Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Mary Mann

Et non les vaincre !

Vous souffrez de bouffées émotionnelles ? Vous réagissez toujours aux mêmes choses et trop fort ? Vous ruminez souvent pendant des lustres ? Et vous aimeriez venir à bout de ce mal-être qui vous épuise et vous maintient dans une spirale infernale de négativité et de répétitions sans fin. Certains se font une joie d’employer des formules « chocs » et prometteuses : ils vous promettent de vaincre les émotions négatives grâce à des solutions qui finalement vous en détournent… Laissez-moi vous compter pourquoi vaincre les émotions négatives est non seulement impossible, mais surtout non souhaitable. Découvrez plutôt l’utilité des émotions et apprenez comment gérer ses émotions négatives efficacement.

Certains vous l’assurent et n’ont pas peur de se contredire.
Il faut écouter ses émotions mais en même temps les seules solutions qu’ils vous proposent pour aller mieux sont de faire diversion pour éviter de trop les ressentir.
Bon… Faut savoir !

Et tout ça à grand renfort de méditation, sophrologie, sport… qui permettent d’évacuer les tensions et de ne pas trop y penser.
Selon eux, il vous suffit aussi de positiver, de prendre du recul et tout ira bien.

Certes, dans l’urgence, c’est bien d’activer la soupape pour relâcher la pression…
Mais et si les émotions négatives reviennent inlassablement ?
Eeuuuh… Ben on recommence !?

Non…

En même temps, je vous comprends.

La nature humaine est ainsi faite : elle n’aime pas souffrir. Elle fait tout pour éviter la souffrance.

L’humain croit que maintenir à l’écart les émotions négatives qui le dérangent lui fera trouver la paix intérieure.

Par exemple, beaucoup de gens méditent pour fuir leurs tourments qui hurlent à l’intérieur. D’autres se réfugient dans une fuite spirituelle pour ne pas rencontrer des peurs ou des colères et croient ainsi les transcender. Mais ce n’est qu’une illusion. On ne peut pas trouver la paix durablement ainsi !

Or c’est bien plus facile de faire des activités plaisantes pour s’en détourner ou de faire encore l’autruche ou du tennis avec ses émotions négatives que d’aller leur dire bonjour :-).
« Oh non, je ne veux pas ressentir ça, tu me déranges… »
Bam ! Coup de raquette pour la renvoyer dans ses pénates…
Pas grave, elle reviendra plus tard. Probablement en plus fort…

Ou encore sophrologie : paradis perdu verdoyant « Oh, c’est merveilleux ! »Je m’évade, que cet imaginaire est beau ! »

Quelle belle illusion durant quelques minutes… Mais le problème à l’origine de votre inconfort émotionnel n’est pas réglé pour autant et continue de vous hanter dans votre inconscient.

VAINCRE SES EMOTIONS : ETES-VOUS EN GUERRE ?

Tout d’abord, on va pas se mentir : « vaincre ses émotions » est une formule marketing pour vous faire lire un article ou cliquer sur une vidéo.
Eh oui ! Les gens aiment qu’on leur vende du rêve…

Pourquoi vaincre les émotions négatives est illusoire et non souhaitable ?

 

Car premièrement, une émotion n’est pas votre ennemi, vous n’êtes pas en guerre.

En guerre contre vous-même qui plus est ! Le langage est inapproprié.
Encore plus quand on vous vend ensuite de l’acceptation.

Là, j’en perds mon latin…

Bref, une émotion est un langage intérieur. Elle est en vous, vous la ressentez.

Étymologiquement, c’est un mouvement affectif créé par une sensation qui vient d’un stimuli extérieur (MOTIO=mouvement + E=qui vient de)

Les émotions sont là pour vous aider à vous adapter à chaque situation de votre vie, à survivre et à interagir avec votre environnement.

  • Elles indiquent dans quelle mesure vos besoins sont satisfaits ou insatisfaits.
  • Elles vous informent sur votre état intérieur.
  • Elles vous donnent un message précis à propos de votre équilibre intérieur.

Les émotions « négatives » ne sont pas vos ennemis.

Une émotion est la traduction pour vous d’une situation.
Or, nous avons tous une histoire, des traumatismes (qu’il soient d’origine biographique, transgénérationnelle ou karmique). Et en fonction des charges émotionnelles qui y sont liées, une situation d’apparence banale pour quelqu’un d’autre pourra avoir un effet dévastateur sur vous.

En effet, vos émotions peuvent parfois prendre trop de place car elles sont en fait l’écho d’autre chose…

L’échos d’un traumatisme ou d’une blessure de l’âme (par exemple, du rejet, de l’humiliation…)
C’est pourquoi ce que vous vivez intérieurement peut s’avérer dérangeant.
Mais ce n’est bien souvent pas le reflet totalement fidèle de la réalité qui a vraiment lieu sous vos yeux.
C’est souvent une interprétation ou une surenchère au travers du prisme égotique blessé.

Cependant, une émotion est un message.
Et il faut l’écouter pour la libérer et en faire quelque chose au lieu de mettre le couvercle dessus ou de vous échapper.

Oui je sais, ce n’est pas confortable. Or, c’est la seule voie pour transcender un problème.

Car ce à quoi je résiste persiste !

Alors quand une émotion récurrente vous bouffe la vie, ne fuyez pas ! Vous pouvez déjà vous soulager ponctuellement du trop plein émotionnel grâce à l’outil basic PEAT, que j’explique dans mon article sur le deuil.

Mais si vous voulez vous soulager durablement d’une émotion négative, prenez plutôt votre pioche et votre lanterne…

Et Hop ! On descend pour voir ce qui se passe ! 

LES ÉMOTIONS NÉGATIVES : LE VRAI PROBLÈME

D’abord, prenez bien conscience que les émotions, tout comme vos pensées, ne sont pas TOUT votre Etre.
Aussi intenses soient-elles, elles ne sont « que » des vagues intérieures.
C’est pourquoi les écouter et les accueillir tout en les observant est possible et surtout, cela ouvre la voie de la guérison.

Car le changement commence par l’accueil de ce qui EST.

Malheureusement, ce n’est pas simple.

En vérité, j’ai remarqué qu’il existe deux situations avec les émotions négatives : soit elles sont ponctuelles, fluides et on les vit bien, soit elles prennent toute la place et ça bloblotte, c’est instable.

