Joanna nous parle de son parcours vers le bonheur, de sa prise de conscience existentielle.

Un cheminement qui l’a amenée à œuvrer pour le bonheur des autres.

Etre heureux ne se résume à pas se forcer à être bêtement positif ni à devenir aveugle aux horreurs du monde dans une sorte d’autisme sélectif. Le sentiment de bonheur relève à la fois de notre sphère personnelle mais aussi collective. Qu’il le veuille ou non, l’individu est relié au monde. Il vous appartient donc de prendre conscience de vos propres conditionnements au malheur et de vous en libérer. Tout comme il vous appartient de vous engager dans des projets altruistes qui ont du sens à vos yeux et vous permettent d’apporter votre pierre à l’édifice d’un monde meilleur.

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Mary Mann : La thérapie autrement !

Thérapie brève multi-dimensionnelle (en ligne)

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

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