Elles sont ponctuelles, fluides

On est fluide car on sait les vivre sans problème puisqu’on est suffisamment équilibré (paix et liberté vis-à-vis du vécu et des conditionnements),

Elles prennent toute la place et c’est instable

J’ai rencontré deux cas de figure :

1- soit on met le couvercle dessus par peur de souffrir, ce qui peut aboutir à des allergies émotionnelles (explosions par des « bouffées » qui peuvent s’échapper de temps en temps) ou même parfois – si on a poussé le bouchon très loin – on arrive à une « incapacité » émotionnelle (on ne pleure plus, on est « coupé »…). Pour survivre, on a scellé la porte de nos tourments consciemment ou inconsciemment. Dès lors, contacter son vécu reviendrait à libérer le Kraken. oO. Il n’est pas rare de souffrir de Troubles Musculo Squelettiques, de somatisations diverses car le corps encaisse…

2- soit on est bloqué dans une émotion négative récurrente à cause d’un vécu impactant prolongé ou bref (ex : quelqu’un constamment soumis à la peur devient peureux, quelqu’un qui a souvent été en colère devient colérique, quelqu’un de souvent triste devient dépressif, une personne qui subit un traumatisme violent et soudain peut se retrouver bloquée dans la peur, la tristesse car le souvenir de ce trauma continue à faire des ravages dans son inconscient…). Le déséquilibre est important. On est ainsi dépolarisé et on ne sait plus fonctionner autrement. On peut dire que la personne est carrément devenue l’émotion négative.

Dans ces situations, je rencontre fréquemment des clients avec un vécu très difficile.

Ils ont survécu comme ils ont pu… Mais au bout d’un moment, ils se rendent compte que ce vécu devient handicapant et les empêche de vivre…

Ils souffrent, ils sentent un manque, ils sont « coupés » d’une partie d’eux-même et certains ressentent le besoin de rouvrir la porte pour faire la paix avec leur vécu mis sous clé si longtemps. Ils aspirent à rééquilibrer leurs émotions pour fonctionner plus sainement.

Certes, leur vécu traumatique y est pour quelque chose, mais notre modèle d’éducation n’aide pas non plus à cette fluidité et cet équilibre émotionnel.

Car pour beaucoup d’entre nous, depuis notre enfance, nous avons souvent reçu tout simplement l’injonction de réprimer nos émotions négatives :
-« Ne pleure pas !
-Mais moi aussi j’peux me mettre en colère !
-Arrête de pleurer, tout le monde nous regarde, tu me fais honte…
-Les garçons, ça ne pleure pas »

Ça vous dit quelque chose ?

Qui plus est, le fait d’être dans une dictature du positif, de « winner » n’arrange rien.

Cela est encore plus vrai dans le monde du travail.
Essayez de pleurer ou de vous mettre en colère en entreprise, vous verrez la tête de vos collègues !
Interdit ! Refoulement…

On vous dit même que vous devez laisser vos problèmes à la porte et on vous oblige à mettre un couvercle sur votre ressenti, à paraître lisse et imperturbable…
Humain robotisé, standardisé qui ne fait pas de vagues.

Mais c’est impossible !
Il est grand temps de réinventer l’entreprise humaine… Mais c’est un autre sujet.

Alors, si nous n’écoutons pas nos émotions, nous nions certains de nos besoins et petit à petit nous perdons le contact avec nous-même.
– Cela crée des BOUCHONS qui peuvent nous sauter à la figure un jour où la coupe est pleine.
– Cela peut engendrer un MAL-ETRE général inexplicable comme chez certains de mes clients qui ont comme perdu un bout de leur âme, surtout quand ils ont de gros traumatismes (notion chamanique). Leur personnalité est fragmentée et ils perdent leur pouvoir personnel
– Le corps peut même se mettre à somatiser pour faire entendre cette émotion dont il ne sait que faire car elle n’est pas entendue !

Ce long processus de perte de soi, de déconnexion à nous-même, fait qu’au final nous ne savons plus qui nous sommes.

Cette perte de communication avec nous-mêmes ne va pas non plus dans le sens d’une communication saine à l’autre.
En effet, comment entrer en relation avec l’autre sainement quand nous ne savons plus communiquer avec nous-mêmes ?
Que nous ne savons pas entendre ces messages que sont nos émotions et que nous bâillonnons souvent à grand coup de méditation, sophrologie, sport, hyperactivité etc. ?

EMOTIONS NEGATIVES : VRAIMENT ?

Colère, tristesse, peur, culpabilité… Vous ne les aimez pas, hein ?

Et là vous me dites : « Oui, ce sont des émotions né-ga-ti-ves »

Mais au fait, depuis quand une émotion est-elle négative ?
Une émotion n’est ni négative, ni positive : elle EST.
Et si une émotion existe, elle a une utilité. Ce n’est pas une maladie !

 

Le merveilleux film d’animation Vice Versa nous le démontre parfaitement.

Toutes les émotions « négatives » mises à l’écart par la JOIE, s’avèrent finalement nécessaires au bien-être psychique et à l’équilibre de la petite fille.

Pourtant, nous considérons souvent la tristesse comme une faiblesse indésirable.

De même, nous traitons la colère comme un manque de maîtrise alors qu’elle peut être une énergie puissante très utile et pas forcément explosive !

Les émotions négatives vous apportent un message :

  • la peur vous indique un possible danger,
  • la colère vous indique un besoin insatisfait ou vous permet de vous protéger et vous affirmer,
  • la tristesse indique un manque, un besoin non comblé (principalement affectif),
  • la culpabilité vient nous questionner dans notre responsabilité vis-à-vis de ce qu’on se reproche.

Et toutes ces émotions ont différents degrés selon leur intensité, comme le montre la roue des émotions de Plutchik. Par exemple, la peur se décline en inquiétude, crainte, peur, terreur, panique.

J’aime voir mes clients redécouvrir leur dialogue intérieur lors des séances de libération émotionnelle. Ils refont ami-ami avec leurs ressentis et s’en trouvent bien mieux. Ce qu’ils mettaient à l’écart par peur et incompréhension leur paraît soudain normal car ils contactent ce qui est derrière et ils l’accueillent avec bienveillance. Au lieu de la refouler, ils intègrent leur histoire personnelle…

Pour ma part, je préfère qualifier les émotions négatives d’émotions « désagréables ».
Sinon, on se croirait dans les contes pour enfant : il y a un gentil versus un méchant.
Bououuu ! La vilaine émotion négative !

Mais vous savez ? Cette façon de voir les choses BIEN/MAL vient de très loin.
Dans notre culture, nous nous sommes construits autour de la notion de polarités. Cela vient de la Pensée polaire.
Qu’est-ce que c’est ?
Laissez-moi vous expliquer brièvement…

COMMENT EST NEE LA PENSEE POLAIRE ?

D’abord il y a eu le Manichéisme venu de Perse, au 3ème siècle après JC.
Vous savez ? C’est quand on évalue les choses à l’aide d’antagonismes. Tout blanc ou tout noir…

Puis, cette façon de penser très catégorique a infiltré les mentalités et a même fini par influencer la morale religieuse en Occident.

 

 Dès lors, la manière de concevoir les choses en opposition s’est renforcée et a fait de notre monde un monde bipolaire où le BIEN et le MAL s’affrontent.

La pensée Polaire est ensuite née au 12ème siècle.

Elle conçoit que tout ce qui existe a deux polarités inverses : chaque chose a son opposé.
 La lumière/l’obscurité, le blanc/le noir, le Vrai/le Faux…

Et on favorise une pensée plutôt que l’autre, on catégorise, on oppose et on sépare deux choses qui sont pourtant les faces d’une même pièce.

Vous avez remarqué ?

Que ce soit dans les contes pour enfants ou dans les mythes, il y a toujours un gentil et un méchant.

Le gentil est-il mieux que l’autre ? Certes, il fait de bonnes actions.
Mais c’est l’existence de l’un qui permet de concevoir et donner vie à l’autre en tant que son opposé. Cela donne l’occasion de l’appréhender dans sa nature. Sinon, nous ne saurions pas le nommer ni le comprendre instantanément.

Il en est de même de nos états intérieurs que nous opposons : joie/tristesse, confiance/peur, patient/impatient…

LA DUALITE AUSSI DANS LA NATURE…

 

Cette façon duelle de voir les choses, provient aussi de l’observation de La Nature qui est bien faite d’oppositions franches (froid/chaud, contraction/expansion…)

Mais il y a une différence essentielle : la Nature passe aussi indifféremment et naturellement d’un état à un autre et ceci constamment !
Tandis que la pensée Polaire, elle, FIGE un état qu’elle va juger meilleur que son opposé et de manière, arbitraire, catégorique et définitive.

 

Pour prendre une image : c’est comme si on décrétait que l’inspiration était mieux que l’expiration et qu’on se mette à développer des tas de théories pour justifier cela…

Mais si vous n’expirez pas… vous n’êtes pas en vie !

La vie consiste à passer fluidement d’un état à un autre en permanence, dans l’équilibre.

Vous avez suivi ?
Bien

Alors pourquoi en serait-il autrement pour les émotions ?

LA VOIE DU SALUT : Ecouter, libérer et rééquilibrer ses émotions grâce à PEAT

Si vous avez bien suivi, vous avez compris que pour bien vivre vos émotions quelles qu’elles soient, vous devez toutes les accepter et atteindre ce que je nomme : la fluidité émotionnelle.

Pour cela, ACCUEILLEZ la polarité « négative » dans toute sa profondeur et son intensité (mais accompagné ! si c’est trop fort).
En effet, le fait de vider un abcès émotionnel permet de laisser émerger autre chose (car au vide succède le plein).
Ecoutez vos émotions désagréables et comprenez les besoins qu’elles traduisent, qui ne sont pas satisfaits en vous.

Car tant que vous musellerez une émotion, elle continuera de venir frapper à la porte jusqu’à être entendue.

Toute cette énergie bloquée s’amplifie avec le temps.
De plus, bloquer la porte est épuisant et c’est une énergie que vous n’avez pas pour autre chose et aller de l’avant.
Il est capital de rétablir une bonne fluidité émotionnelle pour atteindre un bien-être durable, et améliorer votre qualité de vie.

Donc n’ayez pas peur de ressentir ! Ça veut dire que vous êtes vivant !

Au lieu de vouloir faire du karaté (lutte), essayez donc l’aïkido (utiliser la force de l’adversaire pour le neutraliser)!

En séance de thérapie, je vous accompagne dans un véritable aïkido émotionnel grâce à la technique PEAT.

Bien souvent, les gens ont peur d’explorer un certain état « négatif » et ils sentent qu’ils ne pourront pas arriver seuls à les purger. Et c’est souvent vrai.
Certains ont carrément peur « d’exploser » tant l’intensité des émotions qu’ils ont refoulées est importante !
Ils sentent la puissance de ces émotions désagréables car elles n’ont pas été exprimées depuis si longtemps…
Alors, bien sûr, il est souhaitable de les libérer en se faisant accompagner.

Cependant, les libérer n’est pas suffisant pour parvenir à l’équilibre… Ça soulage, mais ce n’est pas suffisant. Vous allez certes traverser et libérer vos ombres : émotions désagréables, souvenirs traumatisants, colères, tristesses, peurs…

Mais afin d’atteindre la sérénité, nous devrons aller voir aussi vos joies, vos bonheurs afin de les rééquilibrer ensemble !
Car ils sont partenaires !

C’est ce mariage et réconciliation qui provoqueront la libération émotionnelle qui aboutira à la fluidité à laquelle vous aspirez tant !
Vous arrêterez de FAIRE LES MONTAGNES RUSSES et stabiliserez vos émotions en les vivant toutes, mais sans excès pathologique ou inconfortable. Vous pourrez trouver la paix intérieure.

Vous allez apprendre à accueillir tout ce que vous êtes avec bienveillance, à vous soulager émotionnellement de vos souffrances et de vos croyances limitantes.
Grâce à ce travail de rééquilibrage, vous allez pouvoir vivre un état de plus en plus fluide, léger et STABLE. Au lieu d’être envahi et submergé au point de faire diversion ou l’autruche.

Ainsi, transcender vos problématiques émotionnelles et non les vaincre est la seule voie vers l’unité et la paix intérieure. Tout évitement diffère le problème. Un rééquilibrage de vos émotions grâce à la méthode PEAT, vous permettra de traverser la vie et ses épreuves plus facilement. Vous jonglerez avec vos émotions plus rapidement, sans en interdire aucune. Vous goûterez à la sérénité et à une nouvelle liberté quant à vos conditionnements passés. Vous savourerez davantage le moment présent par une qualité de présence accrue à vous-même et au monde. Le champ de conscience s’élargira, gage d’un autre rapport au monde et d’une reliance plus forte à la Vie. C’est le chemin de l’éveil.

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Mary Mann : La thérapie autrement !

Thérapie brève multi-dimensionnelle (en ligne)

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Thérapie brève en ligne (psychopraticienne) : Libération des émotions, régression et libération vies antérieures, libération mémoires transgénérationnelles (épigénétique), développement personnel
  • Mudra-thérapie : 1ère professeur et mudra-thérapeute en France, certifiée Sabrina Mesko, d'après l'enseignement de Yogi Bhajan - Art énergétique millénaire de bien-être et de développement personnel
  • Soin chamanique - chamanisme
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

Comment lutter contre le stress ?

Comment lutter contre le stress ?

Mary Mann

6 conseils simples pour lutter contre le stress

Vous êtes trop stressé ? Du mal à dormir avec le cerveau en surrégime ? Le stress est le fléau de notre époque moderne. Nous avons d’ailleurs atteint les limites physiologiques du stress et beaucoup d’actifs sont victimes d’un burn-out ! Quels sont les méfaits du stress surtout s’il s’agit d’un stress chronique ? Comment impacte-t-il les relations entre individus ? Et comment lutter contre le stress ? Dans cet article, découvrez tout ce qu’il y a à savoir sur le stress et surtout 6 conseils pour diminuer votre niveau de stress immédiatement.

Vite, vite !! Lisez cet article !

Mais d’où vient ce fameux stress ?

La première cause du stress est l’absence de contrôle sur les événements : submersion par des tâches qui s’additionnent, sur-sollicitation, sensation de ne rien maîtriser en ayant une vision partielle de notre travail…

Nous avons l’horrible sensation de perdre pied et que cette situation n’aura jamais de fin…

Le stress est la réponse de votre corps face à une situation qui est perçue comme un danger :

– Votre patron qui fonce droit vers votre bureau, un dossier à la main, en vociférant des mots inintelligibles.
– Un énorme travail à réaliser en un rien de temps. 

La réaction de stress, cette merveilleuse machine de guerre, se met en route pour vous aider à affronter cette « menace ». Elle stimule votre concentration, garde votre esprit en alerte, ou encore vous donne des forces pour courir plus vite.

En effet, lors d’une situation de stress, votre corps sécrète des hormones spécifiques pour se défendre, dont l’adrénaline et le cortisol.
La première vous booste physiquement tandis que la seconde vous fournit plus d’énergie pour tenir.

Normalement, lorsque le danger est écarté, le stress disparaît pour laisser place au calme d’avant.

Mais dans notre vie moderne, il semblerait que cet interrupteur OFF n’existe plus : le chômage, les impôts, les études des enfants, les incertitudes, les soucis, les attentats, le terrorisme, la crise politique et environnementale, l’avalanche de mails au travail, faire toujours plus et toujours plus vite avec moins de temps disponible, etc. 

Tout cela vous tourmente en continu.

Dans l’excellent documentaire ci-dessous « Stress : Portrait of a Killer » (qui date certes de 2008, mais qui n’a rien perdu de son intérêt), nous suivons les recherches passionnantes de Robert Sapolsky, un neurobiologiste de l’université de Stanford.

A 35 min notamment, vous découvrirez les dégâts du stress sur un foetus et sur les générations suivantes via l’épigénétique.

 

Il a observé les tribulations d’un groupe de babouins en Afrique durant 30 ans pour comprendre les méfaits du stress sur nous, les Hommes.
Et ses observations et conclusions valent la peine.

Le Dr. Sapolsky explique que vous êtes plus vulnérable au stress si :

  • Vous avez le sentiment de ne rien contrôler,
  • Vous n’avez aucune information sur ce qui vous attend (combien le problème va être difficile, combien de temps il va durer, etc.),
  • Vous avez le sentiment de ne pas avoir de solution,
  • Vous avez l’impression que les choses empirent,
  • Vous n’avez pas « d’épaule secourable » (c’est-à-dire un manque de liens sociaux et personne à qui parler),

Ajouté à cela, vous vous imposez une pression de dingue pour donner une bonne image et tendre vers l’idéal martelé par les médias : tout mener de front «amour-carrière-famille», rester beau et en santé, avoir une famille parfaite, des enfants exemplaires, un couple parfait, un job au top…

Le stress parental en est une conséquence directe.

Les conséquences du stress

Si autrefois le stress était plus ponctuel et destiné à nous sauver la vie face au danger, il n’a plus rien à voir aujourd’hui : le stress nous tue.

À la suite de multiples recherches, nous savons maintenant que la sécrétion en continu des hormones de stress, surtout du cortisol, contribue à développer des troubles graves :

– Réduction de l’espérance de vie et vieillissement accéléré (les télomères qui protègent l’ADN sont endommagés)
Insomnie
– Baisse des défenses immunitaires
– Maladie somatique, cardiovasculaire, chronique, de peau, surpoids, troubles musculosquelettiques, acidification du corps qui génère entre autres des remontées gastriques et une déminéralisation, augmentation de la graisse abdominale…
– Poussé à bout, l’organisme se retrouve en situation de rupture dont le burn-out et la dépression sont les conséquences directes
– Etc.

Il est donc important de faire baisser le taux des hormones de stress dans votre organisme.

6 conseils pour diminuer immédiatement votre niveau de stress

Inspirez, expirez…

Lorsque vous vous trouvez face à un danger, votre cerveau se positionne automatiquement en mode « stress ».

Mais vous avez le pouvoir d’en diminuer les effets !

– En prenant déjà conscience de votre état de stress physique et de ses causes (observation et analyse).
– Puis en adoptant des solutions (actions) et au plus tôt, telles que les 5 ci-dessous :

 

1- Marchez pendant 10 min dans la nature et respirez !

Une étude réalisée par les chercheurs de l’université de Stanford a démontré que marcher dans la nature est plus efficace pour l’humeur qu’une promenade en ville.

De même, en 1995, Miyazaki et Motohashi, deux scientifiques japonais ont observé les bienfaits du Shinrin-yoku (bain de forêt) sur la tension artérielle ou l’anxiété.

Une des hypothèses retenues est que les arbres, les oiseaux ou le lever du soleil attirent votre attention sans vous accaparer. Vous pouvez laisser votre esprit vagabonder sans contraintes et vous ressourcer.

Vous êtes en ville ? Un joli parc fera l’affaire !
Alors, marchez, respirez profondément et déconnectez-vous…

Vous pouvez aussi regarder le ciel bleu. Il a été prouvé que la couleur bleue non seulement, ralentit le rythme cardiaque et abaisse la tension artérielle, mais augmente aussi la confiance en soi, réduit le stress et stimule la joie (Université du Sussex en Grande Bretagne).

2- Écoutez de la musique relaxante

Lorsque vous écoutez un morceau que vous aimez, votre respiration devient plus profonde. Le taux de sérotonine dans votre organisme augmente. Le rythme cardiaque ralentit.
C’est le début de la relaxation.
Choisissez une musique douce que vous appréciez, de celles qui favoriseront une humeur positive.

3- Prenez du recul

Levez-vous parfois les yeux vers le ciel pour observer l’immensité qui nous entoure ?
Non ?
Vous devriez.
Prenez conscience de où vous êtes : sur la planète Terre, une toute petite boule bleue flottant dans l’univers… Eh oui !

Alors, si votre patron a ses humeurs ou votre collègue vous énerve : STOP ! Levez la tête du guidon !

Et si vous allez réchauffer un plat surgelé par manque de temps pour le repas de ce soir… Sachez qu’à l’échelle cosmique, rien n’est vraiment grave !

Dédramatisez, méditez, observez les étoiles, projetez-vous dans une échelle plus vaste jusqu’à apercevoir votre problème comme minuscule.

4- Identifiez votre peur sous-jacente et évacuez-la

Si vous avez bien compris que le stress survenait face à un danger réel ou imaginé, vous devez prendre conscience qu’à l’origine de tout stress, il y a donc une émotion bien précise : la peur, l’angoisse.

Elle vous envahit, accapare vos pensées et vous empêche de voir une situation objectivement.

Lorsqu’un de mes clients se retrouve dans cette situation, j’ai recours à la méthode de libération Émotionnelle (PEAT).

Cette technique thérapeutique de libration émotionnelle est extrêmement efficace pour traiter les déséquilibres émotionnels et les schémas inconscients à la source de tout problème.

Dans le fichier audio ci-dessous, je vous laisse découvrir le basic PEAT, un 1er outil de cette méthode très facile à réaliser. Il vous procurera immédiatement un apaisement salvateur.

Le Basic PEAT pour diminuer la peur à l’origine de votre stress

Basic PEAT

5- Découvrez les bienfaits des mudrâs !

Le mudrâ de la protection

Ce sont des postures millénaires issues du yoga et qui combinent les bras, les mains et les doigts.

Les mudrâs ont une action positive sur votre bien-être en stimulant les nombreuses terminaisons nerveuses.

Les points d’acupuncture qui se trouvent dans les mains et les doigts sont aussi stimulés.

Un travail respiratoire y est également associé.

L’ensemble amène une régulation énergétique et émotionnelle profonde, une reconnexion à votre corps et participe à votre élévation spirituelle.

Les mudrâs sont de fabuleux alliés pour prévenir et lutter contre le stress. Ils sont à la portée de tous.

Envie de lutter contre le stress efficacement et en toute autonomie ?

J’ai créé pour vous un super programme en ligne de lutte contre le stress à un prix canon.

Spécialement conçu pour aller vers plus de sérénité, de recul et de lâcher-prise.

Best seller de mes programmes en ligne, vous y retrouverez des mudras + d’autres outils géniaux de bien-être

Radical ! Il vous aidera, en 6 semaines, à prendre soin de votre santé et à retrouver sérénité et énergie.

6- Pratiquez une activité manuelle
Faire des mudrâs est déjà une très bonne activité en soi, alliant respiration et posture.

Mais vous pouvez aussi tricoter, colorier des mandalas, faire des puzzles…

Vous avez saisi ? Pratiquez des activités qui font appel au corps et à l’immersion dans un geste.

Elles feront taire ce petit vélo qu’est votre mental.
En vous immergeant dans le moment présent, vous reléguerez votre stress en arrière-plan.

Stress chronique : libérez-vous de vos schémas destructeurs !

Tout le monde ne réagit pas de la même manière face à une situation, aussi stressante soit-elle.

Devant le même tas de dossiers, votre collègue de droite va se contenter de les traiter l’un après l’autre, sans se mettre la pression, malgré le délai imposé. Tandis que vous, vous frôlez la tachycardie et ne dormez plus.

Cette différence est liée à vos schémas internes qui peuvent amplifier le problème. Vous réagissez trop fort car cela fait écho à votre vécu et construction. Et par conséquent, vous êtes trop vulnérable au stress.

Vous avez besoin de reconnaissance ?

Cette quête désespérée de validation vous oblige à faire toujours plus pour recevoir la dose de récompense nécessaire. Vous aurez tendance à faire tout ce qu’on vous demande et souvent plus que nécessaire ! Vous aurez du mal à dire non et vous vous plierez en quatre. Vous serez sujet au burn-out plus facilement !

Vous souffrez d’une blessure de rejet ou d’injustice ? 

Elle engendre une sur-réaction de perfectionnisme. Vous allez vous mettre une pression de dingue afin d’éviter le rejet ou des remontrances souvent irrationnelles.

Vous souffrez de l’auto saboteur « sans repos » ? (restless en anglais) 

Un de vos parents était peut-être hyperactif, ne savait jamais s’arrêter ou valorisait le fait d’être toujours en action (sinon « on perd son temps »). Vous ne vous autorisez donc jamais à souffler et ce, jusqu’à épuisement.

Vous souffrez de peurs irrationnelles et d’insécurité perpétuelle ?

Elles viennent de votre vécu. Par exemple : vous avez été battu ou vous receviez une gifle chaque fois que vous faisiez « mal » quelque chose.
Du coup, aujourd’hui, vous ne vous donnez pas le droit à l’erreur, de peur que cette punition vous tombe à nouveau dessus (inconsciemment). Vous voyez et vivez toujours les situations de manière déformée et réagissez toujours de la même façon.

Vous souffrez d’un stress post-traumatique lié à votre histoire ?

Depuis que vous avez assisté à une situation de danger extrême pour vous ou pour un de vos proches, vous êtes constamment en alerte. Et chaque stimulus similaire ravive le traumatisme provoquant des ravages dans votre inconscient.

Il arrive parfois que ces traumatismes nous soient transmis par nos ancêtres à travers notre génome. Cette configuration augmente la difficulté de diagnostic et par conséquent, de soin.

Avec de tels bagages provoquant un stress chronique, les techniques de relaxation ne suffiront pas.

Quand on est bloqué dans un tel schéma, on fait « plus de la même chose » car c’est la seule chose qu’on a apprise.

Même si cela nous nuit et n’est pas adapté.

C’est comme si vous aviez toujours les mêmes outils inefficaces dans votre boîte à outils !

Pour sortir de vos boucles réactionnelles excessives, il convient de libérer les causes sources et profondes de vos peurs.

Et vous pourrez alors commencer à fonctionner différemment, en adoptant naturellement de nouvelles solutions.

Pour atteindre ce résultat, la libération émotionnelle PEAT mérite toute votre attention.

Mais s’il s’agit d’un stress hérité d’un vécu familial particulièrement traumatique (ex: vos ancêtres ont vécu la guerre, été exposés à un danger extrême qui a marqué votre lignée et a des répercussions dans votre vie à vous), la libération des mémoires transgénérationnelles pourra vous être d’un grand secours.

En séance individuelle, je vous guiderai grâce à de puissants outils thérapeutiques pour remonter à la source de votre problème et vous débarrasser des causes de vos tourments.

Si le stress est une magnifique réaction de votre corps pour faire face aux dangers, les exigences toujours plus grandes de la vie moderne ont tendance à l’augmenter sans cesse, ce qui abîme votre santé. Il est donc impératif de faire baisser le niveau de votre stress. Si vous écoutez les signaux que votre corps vous envoie, vous pourrez démasquer le phénomène et choisir de l’enrayer avec des pratiques simples. Mais venir à bout des schémas inconscients à l’origine d’un stress chronique est plus difficile. Cela nécessite à la fois de la volonté, un changement des habitudes et une aide thérapeutique comme la méthode PEAT ou la mudrâ thérapie, afin de retrouver le chemin de la paix intérieure. Mais cela en vaut la peine, non ?

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

Comment gérer ses émotions négatives ?

Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Mary Mann : La thérapie autrement !

Thérapie brève multi-dimensionnelle (en ligne)

 

Je vis en Bretagne mais je travaille partout (grâce à internet) !

Vannes FR-56 Morbihan

Tel : +33.(0)6 02 31 82 85

mm[@]marymann.fr 

  • Thérapie brève en ligne (psychopraticienne) : Libération des émotions, régression et libération vies antérieures, libération mémoires transgénérationnelles (épigénétique), développement personnel
  • Mudra-thérapie : 1ère professeur et mudra-thérapeute en France, certifiée Sabrina Mesko, d'après l'enseignement de Yogi Bhajan - Art énergétique millénaire de bien-être et de développement personnel
  • Soin chamanique - chamanisme
VANNES - MORBIHAN - BRETAGNE - FRANCE
  PAR SKYPE & ZOOM

La véritable origine du Père Noël…

La véritable origine du Père Noël…

Mary Mann

Et si le chamanisme t’était conté ?

Quand on pense à noël, nous vient inévitablement l’image d’un gros monsieur au visage rougeau, rieur et en manteau rouge et blanc. On l’associe souvent à la marque Coca-Cola depuis le début du 20ème siècle. Saint Nicholas est également évoqué, et même le p’tit Jésus… Mais quelle est la véritable origine du Père Noël ? Et si je vous disais qu’il y a du chamanisme dans l’air ?!

Noël approche.

Les lumières scintillent, la neige tombe.
Mais pas en Bretagne :-/
Ô désespoir !

Eh oui, j’adore la neige. Je suis née dans les Alpes.
Ça me manque quand même…

C’est mieux que le Kouign Amann (même si l’hydromel, la boisson des Dieux… C’est pas mal tout de même 😉)

Mais neige ou pas neige, Noël est fêté partout !

Même sous les tropiques ! 🌴
Y’a des images de père noël en bord de plage
Tu ne me crois pas ?
J’ai vu ça un jour au Panama…

Trop rigolo !

T’es en short, tongs, et tu tombes nez à nez avec un père Noël 🎅 qui monte à une échelle sous un palmier… LOL

A l’époque, ça me paraissait totalement étrange. Dans un instant, tu vas voir que pas tant que ça en fait…

Il est beau hein ? Tout en rouge…

 

J’ai de très beaux souvenirs de Noël dans mon enfance. Des grandes tablées en famille, un oncle qui s’éclipsait pour se déguiser… Et tous mes cousins avec qui on finissait par s’endormir tard dans la nuit, sur le canapé pendant que nos parents riaient à gorge déployée.

Pourtant aujourd’hui, je n’aime pas trop fêter ça.

Car en grandissant, je me suis rendue compte du mensonge.
Comme tous les enfants à qui on a servi ce conte.

J’ai appris à bouder cette fête trop capitaliste et consumériste à mon goût.

Mais j’ai appris quelque chose qui pourrait changer ma vision !

Quand j’ai appris ça, ça m’en a bouché un coin !
C’était avec Laurent Huguelit.

D’abord, il faut que je t’explique quelque chose.
Au cas où tu ne le saurais pas, je pratique le chamanisme.

Laurent Huguelit est mon enseignant et un ami cher à mon cœur.
Car j’ai eu la chance merveilleuse de bénéficier d’un soin collectif lors du 1er stage d’initiation.

Il y a bien des années… Laisse-moi te conter ce jour qui a changé ma vie.

Après avoir entendu tous les « candidats » au soin, Laurent, tel une majorette sibérienne (rien qu’à l’image je me marre) a lancé sa mailloche de tambour dans les airs.

Et Tadaaa !!

Une fois au sol, elle m’a désignée.
Les esprits en avaient décidé ainsi. Quel cadeau ! Il allait être mon chamane durant ce rituel puissant.

Rien que pour moi (sachant qu’il ne fait plus de soin, j’ai pris conscience du cadeau).

Je ne savais pas à l’époque combien ce jour changerait ma vie pour toujours.

Et créerait un lien si fort et si particulier entre lui et moi, à jamais.
D’ailleurs, depuis ce jour, à chaque stage, nous nous revoyons toujours avec beaucoup de joie.😃

C’était donc durant la cérémonie du Bateau.
Un soin d’une force incroyable qui m’a ramenée à la vie.
En effet, je traversais une sale période depuis 1 an. J’étais exsangue et perdue à cette époque.

Ce jour-là, j’ai repris des forces qui m’avaient quittée depuis longtemps.

Beaucoup de lumière est revenue. ✨
Des bouts de mon âme sont revenus dans « ma maison ». 🧚🏼

J’ai pu retrouver mon pouvoir personnel

Un peu comme durant le soin chamanique que j’ai fait pour Magali il y a peu, qui est partie en transe, c’était fort ! Un soin de dingue…

Bref,

Depuis ce soin fondateur dans ma vie, je n’ai cessé de tracer ma route et de me révéler.
Je ne suis plus « perdue ».
J’ai survécu à la « nuit noire de l’âme ».
Ce qui a décuplé ma force.

Tout chamane est un guerrier blessé qui a transcendé sa douleur

Au fil des ans, je grandis en expérience.
Je fais des séminaires sur différentes thématiques avec Laurent et sa compagne Angeline.

 

 

YULE célébration du solstice d’hiver le 21 décembre – consacré à ODIN (ou Wotan) en Scandinavie

 

Et lors d’un séminaire sur les Rêves chamaniques, Laurent nous a confié que le Père noël était un chamane !

 Moue à la De Niro

Ça t’en bouche un coin ?

Moi oui !

Apparemment, même pour les couleurs rouge et blanche, Coca cola n’a rien inventé !

En Sibérie, les chamanes s’habilleraient avec beaucoup de couleurs, notamment du rouge et du blanc…

🧙 Les chamanes sont au service de l’équilibre des forces.

Ils luttent contre l’obscurité. Et tiens, toi bien…

Jadis, ils se servaient du feu au milieu de la yourte pour partir en « voyage chamanique » par l’œil de la yourte dans le toit (= la cheminée !)

– Ca te rappelle pas un truc ?

Ils chevauchaient des rennes lors de leurs « voyages ».

-Ca te rappelle pas un truc ?

Ils revenaient avec de la lumière, de la nourriture, des cadeaux…🎁 🌟😊✨

-Ca te rappelle pas un truc ?

Même en Turquie, Saint Nicolas était considéré comme un « magicien » qui pouvait voler…

Ce sont des colons Européens qui l’ont emmené à New-York et c’est là qu’il est devenu l’icône de la célèbre boisson à base de coke, à l’occasion d’une pub.

Les chamanes sont entrés dans les mythes collectifs !
Papa Noël est en fait un chamane !!

🎅 = 🧙

Et le sapin de noël est en fait une représentation de l’arbre des mondes Yggdrasil, très présent dans la mythologie Scandinave. Les étoiles sont représentées par les boules sur le sapin et la Voie Lactée est la guirlande qui serpente tout autour…

Le sapin =  L’arbre des mondes ; Les boules = les étoiles ; la guirlande = la voie lactée…

 

🤗 Ouuaaah ! Trop la classe !!!

C’est trop génial de voir les choses sous cet angle, non ?

Plutôt qu’un obèse rougeau qui boirait du coca et qui ne passe plus dans la cheminée !

En plus, en discutant avec Laurent, je me suis rendue compte que même mon bilan de compétences Orientation & Sens de Vie® était d’inspiration chamanique !

L’étoile polaire, mission de vie, mission d’âme et tout ! Dingue !…

« Les esprits t’ont enseigné » , m’a dit Laurent.

Mais ça, c’est une autre histoire…

Bon, après cette parenthèse culturelle, il ne me reste plus qu’à te souhaiter de belles fêtes !

Et si tu as besoin de ramener la lumière, je suis là ! Plus efficace qu’EDF.
Un bout d’âme qui rentre à la maison, n’est-ce-pas le plus beau des cadeaux ?

Maryanne, une « Mère Noël » 🤶 (bon en vérité je ne suis pas si vieille)

PS : comme je peux « voler », ce soin peut même se faire à distance héhé ! Allez Hop, je chevauche mon renne.

Comment gérer ses émotions négatives ?

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Les émotions négatives dérangent beaucoup. Pourtant n’ont-elles pas une utilité ? Et la voie de la paix intérieure et de l’éveil ne serait-elle pas de les écouter, de les libérer puis de les rééquilibrer ? Suivez le guide…

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Comment trouver le bonheur ?

Comment trouver le bonheur ?

Mary Mann

Un bonheur intelligent et altruiste bien sûr

Comment être heureux ? C’est la question que tout le monde se pose… Le bonheur est la denrée la plus convoitée dans notre société. Mais force est de constater que nous ne sommes pas tous égaux face au même vécu. Quand certains sont d’irréductibles optimistes, d’autres sombrent dans la déprime au moindre coup du sort… Serions-nous les seuls responsables quant à notre félicité ? Cet état mystérieux pourrait-il être apprivoisé ? Faut-il le bonheur à tout prix ? L’injonction au bonheur ne serait-il pas une nouvelle dictature nous menant tout droit vers le malheur et l’individualisme ?

De quoi est fait le bonheur ?

 

Apparemment, c’est comme une recette de cuisine. Prenez :

  • 50 % de génétique
  • 40 % de perception
  • 10 % de circonstances de vie

Et vous savez de quoi le bonheur est constitué.

 

Oui, mais est-ce immuable ?

Quand on lit que 50 % de notre capacité à être heureux dépend de notre héritage familial biologique, on aurait tendance à croire qu’il s’agirait uniquement d’un jeu de « pile ou face ».

Ce leg transgénérationnel est l’ensemble des conditionnements et des habitudes dans lesquels nous avons baigné en grandissant.

Ce que nous avons hérité de nos parents et de nos ancêtres avant eux : leur vécu traumatique transmis…

Ce fameux héritage qui s’apparente souvent à une course de patate chaude inconsciente, un relais sans fin dont nous sommes l’aboutissement.

Or bonne nouvelle : tout héritage n’est pas figé dans le marbre. On peut le travailler et s’en libérer !

 

Parlons des 40% de perception maintenant.

Ils désignent notre capacité d’interprétation à propos d’une chose qui nous arrive.

En fait, notre état d’esprit est bien plus important que la situation réelle (qui ne compte qu’à hauteur de 10%).

Que faisons-nous d’un événement ? Nous effondrons-nous au moindre obstacle ? Ou faisons-nous comme l’enfant Obama balancé dans un puits et qui remonte en éclatant de rire au visage des enfants qui l’y ont poussé ? Voyons-nous le verre à moitié vide ou à moitié plein ?

Là encore, tout est une question d’état d’esprit et de croyances qui découlent directement des premiers 50 % et de l’ambiance familiale.

Deuxième bonne nouvelle : on peut aussi changer ce paramètre !

 

Et enfin, seuls 10 % dépendent de l’extérieur (aspect physique, météo…). Certains mettent aussi dans ces 10 %, la quantité d’argent disponible.

Or nos croyances auto-limitantes face à l’argent et provenant de nos origines, sont aussi un sujet passionnant à éliminer et que j’aborde dans mon atelier relation à l’argent !

 

Comment cultiver le bonheur ?

 

Il y a autant de visions que d’êtres sur Terre.

Chacun y mettra ses propres aspirations, son filtre culturel…

Mais cependant, nous pouvons essayer de dégager les grandes lignes universelles de ce que chacun peut faire individuellement pour tendre vers le bonheur.

 

Voici 10 conseils pour aller vers le bonheur :

 

1°/ Il est important de ne pas vouloir contrôler la Vie. Car il est impossible de tout maîtriser. A un moment donné, si la vie vous emmène vers autre chose et que vous freinez des quatre fers, faites taire votre peur et écoutez ce que la vie a envie d’exprimer à travers vous ! Plus tôt vous atteindrez un certain lâcher-prise quant aux événements qui surviennent, et plus tôt vous goûterez à une certaine sérénité et épargnerez votre énergie. Pratiquez l’Aïkido existentiel au lieu de faire constamment du Karaté !

2°/ En vivant en cohérence avec soi et en prenant conscience de ce qui est essentiel dans notre existence. En déployant notre Etre profond, au-delà des conditionnements sociaux-culturels reçus. Car si on n’est pas responsable de tout ce qui nous arrive, on est responsable de ce qu’on en fait !

3°/ En faisant un travail de recherche intérieure pour se connaitre. Afin d’apprendre quels sont nos qualités, nos talents, nos forces afin de s’estimer et de mieux choisir ce que nous voulons mettre dans notre vie pour se respecter.

4°/ En se réconciliant avec SOI et notre vécu. En ayant déjà une intention sincère d’apaisement en SOI, pour SOI et donc en réparant nos blessures. Nous commenceront à goûter le moment présent avec de plus en plus de sérénité et de joie.

5°/ En étant attentif un maximum au PRESENT, vivre en conscience. En effet, être plus attentif et présent à ce qu’on fait rend heureux (notre cerveau va alors sécréter de la dopamine et de la sérotonine qui sont des anti-dépresseurs naturels). Découvrez d’ailleurs mon super cursus en ligne pour développer la pleine conscience.

 

 

 

6°/ Le fait d’arrêter de JUGER les autres vous fera un bien fou ! Vous arrêterez ainsi de vous comparer en mieux ou en moins bien. Vous développerez l’acceptation et la tolérance avec un grand A.

7°/ En étant généreux. En étant tourné vers l’autre. Des études ont prouvé que les gens généreux sont plus heureux que les autres. Le bonheur des autres est contagieux et s’il est le fruit de notre action, cela donne du sens à notre vie. Et si en plus nous participons à améliorer le monde, que demander de plus ?

8°/ En arrêtant de vouloir changer les autres. Je le dis souvent à mes clients : on ne peut pas aider quelqu’un qui ne le veut pas ! Soit vous décidez de changer vous-même pour l’accepter (dans la mesure où cela est sans danger pour vous), soit vous ne fréquentez plus les gens qui vous posent problème.

9°/ En ne cherchant pas le bonheur à tout prix ! Car « la souffrance est la différence entre ce qui est et ce que j’aimerais qui soit ». Mais comme le dit Spinoza, chaque être vivant persévère et fait un effort pour grandir durant toute sa vie. Il a naturellement envie de s’élever et de transcender sa condition vers plus de joie et de bonheur afin que ceux-ci occupent le plus de place possible.

Cela est louable. Et cela demande bien sûr un travail sur soi pour aller vers la paix intérieure. Cependant, attention à ne pas voir le bonheur comme un Graal absolu ! Cela amène à rechercher cet état avec trop de mental et en dehors de soi. Or, il faut avant tout se reconnecter à nos ressentis et à notre corps pour le trouver.

10°/ En comprenant que le bonheur ne signifie pas être dans la joie tout le temps.
Dans le dessin animé Vice Versa, la Joie se rend bien compte finalement qu’elle ne peut pas toujours être aux commandes et qu’elle ne peut exister sans la tristesse et les autres émotions « négatives ». Que chaque émotion est utile selon les situations et coexiste en nous.

En définitive, la notion de bonheur existe car son opposé existe. Comme dans les contes pour enfants, c’est parce qu’il y a un « méchant » que nous pouvons définir ce qu’est un « gentil ». Il est donc normal et souhaitable de ressentir les émotions dites « négatives ». C’est ce qui fait que nous sommes vivants et pouvons interagir socialement en fonction des émotions des autres, et pas tel un imbécile heureux ayant toujours le sourire aux lèvres.

 

Le bonheur ne peut-il être que le fruit de nos efforts individualistes ?

 

Il faut bien l’admettre, le temps où l’individu avait une vie sociale plus simple, saine, authentique et intégrée au sein d’une communauté est révolu.

Nos nouveaux modes de vie, couplés aux nombreux mouvements de population, convergent vers plus d’isolement et d’individualité. Les nouvelles technologies n’arrangent rien…

Ce terreau s’est révélé du pain béni pour la psychologie positive qui a réduit la notion de bonheur à portion congrue.

Elle a fini par enfermer la notion de bonheur principalement à l’individu. Le rendant seul responsable de son bonheur.

Elle a inculqué que pour atteindre le bonheur, chacun devait avant tout travailler sur lui-même, faire du développement personnel à tout va, pour mieux se connaître et mieux se « corriger ». Que le bonheur ne tenait qu’à soi.

C’est devenu une injonction sociétale : il FAUT être heureux bêtement et à tout prix chacun dans son coin. Au point d’être une quête angoissante !

Céder à la frénésie de lectures traitant de la question, aller voir des coachs, et écouter des gourous du bonheur, est-il le seul moyen d’échapper au malheur ?

Mais qu’en est-il de l’action collective face au monde et à ses dérives ?

Le bonheur ne reposerait-il plus sur une tentative de changer ensemble le monde ? Mais sur une quête permanente de se changer soi ?

Va-t-on tous devenir des îlots tout sourire sans cohésion, tels des lentilles flottant à la dérive dans une soupe indigeste ?

C’est la crainte de la sociologue Eva Illouz et du psychologue Edgar Cabanas dans leur ouvrage Happycratie.

Ils indiquent qu’il a fallu à peine plus d’une décennie pour nous convaincre que la valeur centrale de notre vie se résumait à « ce sentiment teinté d’individualisme et de consumérisme vorace » : Le bonheur.

Selon eux, cette approche du bonheur nous maintiendrait en réalité dans une forme de servitude apaisante et volontaire, renonçant à remettre en cause le capitalisme et à lutter contre ses méfaits… Pour mieux nous consoler de notre impuissance et tout accepter.

« Un cocon de plénitude dans un monde mauvais, ou la dissolution de la lutte dans la perspective du bonheur individuel. »

Or, malgré cette tyrannie du bonheur individualiste, force est de constater que des voix s’élèvent pour changer concrètement des choses à leur échelle et transformer le monde.

Combien de reconversions professionnelles en maraîchage biologique ? Combien de projets écologiques et locaux pour repenser l’industrie de demain ?

Hopaal, Respire, Friendly frenchy, Le jouet Français…

Bien d’autres projets positifs sont relatés dans le livre « Un million de révolutions tranquilles ».

Et si justement, parmi de nombreux accros au bonheur, étaient ces gens qui refusent de renoncer, ne ferment pas les yeux et se mettent à penser, créer, inventer de nouvelles façons de faire et cultivent l’optimisme avant tout ?

Ces gens positifs qui cherchent à donner un sens à leur vie, tout en essayant de redonner du sens à cette société qui en est dépourvue ?

A l’image de Joanna Quelen.

Quand Joanna Quelen a proposé son sujet de TEDx sur le bonheur, les organisateurs lui ont demandé « Pourquoi ce choix » ?

Après quelques instants de réflexion, elle a spontanément répondu : « Parce que la Mort ! »

Ainsi, dans cette présentation intimiste, Joanna nous parle de son parcours vers le bonheur, de sa prise de conscience existentielle.

Un cheminement qui l’a amenée à œuvrer pour le bonheur des autres.

Etre heureux ne se résume à pas se forcer à être bêtement positif ni à devenir aveugle aux horreurs du monde dans une sorte d’autisme sélectif. Le sentiment de bonheur relève à la fois de notre sphère personnelle mais aussi collective. Qu’il le veuille ou non, l’individu est relié au monde. Il vous appartient donc de prendre conscience de vos propres conditionnements au malheur et de vous en libérer. Tout comme il vous appartient de vous engager dans des projets altruistes qui ont du sens à vos yeux et vous permettent d’apporter votre pierre à l’édifice d’un monde meilleur.

 

Comment gérer ses émotions négatives ?

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